
[éditions barzakh] organise une RENCONTRE avec Kaouther ADIMI à l'institut fraçais d'Alger
le Jeudi 30 janvier à partir de 18.00.
Vente-signature de son roman "Les Petits de Décembre" à la fin des de la rencontre.
Les Petits de Décembre ( résumé ) :
C’est un terrain vague, au milieu d’un lotissement de maisons pour l’essentiel réservées à des militaires. Au fil des ans, les enfants du quartier en ont fait leur fief. Ils y jouent au football, la tête pleine de leurs rêves de gloire. Nous sommes en 2016, à Dely Brahim, une petite commune de l’ouest d’Alger, dans la cité dite du 11-Décembre. La vie est harmonieuse, malgré les jours de pluie qui transforment le terrain en surface boueuse, à peine praticable. Mais tout se dérègle quand deux généraux débarquent un matin, plans de construction à la main. Ils veulent venir s’installer là, dans de belles villas déjà dessinées. La parcelle leur appartient. C’est du moins ce que disent des papiers « officiels ».
Avec l’innocence de leurs convictions et la certitude de leurs droits, les enfants s’en prennent directement aux deux généraux, qu’ils molestent. Bientôt, une résistance s’organise, menée par Inès, Jamyl et Mahdi.
Au contraire des parents, craintifs et résignés, cette jeunesse s’insurge et refuse de plier. La tension monte, et la machine du régime se grippe.
A travers l'histoire d’un terrain vague, Kaouther Adimi explore la société algérienne d'aujourd'hui, avec ses duperies, sa corruption, ses abus de pouvoir, mais aussi ses espérances.

150 g de farine
75 g de beurre
1 fond de verre d'eau, sel
1 trait d'huile d'olive
Pour la garniture :
300 g d'aubergine grillées (vous pouvez les acheter surgelées)
3 tomates coupées en dés (c'est meilleur sans les pépins!)
1 boule de mozzarella coupée en dés
Parmesan râpé
Huile d'olive
Préparation
Etape 1
La pâte : mélanger rapidement avec la paume de la main la farine, le sel et l'huile avec le beurre ramolli en pommade.
Ajouter un trait d'eau, pour lier et rassembler la pâte en boule (si elle est trop collante, rectifier en ajoutant de la farine), et laisser reposer 1 h si possible.
Etape 2
Garniture : étaler la pâte dans un plat fariné, saupoudrer le fond de tarte de parmesan râpé, puis étaler la moitié des aubergines (même sorties du congélateur à l'instant!).
Etape 3
Parsemer de la moitié des tomates et de mozzarella, saler, poivrer, et répéter une fois l'opération.
Etape 4
Terminer avec un filet d'huile sur l'ensemble, puis du parmesan.

Voici les meilleures soirées du jour de l'an 2016; vous trouverez la soirée qui vous convient en fonction de votre âge ,de vos goûts musicaux et de votre Budget .
Nous vous souhaitons un Bon Réveillon et une soirée de l'an 2016 mémorable !
31 décembre à 20h
Hilton Algerie

Des dizaines de citoyens, dont une majorité de jeunes, se sont rassemblés samedi à la Place Audin, à Alger pour se solidariser avec le musicien Mohamed Dadah, qui a été arrêté jeudi dernier par des policiers qui lui reprochaient d’occuper « la place publique ».
Répondant à un appel lancé sur les réseaux sociaux, des citoyens sont venus exprimer leur refus de cet acte que beaucoup considèrent comme de la « hogra ». Beaucoup ne comprennent pas comment on peut arrêter un jeune qui joue à la guitare sur une voie publique alors que des voleurs ou des squatteurs de parkings ne sont pas inquiétés.
Ce rassemblement, qui a drainé beaucoup de monde au début de l’après-midi, a donné lieu à de belles images. C’est le cas de cette jeune fille qui joue au violon à coté de son petit-ami qui, lui, est venu avec sa mandoline. D’autres citoyens chantent a capella tandis que d’autres discutent normalement entre eux. Tout cela se déroule dans un climat serein. Et si dans la matinée des policiers ont tenté de disperser les premiers manifestants, les services de l’ordre ont pratiquement disparu des regards l’après-midi. Une preuve que les autorités ont tenté de calmer les esprits. « Mais que veulent-ils ? Un Etat de Hamadache ? », S’interroge une jeune fille. « C’est une belle image. Je n’en reviens pas ! », commente le réalisateur Remdane Iftini.
Mohamed Dadah, dit de Moh Vita Boy, est un chanteur de rue qui se produit chaque jour sur le trottoir de la Place Maurice-Audin au centre-ville d’Alger. Le jeune homme est accompagné de sa guitare. Il pose toujours devant lui une petite assiette pour recevoir quelques pièces de monnaie que des passants veulent bien lui donner. Jeudi, des policiers l’embarquent, suscitant un large mouvement de solidarité. Aux dernières nouvelles, l’APC d’Alger-Centre a décidé d’accorder au jeune chanteur une « autorisation » qui lui permet de travailler sans problème.
source : algerie-focus.com

La projection du documentaire « Résistantes » de Fatima Sissani qui devait avoir lieu samedi dans le petit village de Sainte-Livrade sur Lot, dans le Lot et Garonnedans le cadre d’un programme de rencontres organisé par (AOC de l’égalité, Ancrage en partage, Rahmi, Alifs, Cinéma L’Utopie) a été empêchée suite aux menaces proférées par le Rassemblement national, d’une partie de la communauté harki et des pieds noirs, précise ce dimanche 24 novembre le quotidien francophone El Watan.
« Nous souhaitions donner la parole à des femmes engagées, d’hier à aujourd’hui. Mais il semble malheureusement que l’Histoire soit encore trop douloureuse pour pouvoir engager un dialogue serein. Nous n’avions pas d’autre objectif que d’ouvrir un espace de dialogue, respectant la dignité de tou.te.s, et surtout pas d’encourager des discours haineux, encore moins des actes de violence », a-t-on écrit sur la page Facebook du Cinéma Utopia.
La réalisatrice du film documentaire Fatima Sissani s’est également exprimé sur l’annulation de : « Face aux menaces du Rassemblement national, d’une partie de la communauté harki et des pieds noirs, il m’a été très fortement conseillé de renoncer à me rendre à cette projection sauf à accepter, comme proposé par le commandant de gendarmerie d’y aller sous la protection d’un escadron de policiers (…). A son tour le directeur du cinéma qui souhaitait tout de même maintenir la projection a dû finalement y renoncer en raison des menaces que ces extrémistes ont continué à faire peser sur le cinéma. In fine, le cinéma lui-même a fermé ses portes aujourd’hui. Stupéfiant. Evidemment, cette horde d’ignares n’a même pas vu le film. Car alors ils auraient découvert qu’à aucun moment les Harkis ne sont mentionnés et qu’il ne s’agit pas d’une apologie du FLN. Ce film est une ode à la résistance à l’oppression. Mais 50 ans plus tard, il demeure toujours impossible pour certains d’entendre que la colonisation française en Algérie constitue un génocide doublé d’un »sociocide ». Impossible d’entendre parler du FLN dans des termes autres qu’injurieux et méprisants. Tant que l’Etat français ne reconnaitra pas et ne condamnera pas l’ampleur du crime colonial et des horreurs commises par l’armée française pendant la guerre d’Algérie, nous serons confronté.e.s à ce type de situations ».
Algerie360.com
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