
Pour ces vacances, les enfants auront un programme dédié de pièces de théâtre, de magie. Un programme culturel varié avec des pièces de théâtre éducatives pour divertir toute la famille. 100 Da/ticket
Kiddy sorties et l'ONCI vous souhaite de bonnes vacances.
Lieu pour les pièces de thèâtre qui se déroulent à boumerdes ; Salle Issr


Ne ratez pas le légendaire Abdelkader Secteur qui nous fera le plaisir de venir faire de votre soirée ramadanesque du 22 Avril un moment exceptionnel à El Meida. Rire et bonne humeur seront au rendez-vous.
Prix : 2000 Da simple
3000 Da VIP
INFOLINE 05 60 06 67 34 - 05 60 06 67 33
Pré-vente des tickets disponible dès ce soir à la réception du Royaume Hôtel- Golden Tulip.
Pelez et réduisez en purée 8 à 9 gousses d’ail, après avoir chauffé un petit verre d’huile d’olive dans une casserole. Versez ce dernier sur la purée d’ail préalablement placé dans un bol. Puis, mélangez le tout jusqu’à l’obtention d’un ensemble homogène. Le mettre dans une bouteille en verre, et laissez reposer pendant 2 à 3 jours. Appliquez sur le cuir chevelu, massez et laissez agir pendant une heure. Rincez ensuite à l’eau tiède. Il est recommandé de le faire 2 fois par semaine.
Il est des situations où l’homme reste sans voix devant certains comportements humains. L’histoire qui va suivre en est une. Elle est le récit de l’insoutenable calvaire que subit en ce moment même à Béjaïa une personne séquestrée depuis 31 ans par sa propre famille.
Pieds et mains ligotés par des chaînes, il se trouve dans une cave sombre spécialement conçue pour le priver de toute liberté, de tous mouvements par des geôliers qui ne sont autres que des membres de sa fratrie. Prenant son courage à deux mains, un cousin de la victime a décidé de rompre le silence en alertant la presse dans l’espoir que le détenu puisse recouvrer une vie humaine.
Les faits qu’il relate dépassent l’imagination. L’homme qui nous parle, Z. A., approche la cinquantaine. Sa gestuelle, les termes qu’il utilise et les moments d’absence durant lesquels il tente de se remémorer certains détails reflètent un traumatisme généré par cette situation terrifiante. Lui-même se dit avoir été victime d’un climat psychologique incroyable induit par le comportement d’un grand-père très spécial. Tout est parti de la folie de cet homme. «Mon grand-père était dominant, autoritaire. A la maison, personne ne pouvait le contredire, y compris mon père et celui de mon cousin (la victime). Il fallait impérativement obéir à tous ses ordres sans quoi, sa colère impitoyable s’abattait sur nous. A cette époque, mon cousin venait juste d’avoir 20 ans. C’était en 1985. Il avait alors été appelé au service national, mais il avait été très vite libéré pour un petit problème psychiatrique sans gravité».
C’est aussi l’époque à laquelle ce cousin découvre le tabac à chiquer. Il en est accro mais n’a pas les moyens d’en acheter et en quémande quotidiennement aux passants. Un jour, il tente carrément de dérober une boîte à chique d’une épicerie de sa ville, mais le propriétaire s’en aperçoit et réagit en le réprimandant. Le jeune s’emporte et brise la vitrine du magasin à coups de pierres. «Mes parents m’ont raconté que l’épicier s’est alors rendu chez mon grand-père pour se plaindre du fait». Le grand-père entre dans une grande colère. Il monte un plan machiavélique. C’est le début du calvaire de Z. A. Celui-ci se trouve dans une partie du jardin lorsqu’il voit venir vers lui son grand-père. Il est dans une fureur indescriptible. A l’aide d’une corde, il ligote son petit-fils à un arbre et le laisse ainsi, privé de nourriture durant plusieurs jours. Mais le temps qui passe n’apaise pas sa colère. Il prend la décision de l’emprisonner dans l’écurie familiale, située à une dizaine de kilomètres de la maison. La victime est enchaînée, abandonnée à son propre sort. Nul n’a le droit de lui rendre visite. La décision vaut également pour les parents et la grand-mère. «Ces années au service du grand-père diabolique sont difficiles à résumer, à raconter. Pour lui, seul compte son monde mental. Les autres sont des instruments. Il nous a enfermés dans ce climat psychologique pendant de longues années jusqu’à sa mort. Sa démence en a contaminé plus d’un, elle a fait des ravages».
