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ALGER - Les premiers lots du vaccin anti-Covid "CoronaVac" seront produits au niveau de l'unité de production du Groupe public "Saidal" à Constantine le 29 septembre en cours, a indiqué vendredi à l'APS le ministre de l'Industrie pharmaceutique, Abderrahmane Lotfi Djamel Benbahmed.
"La production effective du vaccin anti-Covid devrait débutée le 29 septembre en cours", a affirmé M. Benbahmed, précisant que les prévisions tablent sur la production de 1 million de doses au mois d'octobre prochain, deux (02) millions en novembre, trois (03) millions en décembre et plus de 5,3 millions de doses à partir du mois de janvier 2022.
Le vaccin "CoronaVac" sera produit au niveau de l'unité de production du Groupe public "Saidal" à Constantine en coopération avec la société pharmaceutique chinoise "Sinovac", a rappelé le ministre, précisant que les capacités de production de cette unité sont de 320.000 doses par jour sur un shift de 8h, soit huit (08) millions de doses par mois.
"Nous avons un plan de charge de production de 65 millions de doses par an, donc, nous pouvons atteindre cette production sans toutefois augmenter les capacités de production (2 shifts) ou recourir à d'autres unités de production", explique M. Benbahmed, assurant que "l'Algérie pourrait arriver à produire 200 millions de doses par an avec l'unité de Saidal à Constantine".
A cet effet, insiste t-il, "l'Algérie dispose des capacités industrielles et humaines pour pouvoir répondre, à la fois, aux besoins du pays et à ceux d'une grande partie du continent africain".
Dans ce sillage, M. Benbahmeda a rappelé que son ministère a été chargé, en application des instructions du Président de la République, de produire localement le vaccin anti-Covid afin "d'assurer notre souveraineté sanitaire et répondre à la demande du plan de vaccination mis en place par notre pays", notant également la possibilité "d'aider les pays amis du continent à pouvoir répondre à leur propre plan de vaccination".
Soulignant que l'unité de production de "Saidal" dispose d'une "longue expérience" en matière de production des médicaments stériles, M. Benbahmed a souligné que la matière première nécessaire à la production de ce vaccin a été reçue à la fin du mois d'août passé, permettant ainsi le lancement du processus de fabrication et l'enclenchement des étapes qui précèdent la production effective du vaccin, conformément aux normes internationales, notamment la mise en place des installations nécessaires et la stérilisation.
M. Benbahmed a précisé que le projet de produire le vaccin "CoronaVac" en Algérie a été initié depuis quatre mois et il a été piloté par le comité installé au niveau de son ministère, soulignant que ce comité comprend le ministère de l'Industrie pharmaceutique, le ministère des affaires étrangères, l'Agence de sécurité sanitaire, l'Institut pasteur Algérie, ainsi que de nombreux universitaires de différentes grandes universités d'Algérie, dont l'USTHB avec pour mission l'accompagnement du Groupe "Saidal" à l'aboutissement de ce projet production.
Le contrat de production a été conclut le mois de juin avec la société chinoise "Sinovac", tandis qu'une équipe technique de cette société s'est rendue en juillet en Algérie pour la validation de l'unité de production du Groupe "Saidal" à Constantine afin de pouvoir prendre en charge cette production du vaccin, a encore rappelé M. Benbahmed.
Grâce à ses différentes propriétés médicinales, le clou de girofle permet de soulager de nombreux maux naturellement. Focus sur ses vertus santé découvert sur le site femmeactuelle.fr.
Clous de girofle : les précautions d'emploi
Les clous de girofle contiennent une substance active potentiellement allergène : l’eugénol. Cette dernière est également toxique à forte dose. L’huile essentielle de clou de girofle, qui en contient une forte concentration, doit donc être utilisée avec beaucoup de précaution. Il faut toujours la diluer et ne pas l'employer plus d’une semaine d’affilée. De plus, les personnes ayant une peau fragile ne doivent pas l’utiliser en application locale. Enfin, cette huile essentielle est déconseillée aux enfants de moins de 10 ans, aux femmes enceintes et aux femmes allaitantes.
Une infusion de clou de girofle contre les problèmes digestifs
Une infusion de clou de girofle permet de combattre divers problèmes digestifs en particulier le mal de ventre et les ballonnements.
Pour la préparer, faites infuser 4 ou 5 clous de girofle pendant une dizaine de minutes dans une grande tasse d’eau bouillante. Ôtez les clous de girofle. Les plus courageuses pourront boire l’infusion telle quelle mais son goût très fort en rebutera plus d’une… Astuce : ajoutez un peu de cannelle, du jus de citron ou une cuillerée de miel pour adoucir le breuvage. Buvez l’infusion trois fois par jour, en dehors des repas.
