Banane : Enfin une baisse des prix 08 Avril 2017 Société Algérienne § Culture § économie
Grâce aux licences d’importations de la banane misent en place, les prix de la bananes baissent enfin ! c’est ce qu’on a pu constater aujourd’hui sur les marchés de la capitale. effectivement, après avoir atteint les 800 dinars ces derniers mois , on le retrouve aujourd’hui à 400 dinars le kg. d’après Abdelhamid bouarroudj, expert et consultant pour le groupe privé LACHEB, filiales importatrice de ce fruit, cette baisse est due aussi à l’arrivé des quantités importées.
algerie360.com
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La fièvre des tablettes s’empare de l’Algérie09 Juin 2014
Une solution de sécurité automobile, développée par une start-up algérienne, pouvant arrêter en 30 secondes un véhicule volé, est présentée au salon des startups VivaTechnolgy de Paris dans le but de trouver un partenariat d’investissement.
VivaTechnology Paris, ouvert jeudi, est un salon, regroupant 5.000 start-up dont 10 algériennes, des investisseurs et des bailleurs de fonds, qui veut consolider l’apport des startups dans les secteurs économiques.
La solution Paravol, mise au point par KindTech Center, une start-up algérienne dont le siège est au Cyber-parc de Sidi Abdellah (Alger), est un système électronique embarqué (autonome et spécialisé dans une tâche bien précise), à réaction « imminente et automatique », non connecté au réseau du véhicule et au réseau privatif.
Son promoteur, Hamid Kacha, rencontré au deuxième jour du salon, a expliqué dans un entretien à l’APS que sa mission principale est de « faire échouer toute tentative de vol au moins de 30 secondes », relevant que pour les différents types de vol, « il n’existe pas vraiment actuellement une solution approuvée sur le marché ».
Paravol fonctionne avec un identifiant secondaire par rapport à celui d’origine du véhicule qui est généralement soit la clé ou la carte de démarrage.
La reconnaissance automatique de l’identifiant peut être un badge RFID (Radio Frequency IDentification) ou tout simplement un téléphone portable en communication avec le dispositif.
« S’il y absence de l’identifiant ou tentative de vol, le dispositif réagit en 30 secondes », a expliqué le gérant de KindTech, une des 10 startups sélectionnées par un comité de parrainage composé de représentants du ministère de l’Industrie et des Mines, du cluster numérique ADC (Algerian Digital Cluster), du cabinet de consulting EY (ex. Ernst and Young) et de chefs d’entreprises.
C’est un dispositif qui se déclenche trois secondes après le démarrage du véhicule s’il détecte l’absence de l’identifiant. Il émet des bips sonores toutes les 3 secondes durant 18 secondes.
« Si le propriétaire du véhicule a oublié son identifiant, il doit s’arrêter en quelques secondes pour aller le chercher », a-t-il expliqué indiquant qu’en cas de déficience de l’identifiant, Paravol dispose également de clavier pour donner la possibilité au propriétaire d’introduire un code secret.
« Si ce n’est pas le cas, à la 5e seconde, le dispositif limite la vitesse du véhicule à 20 km/heure et l’occupant du véhicule ne peut ni accélérer ni aller très loin », a-t-il ajouté, précisant que le dispositif incite l’occupant à arrêter le véhicule.
A la 10e seconde, lorsque le véhicule n’est pas arrêté, Paravol envoie un SMS au propriétaire lui indiquant que son véhicule a été volé, suivi d’un message vocal invitant l’occupant à arrêter le véhicule. A la 15e seconde, s’il n’y a pas de répondant de la part de l’occupant, le dispositif commande la protection périmétrique (feux de détresse et alarme) et limite la vitesse à 10 km/heure pour préparer le véhicule à l’arrêt, suivi d’une prise d’une photo de profil de l’occupant puis l’arrêt systématique du moteur avec l’impossibilité d’un autre démarrage.
Paravol prévient également le propriétaire du véhicule si ce dernier a été volé par soulèvement ou remorquage.
« Nous proposons trois versions de Paravol. La troisième version (Paravol++) est dotée d’un système de GPS et en cas de kidnapping du chauffeur, par exemple, le dispositif envoie des SMS à plusieurs personnes dont les numéros de téléphone portable ont été préalablement enregistrés », a encore expliqué Hamid Kacha, soulignant cette version donne la possibilité de « traquer le véhicule, le déclarer à temps et l’arrêter à distance ».
