
Après un mois de juillet déjà nettement plus chaud que la normale, d’autres pics de chaleur sont attendus pour les semaines à venir. Cette semaine sera encore plus chaude que les jours précédents.
La température, selon les prévisions météorologiques de l’Office national de la météorologie, dépassera les 36°c. L’humidité, quant à elle, dépassera les 47% pouvant atteindre les 76 % certains jours. Le mois d’août connaîtra de grandes perturbations dès le 10e jour avec un ciel couvert et de faibles chutes de pluie au début. La température dépassera parfois les 40°c. Mais à partir du 16 des averses importantes seront enregistrées et la température variera entre 28 et 30°c. Cette perturbation se prolongera jusqu’à la fin du mois d’août. Conséquence de cette canicule, le service des urgences de l’hôpital Mustapha-Pacha, à Alger, est débordé par les cas d’insolations et de pertes de conscience. A noter également des cas de crises d’asthme à cause du taux élevé d’humidité. Mais les cas les plus fréquents sont les coups de soleil, chez les enfants d’une moyenne d’âge de 5 ans.
«On se demande qui est responsable, la chaleur ou les parents ?», s’interrogea le médecin de garde. Le responsable de ce service, le Dr Boukhoukha, appelle les citoyens à faire davantage attention, plus que les jours précédents, en s’hydratant régulièrement et en évitant de sortir aux heures les plus chaudes, ou de ne le faire qu’en cas de nécessité. En plus des interventions pour noyades de jeunes dans les plages non autorisées à la baignade, la Protection civile enregistre ces derniers jours des appels au secours surtout pour des personnes âgées complètement déshydratées, des malaises cardiaques ou pour des pics de tension. Par ailleurs, des cas de pertes de conscience dans la rue sont assez fréquents chez les jeunes. Ces malaises sont généralement causés par la mauvaise hydratation et le manque d’alimentation (excès de boissons gazeuses ou manque d’appétit) mais également par l’exposition excessive au soleil, nous explique un représentant de la Protection civile qui ajoute qu’une alimentation saine et l’hydratation à l’eau régulière est nécessaire. Il faut éviter au maximum l’exposition au soleil. Cette situation, nous la vivons pratiquement chaque année. Rappelons que les périodes les plus chaudes de l’année dernière ont été enregistrées aux mois d’août et septembre, selon l’Office national de la météorologie.
source : soir d'Algerie

C’est la pagaille. Chez les étudiants, dans les cités universitaires, tout comme chez le ministère de l’Enseignement supérieur. Quelques heures après avoir annoncé le début des vacances du printemps dès demain, pour une durée de 25 jours, la tutelle a ordonné aux étudiants hébergés dans des cités de quitter leurs chambres.
Entre temps, l’Office national des oeuvres universitaires (ONEU) a annoncé le maintien de ses services, c’est-à-dire l’hébergement, le transport et la restauration.
Ce samedi, 09 mars 2019, au lendemain de manifestations pacifiques ayants rassemblées des millions d’Algériens contre le 5e mandat du président Abdelaziz Bouteflika, le ministre de l’Enseignement supérieur, Tahar Hadjar, a signé une décision mettant les universités d’office en vacances à partir de demain 10 mars et jusqu’au 04 avril.
Mais pas que. Quelques heures plus tard, des étudiants ont appris la fermeture, dès demain, de leurs résidences universitaires. Des annonces ont été placardées dans ces cités, demandant aux étudiants de préparer leurs affaires, ou les informant que le dernier repas assuré par la cantine est celui du diner d’aujourd’hui ou du déjeuner de demain.
Les directions de plusieurs cités universitaires, à Laghouat, Sétif et Ouargla, ont émis des communiqués, confirmant aux étudiants la suspension des services de restauration et de transport dès demain après-midi, où lundi matin au plus tard.
Les directions de plusieurs cités universitaires, à Laghouat, Sétif et Ouargla, ont émis des communiqués, confirmant aux étudiants la suspension des services de restauration et de transport dès demain après-midi, où lundi matin au plus tard.
huffpostalgerie.com

La place de l’implant dans la contraception a fait l’objet d’un débat organisé à l’occasion du 8e congrès de l’Association des gynécologues obstétriciens privés d’Oran (Agopo) qui s’est déroulé dimanche dernier.
Au cours du 8e congrès de gynécologie obstétrique qui s’est déroulé à Oran, le professeur Aubert Agostini, chirurgien gynécologue à l’hôpital de la Conception de Marseille, a présenté une communication portant sur la « place de l’implant dans la contraception ».
Il a expliqué que l’implant en question présente 4 critères essentiels pour assurer une bonne contraception en termes d’efficacité, de réversibilité, d’acceptabilité et de tolérance.
Le professeur Agostini a affirmé que l’implant est efficace à 99,9% avec une observance de 100%. Sa durée d’action, dira-t-il, est de 3 ans et présente un avantage attractif. Le spécialiste a expliqué que cet implant de la taille d’une allumette, s’insère en sous-cutané et permet la libération en continu de l’actif contraceptif soulignant la facilité de la pose et le retrait du dispositif. Le praticien a précisé que dès le retrait de l’implant, la femme retrouvait un cycle normal avec possibilité de tomber enceinte dès le mois d’après l’interruption de la contraception.
Avec peu de contre-indications, l’implant représente une méthode contraceptive judicieuse et efficace. L’exemple des femmes en surpoids ou obèses chez qui l’implant sera remplacé plus tôt pour assurer une efficacité optimale a été soulevé. « Les femmes en surpoids sont considérées à risque quand il s’agit de déterminer une solution contraceptive », a-t-il signalé. Raison pour laquelle, le professeur a indiqué que l’implant est une bonne solution pour cette catégorie de femmes. Il a été relevé que le nombre d’Algériennes sous contraception est de l’ordre de 60%, un chiffre considérable comparativement aux années 70 où la contraception ne concernait que 7% de la population féminine.
Les spécialistes ayant participé à cette rencontre ont conclu que le recul de l’âge de mariage pour les Algériennes, qui est passé de 22 ans en moyenne dans les années 70 à 32 ans actuellement, est l’un des facteurs qui a contribué à ce taux. Ils ont appelé, dans ce sens, à lever les tabous autour de la contraception pour éviter les drames sociaux (grossesse non désirée, avortement clandestin, complications après un avortement douteux et autres).
source : Horizons-dz.com

City Center organise du 17 au 31 mars de 15h à 19h plusieurs ateliers pour enfants :
- Ateliers cupcakes (Samedi –lundi- mercredi)
- Ateliers créatifs (Dimanche –mardi- jeudi)
- Ateliers de dessin et de coloriage tous les jours.
Pour le week-end du 23 il y aura une également une grande parade de cosplay Disney, ainsi qu’un clown farfelu et un magicien enchanteur.
Centre commercial City Center les Bannaniers
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.