
Le ministère saoudien de l’Emploi a dressé une liste de 15 pays desquels il est permis ‘’d’importer’’ des domestiques – des hommes et des femmes-. Le plus surprenant, l’Algérie, ainsi que les pays maghrébins, figureraient sur cette liste. Les employeurs doivent s’acquitter d’une somme variant entre 37 000 et 580 000 DA pour faire venir ces esclaves des temps modernes.
De nombreuses femmes et également des hommes partent en direction de l’Arabie saoudite pour devenir domestiques. Une fois arrivées, elles découvrent un autre monde d’esclavagisme, le travail vingt heures par jour, les maltraitances, la faim et même le harcèlement sexuel. Parmi les personnes préférées pour cette sale besogne, s’affiche en haut de la liste les femmes et les hommes originaires du Madagascar, du Maroc, ainsi que de plusieurs pays pauvres de l’Afrique. Chaque année, le gouvernement saoudien dresse une liste de 15 pays favoris pour l’importation de domestiques sous couvert d’une opération d’embauche, au salaire de rêve pour un recrutement inespéré. Sauf que l’inattendu, est que l’Algérie figure dans la dernière liste -‘’des pays exportateurs de domestiques’’-, établie par les saoudiens. En effet, selon le site tunisien, Directinfo, le ministère saoudien de l’Emploi a dressé une liste de 15 pays desquels il est permis «d’importer» des domestiques des femmes et des hommes.
L’Algérie figurerait sur cette liste ainsi que tous les pays d’Afrique du Nord, excepté la Libye. Les employeurs doivent s’acquitter d’une somme variant entre 37 000 et 580 000 DA pour faire venir ces esclaves des temps modernes. De nombreuses femmes sont recrutées ainsi comme femmes de ménage ou nourrices et se retrouvent comme esclaves sexuelles de Saoudiens. Ces derniers prennent en otage leurs «employés» en confisquant tous les documents de voyage et autres pièces d’identité. Devant cette mascarade humaine, les autorités algériennes et maghrébines, devraient sensibiliser ceux qui seraient tentés par une telle «aventure» afin de leur épargner une vie de servitude et d’humiliation.
source : reflexion.dz

Le centre VFS Global pour la France à Alger a annoncé, hier, via sa page Facebook, que l’accès à son portail pour la prise de rendez-vous est momentanément indisponible. “Nous informons notre aimable clientèle que le portail VFS Global pour la prise des rendez-vous est momentanément indisponible en raison d’un problème technique”, a affirmé le centre VFS Global qui s’excuse, par ailleurs, “pour la gêne occasionnée”. En revanche, ledit centre n’a pas précisé la durée de ce désagrément qui coïncide avec le début de la saison estivale, synonyme des grandes vacances et des départs massifs vers l’Europe, en général, et vers l’Hexagone, en particulier.
liberté-algerie.com

Une expo-vente sera organiser par plusieurs artistes peintre et artisans du maghreb pour vos cadeaux de fin d’année, décoration de vos intérieurs, toile céramique boiserie tenue traditionnelle bijoux, vaisselles. ..
1 er décembre au 3 décembre 2017 (10h30-18h30)
Lieu : Galerie d’art Couleurs Et Patrimoine Rue Mazouni yahia El Biar Alger

Un vol Alger-Paris d'Air Algérie des soucis en plein vol mercredi 30 août, suscitant la panique des passagers avant que l'avion ne reprenne sa trajectoire pour atterrir en sécurité à l'aéroport d'Orly.
Une vidéo filmée pendant le vol AH 1006 et partagée sur les réseaux sociaux montre des voyageurs pris de panique, se tenant les mains alors que l'appareil traversait des turbulences. Dans le couloir de l'avion, on peut voir divers objets tombés suite aux violents secousses.
Selon des témoignages, l'avion a piqué du nez et a fait une chute libre avant que l'équipage ne puisse reprendre la trajectoire et atterrir en sécurité à Orly.
source : huffpostmaghreb.com