Pour cette solution innovante, fonctionnelle depuis plus de 18 mois et dont les tests sont réussis à 70 %, le concepteur espère trouver, au salon VivaTechnology de Paris qui fermera ses portes samedi, un partenariat d’investissement « fort et durable ».
aps.com
55% des jeunes filles tolèrent la violence contre les femmes : l’avancée juridique contre l’échec des acteurs de la société
Selon une enquête réalisée par l’ONS (Office national des statistiques) en 2015, 55% des jeunes adolescentes, âgées entre 15 et 19 ans, tolèrent que des femmes soient battues par leurs conjoints et banalisent des actes de violence en leur trouvant des justifications. Des chiffres appuyés par des témoignages de jeunes filles recueillis par la journaliste de la Radio chaine 3, Nesrine Cherikhi, à la sortie d’un lycée.
Un constat alarmant au regard de tous les efforts jusque-là entrepris au niveau législatif par le Gouvernement en vue de protéger les femmes contre toutes sortes de violence. Rappelons dans ce sillage la, très controversée, loi incriminant les violences faites aux femmes. Celle-ci avait subit un blocage de plusieurs mois après son adoption par l’Assemblée nationale avant d’être promulguée le 10 décembre 2015. Passée aux forceps, c’est une victoire pour les femmes.
Cet écart flagrant entre l’arsenal juridique et les réalités sociales sur le terrain, laisse surtout affleurer en surface toute les contradictions et la faiblesse des actions de sensibilisation pour faire évoluer les mentalités. En effet, il ne suffit pas de promulguer des lois pour faire bonne figure vis-à-vis de nos partenaires étrangers et autres organisations internationales de défense des droits humains, mais encore faut-il faire des choix clairs et engager une stratégie résolue pour les traduire en réalités à travers l’action conjuguée de tous les acteurs de la société, à commencer par les médias, l’Ecole et l’adaptation du discours religieux.
Les 45% de jeunes filles, de farouches rebelles contre l’humiliation
Si cette catégorie de jeunes filles (les 15- 19 ans) tolère qu’un mari bât sa femme (55%), il reste quand même les 45% d’entre elles qui non seulement le contestent, mais le combattent farouchement (écouter les témoignages).
Celles-ci refusent toutes sortes de violences, notamment verbale qu’elles subissent… Entendre le harcèlement dans la rue ou dans d’autres espaces dont nos petites jeunes filles souffrent quotidiennement.
Les filles : un taux d’alphabétisation de 95,2%
Mais l’enquête fait aussi ressortir des aspects positifs à commencer par le fort taux d’alphabétisation de cette catégorie (les jeunes filles de 15 à 19 ans) qui compte 1 105 000 personnes. Un taux de 95,2%. Aussi, le taux du mariage précoce (avant l’âge légal – 19 ans) est quasi-nul (0,1%), toujours selon la même enquête.
Radioalgerie.dz
On parle d’infusion quand on laisse un ingrédient diffuser sa saveur dans l’eau, généralement chaude, pour la parfumer. La décoction consiste, en revanche, à faire bouillir l’eau avec l’ingrédient pour en extraire les arômes. On conseille l’infusion pour tous les végétaux délicats (feuilles fines, fleurs) et la décoction pour les plus résistants (feuilles épaisses, baies entières, écorce, tiges, racines). On peut choisir d’utiliser une plante pure ou d’en marier plusieurs pour obtenir un mélange de saveurs et de bienfaits. N’hésitez pas à tenter des accords d'aprés le site regal.fr
La plupart des infusions se préparent à une température optimale de 70 à 90 °C, afin de préserver les bienfaits des plantes. Si on en a le temps, on peut également faire des infusions à froid, notamment avec des plantes fraîches. Laissez, par exemple, tremper quelques heures des feuilles de menthe ou de mélisse froissées dans de l’eau à température ambiante, leur saveur sera nettement plus rafraîchissante et moins amère que si vous aviez utilisé les mêmes plantes séchées en infusion.