Le grand-père finit par décéder, mais la victime n’en est pas pour autant libérée. Sa sœur, plus âgée d’une dizaine d’années, prend le relais. «Elle est d’une extrême méchanceté, elle est restée célibataire. Cette femme est dénuée de tous sentiments. Elle est là à surveiller tout le monde et personne n’ose franchir le seuil de sa demeure. A présent, il faut en finir et tout faire pour libérer mon cousin», fond en larmes notre interlocuteur. «Actuellement, il est malade, un membre de la famille a réussi à l’entrevoir après avoir escaladé le mur de la forteresse. C’était il y a cinq mois, il était souffrant, il avait été pris d’une crise épileptique, tout le monde dans son entourage pensait qu’il allait mourir. Même sa sœur, la geôlière était prise de panique. Pour la première fois, elle a accepté de le détacher. L’opération était difficile. Puis, elle lui a rasé la tête complètement et n’importe comment puis elle l’a nettoyé avant d’appeler les secours. En 30 ans, c’est la seule fois où il sortait de sa cave. Son frère cadet ne l’a pas quitté jusqu’à son retour en prison. Les pompiers qui étaient venus ignoraient complètement ce qui se passait», ajoute le cousin témoin. Le drame est que tout le voisinage sait par contre de quoi il en retourne. Ici, tous savent et se taisent. Silence compromettant, complice, incompréhensible…
Atterré par cette situation, le cousin de la victime décide un beau jour de dévoiler l’affaire aux autorités. «Il y a huit ans j’ai été au commissariat du 2e arrondissement déposer une plainte et signaler ce drame, l’officier m’a alors orienté vers un autre policier qui a pris note et mon affiliation sur une simple feuille pour ensuite ne rien faire. Tout le monde a cru qu’il s’agissait d’une pure farce».
Alertée à son tour, la Ligue des droits de l’Homme, bureau de Béjaïa, a réagi à travers son vice-président. Saïd Salhi estime que cette affaire est «un cas d’une extrême gravité» et interpelle les instances judiciaires, toutes les âmes sensibles à agir rapidement pour libérer l’homme en question, «il s’agit d’une affaire de dignité humaine. Si ce monsieur est malade, sa place n’est pas dans un cachot mais plutôt dans un hôpital, je suis vraiment ému par ce drame humanitaire».
A l’heure actuelle, la victime est toujours enchaînée dans cette cave sombre. Mais, aujourd’hui tout le monde sait. Le soulagement est peut-être proche pour Z. A
kabylie-news.com

Le président du Comité interprofessionnel du lait a admis implicitement, jeudi, que le prix du litre de lait, conditionné jusqu’alors sous plastique, allait connaitre une augmentation, se demandant si celle-ci allait être « supportable pour certaines catégories de gens ».
S’exprimant à l’émission l’Invité de la rédaction de la chaine 3 de la Radio Algérienne, M. Mahmoud Benchakor tente d’expliquer ce rééchelonnement par l’introduction d’un nouvel emballage dans lequel cet aliment va être, à partir de mars prochain, conditionné, entraînant une augmentation se situant « de 5 à 8 dinars ».
Selon lui, il sera malaisé de faire admettre aux Algériens l’idée d’un accroissement du coût du litre de lait parce que, tente-t-il d’expliquer, «beaucoup de gens restent attachés à celui auquel il est cédé actuellement ».
Le prix du lait « est tellement bas » semble-t-il se lamenter. Une situation dont il observe «qu’elle n’existe nulle part dans le monde » et qui entrainerait à l’en croire, « beaucoup de consommation et de gaspillage » et des « fuites à travers les frontières ».
M. Benchakor relève, par ailleurs, que le déficit en matière de production laitière «est si important » qu’il est urgent de renforcer la stratégie nationale pour renverser la tendance.
Notant que les besoins en lait de l’Algérie se situent, annuellement, à quelque 4,5 milliards de litres alors que «nous ne produisons localement qu’entre 600 à 800 millions de litres » sur la même période, il révèle que ces quantités sont généralement transformées en yaourt, en lait fermenté et autres fromages.
Il impute, d’autre part, le déficit de lait dans le pays à une production fourragère et un cheptel insuffisants estimant que si l’Algérie produisait des aliments du bétail en quantité, cela lui permettrait de disposer d’un cheptel d’un million de vaches laitières qui la libérerait, du même coup, de sa dépendance vis-à-vis des marchés étrangers.
N’étant pas en mesure de chiffrer « exactement » les quantités de lait importées sous forme de poudre, le directeur du Comité du lait chiffre les subventions débloquées en soutien au prix du lait recombiné à environ 20 milliards de dinars/an.
Si, «parce que nous avons une population à approvisionner», il refuse de cautionner l’idée d’interdire l’importation de lait en poudre, laquelle, appuie-il, freine la production nationale, il n’en propose pas moins, en échange d’un production nationale, de « retirer petit à petit » ce produit du marché.
Pour promouvoir la filière lait dans le pays l’idée, d’après lui, consisterait à inverser la tendance, en dirigeant les sommes consenties pour soutenir le prix de cet aliment, vers la production locale.
source : radioalgerie.dz
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