Des personnes menottées par les éléments de la gendarmerie nationale, traînées devant les caméras et encerclées par des dizains de gendarmes avant de pénétrer à l'intérieur des tribunaux d'Abane Ramdane et de Bir Mourad Raïs, ces images ont fait le tour de l'Algérie en raison de leur diffusion massive par la chaîne de télévision privée Ennahar TV en date du 25 octobre 2018. Ces images ont montré le comédien Kamel Bouakaz, l'ancien joueur de l'équipe nationale, Fodil Dob, les journalistes Abdou Semmar, Merouane Boudiab et Adlène Mellah, dans des postures humiliantes, culpabilisantes vis-à-vis de l'opinion publique alors qu'ils n'ont même pas été encore jugées par la justice algérienne.
De simples suspects et prévenus, Ennahar TV a transformé ces personnalités par la grâce d'une virulente campagne médiatique en des "condamnés" coupables de chantage et d'extorsion de fonds. Pour la première fois dans l'histoire de l'Algérie, les caméras d'une télévision violent honteusement le principe de la présomption d'innocence et surtout l'indépendance de la justice consacré par par l'article 156 de la Constitution algérienne. C'est du jamais vu dans l'histoire de l'Algérie. Des caméras de télévision qui filment en direct la présentation de citoyens suspects tout en les accablant de tous les maux de la terre.
Ennahar TV a poursuivi son travail ignoble, foulent au pied toutes les règles déontologiques régissant la profession du journalisme, en diffusant en boucle durant plusieurs jours de la fin du mois d'octobre jusqu'au début du mois de novembre des informations mensongères et calomnieuses sur ces personnalités publiques. Le rappeur et animateur de télévision Mister Ab, Abdou Semmar, Merouane Boudiab, Kamel Bouakaz, Fodil Dob et Adlène Mellah ont été dépeints par Ennahar TV comme des criminels dangereux composant un réseau mafieux. Et pourtant, toutes ces allégations sont fausses puisque toutes ces personnalités ont été libérées par la justice car les délits pour lesquels ils ont été poursuivis sont mineurs et ne justifient nullement leur incarcération et n'ont jamais commis le moindre acte criminel. Jusqu'à aujourd'hui, ils n'ont fait l'objet d'aucune condamnation de la part de la justice.
Partant de ce principe, Ennahar TV est coupable d'avoir piétiné l'article 46 de la Constitution Algérienne d'après lequel "la vie privée et l'honneur du citoyen sont inviolables et protégés par la loi. Le secret de la correspondance et de la communication privées, sous toutes leurs formes, est garanti. Aucune atteinte à ces droits n'est tolérée sans une réquisition motivée de l'autorité judiciaire. La loi punit toute violation de cette disposition. La protection des personnes physiques dans le traitement des données à caractère personnel est un droit fondamental garanti par la loi qui en punit la violation".
Ennahar TV est coupable également d'atteintes portées à l'honneur, à la considération et à la vie privée des personnes comme l'explique clairement l'article 296 du code pénal algérien. Cet article indique que "toute allégation ou imputation d'un fait qui porte atteinte à l'honneur ou à la considération des personnes ou du corps auquel le fait est imputé, est une diffamation. La publication directe ou par voie de reproduction de cette allégation ou de cette imputation est punissable, même si elle est faite sous forme dubitative ou si elle vise une personne ou un corps non expressément nommés, mais dont l'identification est rendue possible par les termes des discours, cris, menaces, écrits ou imprimés, placards ou affiches incriminés".
Ennahar TV a violé aussi l' Article 303 bis du code pénal qui punit "d'un emprisonnement de six (6) mois à trois (3) ans et d'une amende de cinquante mille (50.000) DA à trois cent mille (300.000) DA, quiconque, au moyen d'un procédé quelconque, porte volontairement atteinte à l'intimité de la vie privée d'autrui en captant, enregistrant ou transmettant sans l'autorisation ou le consentement de leur auteur, des communications, des paroles prononcées à titre privé ou confidentiel".
Les personnalités "lynchées" publiquement et médiatiquement par Ennahar TV ont subi un préjudice considérable qui a porté atteinte à l'intégrité physique et l'honneur de leurs familles. En conséquence, Abdou Semmar, Merouane Boudiab, Mister AB, Kamel Bouakaz et Fodil Dob ainsi qu'Adlène Mellah annoncent dans ce communiqué qu'ils ont décidé de se constituer autour d'un collectif pour entamer des poursuites judiciaires à l'encontre d'Ennahar TV et son patron Anis Rahmani ainsi que tous ceux et celles qui ont participé de loin ou de près à cette scandaleuse campagne de dénigrement. Le ministère public en tant que représentant de la société chargé de veiller sur le respect des lois en vigueur dans notre pays est prié de prendre en charge ces plaintes et de procéder aux démarches nécessaires pour traduire les responsables d'Ennahar TV devant les juridictions compétentes. Ces journalistes et artistes se réservent le droit de réclamer des réparations morales et matérielles pour tout le tort qui leur a été abusivement causé.
Les signataires :
Abdou Semmar
Kamel Bouakaz
Mister AB
Merouane Boudiab
Fodil Dob
*LIGUE ALGÉRIENNE POUR LA DÉFENSE DES DROITS DE L'HOMME*
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