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Sur un plateau télé, le commissaire du très réputé Salon international du livre d'Alger, a déclaré qu'un homme qui bat sa femme devrait le faire « avec gentillesse ». Des propos qui scandalisent de nombreux Algériens, dont l'écrivain Kamel Daoud
La sphère algérienne des réseaux sociaux s’est affolée, ce mercredi 20 septembre, après les propos tenus par Hamidou Messaoud, le responsable du très célèbre Salon international du livre d’Alger (SILA) sur la chaîne de télévision privée Ennahar TV.
Invité de l’émission « Kahwa w journane » (Un café et un journal) et interpellé sur les livres interdits de salon, le commissaire évoque « un petit livre » présent sur les stands l’an dernier, intitulé Comment frapper sa femme.
Il commente alors, sur le ton de la plaisanterie : « Entre nous, ils auraient dû ajouter au titre : ‘’Et comment frapper un homme. Parce que de temps en temps, l’homme se fait taper aussi’’. Néanmoins, ce genre de livre peut nous [aux Algériens] être utile. Parce que nous, on utilise parfois la violence. »
À ce moment-là, l’animateur, Billel Kebache, le coupe en lui répondant : « Hamidou, cela ne nous concerne pas ». Mais le commissaire du salon du livre, aussi directeur général de l’Entreprise nationale des arts graphiques (ENAG), poursuit : « Parce que parfois, le mec frappe sa femme, et quand tu la vois après, on dirait qu’un camion lui est rentré dedans. Au moins quand il frappe, qu’il frappe avec un peu de gentillesse. »
Pour Nadia Aït Zaï, avocate et directrice du Centre d’information sur les droits de l’enfant et de la femme (CIDDEF) à Alger, le commissaire du salon ne « banalise pas uniquement la violence ». « Il la justifie en reconnaissant que les Algériens sont un peu violents et que ce livre peut être un mode d'emploi pour eux », explique-t-elle à Middle East Eye. « Son rôle de commissaire du SILA l'appelait à plus de réserve et non pas à afficher ses sentiments. C'est grave pour quelqu'un qui représente l'État et non pas ses humeurs. »
Sur les réseaux sociaux, les Algériens ont vivement réagi en mettant en avant la gravité de ces paroles compte tenu de la fonction occupée par Hamidou Messaoud. Certains ont préféré en rire, en revisitant le best-seller Cinquante nuances de Grey, le roman érotique traitant de sado-masochisme, parodié par « Les cinquante nuances de Hamidou ».
Pour l’écrivain Kamel Daoud, qui est attendu au prochain SILA, du 26 octobre au 5 novembre 2007 pour son dernier roman Zabor ou les psaumes, paru aux éditions Barzakh en Algérie, en coédition avec Actes Sud en France, « le bon sens, autant que la dignité, imposent que l’on boycotte le prochain salon du livre d’Alger, par solidarité avec les femmes battues. »
Selon l’Union nationale des femmes algériennes (UNFA), plus de 7 000 femmes ont été victimes de violences en 2016, un chiffre sans doute bien en-deçà de la réalité, de nombreuses femmes ne voulant pas déposer plainte contre un membre de leur famille.
En mars 2015, le parlement algérien a difficilement adopté une loi criminalisant les violences faites aux femmes, le texte ayant été bloqué au Sénat par les conservateurs qui avait jugé la loi « contraire aux valeurs de l’islam ».
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Plusieurs personnages-clés des deux précédentes décennies se meurent politiquement dans le sillage de la chute du trône.
Il est difficile d’imaginer les promoteurs du 5e mandat d’Abdelaziz Bouteflika se refaire une virginité politique au lendemain de leur frasque exorbitante. Il est encore si difficile de les imaginer refaire leur vie sans être entravés par leurs actes du passé. Une vidéo datant de dimanche dernier sur laquelle on voit l’ex-secrétaire général du FLN et ancien ministre Djamel Ould Abbes, carrément terrifié par les attaques verbales de quelques citoyens, alors qu’il était dans un embouteillage.
Au cours de cette conversation, l’ex-ministre de la Solidarité nationale, qui fait face actuellement à une demande de la justice pour la levée de son immunité parlementaire en vue de sa convocation, affichait une mine blême face aux citoyens lui demandant de ne pas fuir le pays en vue de son jugement, voire épouvanté par l’incertitude sur son avenir dans le sillage de la terrible fin de règne des Bouteflika, dont il est réputé être un des plus proches. Le “lynchage” de Djamel Ould Abbes par une foule le méprisant et le tournant en dérision confirme les pires moments que vivent actuellement les promoteurs du 5e mandat d’Abdelaziz Bouteflika et tous ceux qui se sont accrochés à son “cadavre” jusqu’au 22 février dernier, date de la première réaction de masse contre ce qui allait être l’humiliation de trop. C’est une onde de choc qui ne semble épargner aucun des fidèles de l’ancien président. Hamraoui Habib Chawki, ancien ambassadeur, rapatrié pour les besoins de faire partie du staff de campagne d’Abdelaziz Bouteflika, a subi, lui aussi, récemment, une humiliation publique à bord d’un avion où tous les voyageurs scandaient d’une seule voix : “Chaouki chiyat.” Les choses tournent ainsi mal pour ceux qui étaient jadis les plus fervents défenseurs de la personne de l’ex-chef de l’État, alors qu’il était même dans l’incapacité la plus totale d’assumer la fonction présidentielle.
Fatima Zohra Bousbaâ, présidente de l’Organisation nationale pour la promotion de la culture de la paix (ONPCP), en a pris également pour son grade. Elle a été, elle aussi, huée dans un avion. “Fatima chiyata”, scandaient les passagers tout au long du voyage. Un sale quart d’heure pour celle qui criait à qui voulait l’entendre sa vénération pour Abdelaziz Bouteflika. Naïma Salhi subit le même sort. Elle est chassée de partout par un peuple plus que jamais jaloux de son unité et de sa dignité. L’autre conséquence de la chute du “roi” est la difficulté de ses valets à pointer le nez dehors, aussi bien parmi les présidents des partis qui étaient totalement acquis à ses politiques, que parmi ses ministres et les responsables d’organisations dites de la société civile. Plusieurs personnages-clés des deux précédentes décennies se meurent politiquement dans le sillage de la chute du trône, tandis que d’autres sont, soit traînés devant les tribunaux, soit assignés à résidence par la justice citoyenne. Déjà sanctionnés politiquement par l’échec du 5e mandat, le mouvement citoyen qui a bouclé, vendredi dernier, sa treizième semaine rejette l’ensemble des figures qui incarnaient le régime des Bouteflika, poussant ce refus jusqu’aux pions les plus insignifiants parmi les fidèles de l’ex-président.
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L’entraineur : A plusieurs années d’expérience en tant qu’athlète (10 ans en tant qu’athlète d’élite. Diplôme de conseiller en sport en 2008. Depuis il travaille toujours dans le même domaine. Dynamique, souriant, et professionnel. Vous n’allez pas regretter le déplacement :-)
Épluchez les pommes de terre et coupez-les en 2. Coupez le fenouil en gros cubes et émincez grossièrement l'oignon.
Dans une cocotte, faites revenir l'oignon et le fenouil dans un peu d'huile d'olive puis ajoutez le bouillon et les pommes de terre. Couvrez et faites cuire 30 minutes.
Une fois les légumes cuits, mixez le tout. Ajoutez la crème fraîche, salez, poivrez et mélangez.
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