Les clous de girofle contre les infections urinaires
L'efficacité des clous de girofle n’est plus à prouver quand il s’agit de calmer les douleurs d’une infection urinaire comme la cystite. Ils sont aussi préconisés en cas de calculs rénaux.
Pour vous soulager, buvez simplement une infusion de clous de girofle une à deux fois par jour. Astuce : pour un maximum d’efficacité en cas de cystite, vous pouvez ajouter une goutte d’huile essentielle de lavande à l’infusion avant de la boire. Mais attention : pas plus d’une goutte ! Toutes les fans d'aromathérapie le savent : les huiles essentielles sont très concentrées et potentiellement toxiques à haute dose.
Les clous de girofle contre le rhume
Si vous souhaitez prévenir les maux de l’hiver, pensez à l’huile essentielle de clou de girofle. Ses propriétés antivirales et antibactériennes vous aideront à éviter la grippe, le rhume et les autres infections hivernales…
Première méthode pour profiter de ses bienfaits : diluez 1 à 2 gouttes d’huile essentielle dans une cuillère à café d’huile d’olive, à avaler avant le repas. Seconde méthode : diluez 1 à 2 gouttes d’huile essentielle sur un morceau de sucre, à faire fondre sous la langue avant le repas. Quelle que soit la technique employée, vous pouvez l’utiliser 1 à 3 fois par jour, pendant une semaine maximum.
Les médecins, les réseaux sociaux, la publicité, les recommandations officielles (et notre mauvaise conscience, après avoir englouti un hamburger) nous incitent sans cesse à manger plus sainement. Moins gras, moins salé, moins sucré. Mais certains aliments, pourtant considérés comme « sains », peuvent être toxiques si (et seulement si) on en abuse.
Les épinards :
Il n’y a que Popeye qui a le droit de surconsommer les épinards pour être fort ! Parce qu’en réalité, si c’est bon d’en consommer, il ne faut pas en abuser. Pourquoi ? Parce que les épinards contiennent une grande quantité de sels d’oxalate (appelés aussi sels d’oseille, ils sont présents dans les rhizomes et racines de nombreuses plantes). Insolubles dans l’eau, ils sont la cause de calculs rénaux. On en trouve aussi dans le cacao et le thé et en moindre quantité dans la rhubarbe, la blette, l’oseille, la betterave et le persil.
Le thon en boite :
Dans le mensuel 60 millions de consommateurs du mois de mai dernier, une enquête intitulée « Tout n’est pas bon dans le poisson » révèle ce qui se cache vraiment dans nos boîtes de thon. Les experts de la consommation avancent que les quinze boîtes analysées présentent « sans exception » du mercure et de l’arsenic à des doses plus ou moins élevées, mais aussi des arêtes voire des fragments de cœur et d’ovocytes. D’autres poissons contiennent aussi du mercure.
Dès 2004, une étude pharmacologique américaine, intitulée « Mercury Exposure in Children » (exposition des enfants au mercure) montrait que le mercure, transporté par le sang, attaque ensuite les reins, le cerveau et le système nerveux. Chez la femme enceinte, il traverse facilement le placenta pour atteindre le fœtus. Même après la naissance, les risques perdurent puisque le lait maternel humain est aussi contaminé.
La viande rouge :
Un bon bifteck, ça vous tente, non ? Alors de temps en temps, pourquoi pas, mais sachez qu’il ne faut pas trop abuser de la viande rouge. Elle apporte du fer et bon nombre de personnes en manquent. Le fer est essentiel au transport de l’oxygène et à la formation des globules rouges dans le sang. Mais un surdosage de fer peut être nocif : l’accumulation de fer dans l’organisme entraîne la mort cellulaire et pourrait contribuer à l’augmentation du risque de développer des maladies cardiovasculaires. Les supplémentations en fer sont alors utiles seulement pour les personnes anémiées et les femmes en âge de procréer, sous réserve d’une recommandation du médecin, évidemment !
L'auteur Mahieddine KHELIFA, avocat de profession, retracera, à travers cette rencontre conférence-débat, les pérégrinations et la vie quotidienne d'une famille juive en terre d'Islam dans le Maghreb médiéval et contemporain.
Ce récit, ou la réalité côtoie l'imaginaire, nous révèle, en dépit des vicissitudes de l'histoire, l'intégration de la communauté juive séfarade dans la société nord africaine.
Vous aurez ainsi l'occasion de discuter au cours d'un débat de l'héritage commun aux communautés juives et musulmanes vivant au Maghreb.
Lieu : Espace Arbre à dires ( Hydra Sidi Yahia )
Heure : 16h-18h
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