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ALGER - L'Algérie va réceptionner vendredi le premier lot du vaccin russe anti-Covid-19, "Spoutnik-V", ce qui lui permettra de lancer dès samedi la campagne de vaccination, conformément aux instructions du président de la République, Abdelmadjid Tebboune.
Le 20 décembre dernier, le Président Tebboune avait donné des instructions au Premier ministre, Abdelaziz Djerad, à l'effet d'accélérer le processus de sélection du vaccin adéquat anti-Covid-19 et de lancer la campagne de vaccination dès janvier 2021.
Une première cargaison du vaccin russe va arriver vendredi à l'aéroport de Boufarik à Blida, a indiqué le ministre de la Communication, Porte-parole du gouvernement, Ammar Belhimer, qui a souligné que "la campagne de vaccination sera lancée symboliquement à partir de cette wilaya", longtemps considéréecomme premier foyer de l'épidémie en Algérie.
Les premières doses du vaccin seront administrées au personnel du corps médical, aux personnes âgées ou atteintes de maladies chroniques avant d'élargir l'opération aux différentes catégories de la société, a-t-il précisé dans une déclaration à la presse nationale.
En plus du vaccin russe, il est attendu que l'Algérie reçoive un autre lot de vaccin anti-Covid-19 en provenance de la Chine et de l'Inde, ainsi que d'autres pays.
L'Algérie devrait, en effet, réceptionner, en février, un autre lot du vaccin développé par le laboratoire pharmaceutique anglo-suédois AstraZeneca en collaboration avec l'Université d'Oxford.
Le ministre de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière, Abderrahmane Benbouzid, avait présenté, lors d'une réunion du gouvernement, fin décembre, les démarches engagées par son secteur dans le cadre de l'acquisition du vaccin anti-Covid-19, portant sur l'état d'avancement des contrats y afférents et qui permettront la réception des premières livraisons du vaccin afin d'entamer l'opération de vaccination dès le mois de janvier.
Dans la perspective du lancement de la campagne de vaccination, une formation des encadreurs de cette campagne contre la Covid-19 a été lancée dernièrement.
"Ces formateurs sont appelés à former, à leur tour, d'autres personnes au niveau local", avait souligné le Porte-parole du Comité scientifique chargé du suivi de l'évolution du Coronavirus, Dr Djamel Fourar sur les ondes de la radio nationale.
Selon ce responsable, le vaccin sera administré "obligatoirement en 2 doses, pour la même personne avec un intervalle de 21 jours".
"Autrement, ce vaccin sera sans effet étant donné que chaque dose ne procure que 50 % d'immunité contre le virus", a-t-il expliqué, insistant sur l'importance que le personnel de la santé soit la première catégorie de la population à en bénéficier, suivi des différents corps de sécurité, des citoyens âgés de 65 ans et plus, puis des malades chroniques.
"S'en suivra, enfin, toute la population de 18 ans et plus, les essais cliniques entrepris dans le monde n'ayant pas concerné, à ce jour, celle en dessous de cette tranche d'âge ainsi que les femmes enceintes", a-t-il soutenu, avant d'insister sur les critères de "sécurité, d'efficacité et de chaîne de froid" sur lesquels s'est basée l'Algérie dans ses choix de vaccins.
Le Dr Fourar a tenu, dans ce contexte, à rassurer la population, soutenant que "l'Algérie a opté pour des vaccins sûrs, avec une bonne innocuité et le moins d'effets secondaires".
Toutefois, "il faut aussi savoir que la campagne de vaccination durera un an ou plus", a-t-il prévenu, faisant remarquer qu'" aucun pays ne peut mener sa campagne de vaccination avec un seul vaccin".
Il a estimé, à ce titre, qu'"un taux minimum de 60 à 70 % de couverture vaccinale" est nécessaire pour réussir à stopper la circulation du virus.
Et de rappeler qu'en sus des vaccins importés, l'Algérie bénéficiera du dispositif Covax de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS), incluant 190 pays et garantissant à ces derniers de faire vacciner, à proportions équitables, 20 % de leurs populations respectives.
Détaillant le Plan de vaccination qu'il qualifie de "flexible et modulable", Dr Fourar a assuré que "tout le monde est prêt" pour mener à bien la campagne y afférente, d'autant plus que les vaccins choisis par l'Algérie sont "traditionnels, avec le même fonctionnement que ceux auxquels elle s'est habituée car n'ayant pas subi de manipulation génétique".
En plus de la chaîne de froid "disponible", la logistique liée à la campagne de vaccination s'appuiera sur les 8000 centres habituels à une telle opération, a-t-il rappelé, faisant savoir que "d'autres pourront être mobilisés au niveau des hôpitaux, si nécessaire".