La fièvre des tablettes s’empare de l’Algérie
Depuis quelques semaines, le marché algérien des tablettes numériques semble connaître une expansion sans précédent. Qu’en est-il vraiment de cette “fièvre des tablettes”, et quelle est le lien entre l’augmentation des ventes et l’arrivée de la 3G ?
Il est à peine 9 H et déjà la foule se presse devant le magasin Ooredoo de l’avenue Didouche-Mourad, située à Alger-centre. Comme tous les jours depuis plus d’une semaine, des centaines de personnes attendent patiemment de pouvoir rentrer dans la boutique de l’opérateur téléphonique. Le mot « tablette » est sur toutes les bouches. La raison de ce soudain engouement ? Une promotion exceptionnelle proposée par Ooredoo jusqu’au 2 juillet prochain : une tablette offerte pour l’achat d’une offre 3G prépayée.
Des passants, étonnés, interrogent les acheteurs. À l’annonce de l’offre, certains s’arrêtent et viennent grossir la foule. D’autres, plus dubitatifs, passent leur chemin. Un homme s’exclame, atterré : « C’est sérieux ?! » Oui, très sérieux : la fièvre des tablettes s’est emparée des Algérois.
Un marché en pleine expansion
Depuis le lancement de la 3G en Algérie, le marché des tablettes a connu une expansion sans précédent. Le phénomène est trop récent pour être documenté statistiquement, mais il est constaté par tous les vendeurs. Redouane, vendeur au show-room Condor, le confirme : « depuis l’apparition de la 3G, il y a eu un boom des ventes de tablettes. C’est un marché extrêmement prolifique en ce moment. »
Mais quel rapport peut-il bien exister entre la 3G et l’augmentation des ventes de tablettes. Une étudiante rencontrée devant le magasin Ooredoo semble détenir la réponse. Si elle souhaite acquérir une tablette, « c’est pour la connexion internet» confie-t-elle. « Pour aller sur Facebook, » ajoute-t-elle avec un sourire. Comme la plupart des Algérois, elle possède un ordinateur. « Mais avec la 3G, la tablette acquière un avantage supplémentaire, » précise-t-elle. « On peut désormais se connecter partout, tout le temps», se réjouit notre interlocutrice.
La possibilité de se connecter facilement à Internet est également mise en avant par Saïd, vendeur chez Djezzy. « Les clients achètent des tablettes principalement pour se connecter à Internet, mais aussi pour regarder des films et prendre des photos, » explique-t-il.
Une gamme de produits diversifiée
L’avènement de la tablette en Algérie n’est donc pas le signe d’une révolution informatique majeure. Tout simplement, elle permet un accès facilité à des technologies existantes. Mais si l’utilisation est globalement identique chez tous les heureux détenteurs de tablettes, les choix d’achat varient en fonction du profil. « Les connaisseurs achètent la tablette Samsung, les débutants la tablette Condor, » explique-t-il. « Les premiers veulent un système d’exploitation rapide et performant, alors que les seconds décident surtout en fonction du prix ».
Or, les prix des tablettes varient du simple au double. Une tablette 10’’ de la marque Condor coûte 13900 DA. Pour un produit similaire, il faut débourser 44000DA chez Samsung. Redouane a une explication simple pour cette énorme différence. « La variation du prix n’a rien à voir avec la qualité, » assure-t-il, « elle est surtout liée à la marque. La preuve, les tablettes Condor et Samsung utilisent le même système d’exploitation, Androïd. Et c’est la même chose avec l’I-Pad, son prix n’est que le reflet de la valeur de la marque Apple ».
Mais tout le monde n’est pas du même avis. Une Algéroise parlait récemment d’une de ses amies qui avait acheté un I-Pad pour elle et une tablette Condor pour sa petite fille : « La qualité n’est vraiment pas la même. On peut comparer une tablette Condor et une tablette Samsung, mais toutes les deux n’ont rien à voir avec la rapidité, la facilité d’usage et la résolution d’un I-Pad», explique-t-elle.
En attendant, ce sont aujourd’hui les tablettes Ooredoo qui font un tabac. Les nouveaux propriétaires, le sourire aux lèvres, peinent à se frayer un chemin jusqu’au trottoir. À leur sortie, ils font l’objet de nombreux regards envieux. La frénésie ne fait que commencer.
source : focus-algerie.com
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