De même que des équipes mobiles se déplaceront vers les zones d'ombre et enclavées du pays afin de faire bénéficier l'ensemble de la population du vaccin, a-t-il poursuivi, précisant que "toute personne vaccinée se dotera d'un carnet de vaccination, qui pourrait, à l'avenir, être exigé par certains pays lors de déplacements à l'étranger". APS
J’’aimerais partager avec vous quelques mots d’une grande révolutionnaire de notre monde Djamila Bouhired qui me dit : ‘‘Il vous appartient à vous les artistes qui mettez de la lumière dans l’obscurité de notre quotidien, il vous appartient à vous tous de dessiner votre avenir et de donner corps à vos rêves, ne les laissez pas pervertir la noblesse de votre combat, ne les laissez pas vous voler votre victoire.’’»
Ces mots de Djamila Bouhired, rapportés par la jeune Lyna Khoudri en recevant son César de Meilleur espoir féminin, dans une courte déclaration émouvante, sonnent comme un message aux Algériens qui se battent pacifiquement depuis un an pour une Algérie démocratique tolérante, plurielle, ouverte sur la modernité.
C’est aussi, à quelques jours du 8 mars, un encouragement aux femmes algériennes qui militent depuis plusieurs décennies pour leur dignité, pour un statut de citoyennes dans un pays de citoyens.
Qui résistent et se rebellent contre l’obscurantisme, l’islamisme et les mentalités rétrogrades et archaïques. «Merci à Mounia Meddour de m’avoir offert ta vie, de m’avoir donné le rôle de Nedjma-étoile», a ajouté Lyna Khoudri. Cette vie dans laquelle se reconnaîtront des millions de jeunes Algériennes.
Non sans avoir remercié ses parents, la fille de notre confrère Rabah Khoudri a remercié son père «qui (lui) a appris à aimer le cinéma, qui (lui) en adonné le goût». Salué par les César du Meilleur premier film et du Meilleur espoir féminin pour Lyna Khoudri, Papicha de Mounia Meddour, lancé à Cannes en mai 2019, a ainsi poursuivi son parcours par une double consécration.
Papicha est un film sur la volonté de vivre sans entraves, sur la quête de tolérance, de modernité dans une Algérie ensanglantée des années noires.
Le film, qui crève l’écran par sa sensibilité, son humanisme et la soif de vie de ses actrices, malgré des scènes de grande violence et de mort, aide à comprendre l’Algérie, ses traumatismes, ses luttes pour la liberté, la tolérance et la démocratie.
Un film chargé d’émotion. Celle dégagée par l’histoire qu’il porte et par le jeu percutant des actrices, particulièrement de Nedjma, l’actrice principale.
Un film sur la vie, la rage de vivre, qu’exprime Nedjma (Lyna Khoudri), quand elle dessine avec frénésie ses modèles de robe, puis les raye et les déchire. Lyna Khoudri est convaincante dans son rôle de rebelle aux carcans de la tradition patriarcale ou/et de l’idéologie islamiste. Comme sa mère (dans le film), elle utilise le haïk, voile traditionnel dont se couvraient les citadines algériennes.
Sa mère s’en servait pour cacher la bombe ou les messages pour le compte du FLN pendant la guerre de Libération nationale.
Nedjma, comme sa mère, fera du haïk un outil de résistance, en le détournant et en faisant des robes et autres toilettes qui mettent en valeur le corps féminin et l’embellissent.
C’est aussi une manière de se reconnaître dans la filiation de la résistance des générations précédentes de femmes. Et c’est en ce sens que Papicha est un film qui en appelle à la mémoire, la mémoire de la résistance des femmes, qui ne doit pas être étouffée, mais se transmettre et continuer à vivre de génération en génération comme cette rose, que Nedjma ira planter sur la tombe de Linda, sa sœur journaliste assassinée, ou comme cette petite vie portée par Samira, son amie et camarade de cité universitaire.
Papicha, qui se veut un hommage et un témoignage de la résistance des femmes algériennes au conservatisme et à l’intégrisme islamiste échappe aux clichés. Le film n’est pas manichéen, il montre la complexité de la société algérienne.
source : elwatan.com
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Source : algeria news event
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Ces bibliothèques itinérantes proposent aux estivants des ouvrages en tout genre : romans, livres scientifiques, bandes dessinées, recueils de poésie et revues.
Les biblio-plages s’installent dès le matin au niveau des plages de Messida, la Grande plage, Henaya, Sables d’or, Vieille Calle, les Sabées, El Bettah et D’raouch, relevant des communes de Souarekh, El Kala, Ben’M’Hidi, Berrihane et El Chatt, au grand bonheur des estivants amoureux de la lecture et du livre.
algeriemondeinfos.com
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