Collecte de sang :
Une goutte de ton sang, une minute de ton temps, une vie pour un petit, une chance pour un grand
du 25 au 31 juillet 2016
Heure : 10h-14 h
Lieu : Mustapha Bacha

La vidéo, rapidement devenue virale sur les réseaux sociaux, montrant un mineur âgé de 15 ans frôlant l’hystérie, a mis en émoi l’opinion publique.
D’une voix saccadée entrecoupée de sanglots, Saïd Chetouane s’est plaint d’un harcèlement corporel et moral qu’il aurait subi pendant les douze heures qu’il avait passées au commissariat de Bab El-Oued. Il a été interpellé, dans ce quartier populaire, plus tôt dans la journée de samedi, alors qu’il participait à une manifestation contre le régime.
L’adolescent s’est visiblement ressaisi au lendemain de “son supplice”. Contacté par téléphone, il nous a confié qu’il engagerait, sous la tutelle de ses parents, des poursuites judiciaires contre ses présumés agresseurs.
Il s’échinait, hier, à constituer le dossier de la plainte. “Je me suis déplacé chez un médecin pour qu’il m’oriente vers le service de médecine légale du CHU de Bab El-Oued, lequel devait me délivrer un certificat médical descriptif. Je suis parti ensuite à l’hôpital psychiatrique de Blida pour un soutien psychologique. Là où je vais, on me demande de revenir le lendemain”, a-t-il affirmé.
Par pudeur, le jeune garçon n’a pas voulu nous raconter ce qu’il a réellement enduré dans les locaux de la sureté nationale. Deux activistes dans le Hirak, Mohamed Tadjadit et Sohaïb Debaghi en l’occurrence, l’avaient, néanmoins, filmé la veille en détresse, soutenant avoir été victime d’“attouchements sexuels” pendant sa courte garde-à-vue. Sa maman a corroboré les faits sur la foi des confidences du garçon.
La Ligue algérienne de défense des droits de l’Homme a aussitôt rendu public un communiqué dans lequel elle incite le parquet général à s’auto-saisir sur “ces allégations de torture” et ouvrir une information judiciaire.
La section locale d’Amnesty International exige, également, l’ouverture d’une enquête sur cette affaire. “Les conclusions de cette enquête doivent être rendues publiques dans les plus brefs délais et les responsables présumés traduits en justice dans le cadre d’un procès équitable”, souligne l’ONG.
Le Comité national de libération des détenus (CNLD) s’est insurgé contre “des agissements choquants, inhumains et inadmissibles”. L’ex-députée RCD, avocate et militante des droits de l’Homme, Fetta Sadat, s’est indignée, sur son compte des réseaux sociaux, sur la récurrence des violations des dispositions “de la loi fondamentale et des conventions internationales dûment ratifiées par l’Algérie, en l’espèce, celles portant sur la protection de l’enfant (…) Les responsabilités doivent être situées, les auteurs de ces actes ignobles démasqués et condamnés. On n’attente pas impunément à l’enfance”.
Karim Tabbou, coordinateur de l’Union démocratique sociale (UDS, parti non agréé), a condamné durement les faits : “(…) Les sévices subis par Saïd Chetouane sont d’une gravité telle que personne n’a le droit de rester indifférent.” Il rappelé des cas similaires, signalés dans plusieurs régions du pays. “C’est une pratique qui tend à devenir systématique. Le pouvoir utilise tous les procédés de persécution pour tenter d’affaiblir le Hirak”, a-t-il affirmé.
Ce n’est pas la première fois que des cas similaires sont rapportés par les médias. Walid Nekiche, un étudiant de 25 ans, a révélé, lors de son procès en première instance, avoir été “agressé physiquement et sexuellement” pendant les interrogatoires par les services de sécurité.
Le parquet général avait ordonné l’ouverture d’une enquête préliminaire. Mais à ce jour, rien ne filtre sur les résultats de cette enquête. Quelques semaines plus tard, un autre activiste, Sami Dernouni, avait juré aussi devant le juge de siège qu’il avait été victime de torture lors de sa garde à vue dans les locaux des services de sécurité.
Source : journal liberté

Une randonnée nocturne à vélo est prévue pour ce vendredi 17 novembre 2017 sur Alger Centre.
Rendez vous au parking du parc Sofia (rencontre à 19h30) pour un départ à 20H00.
Nos vélos sont en location pour la randonnée sur réservation au 05 54 58 61 80 (les appels entre 9 et 18H)
Pour ceux qui ont leurs propres vélos, ils vous ai possible de nous rejoindre (Dans ce cas c'est gratuit pour vous )

Pour faire un jus de fruits-légumes sans extracteur, il nous faut :
Les étapes :
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éplucher les peau épaisses (orange, pamplemousse, gingembre, queue de pomme, etc.)
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couper les fruits et légumes en morceaux et les mettre dans le mixeur
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ajouter la demi-tasse d’eau
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mixer!
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filtrer!
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déguster!

Elle a déjà fait le buzz sur la toile algérienne, jeune fille et bosse comme chauffeuse de Taxi dans une société où plusieurs métiers sont réservés pour la geinte masculine. Mais malheureusement cette fois, elle revient pour faire parler d’elle pour une lâche agression d’un inconnu, qui n’a pas trouvé d’autres manières pour satisfaire son machisme que de s’en prendre une femme, car la liberté des femmes touche l’orgueil des hommes algériens !
Une histoire révoltante partagée sur les réseaux sociaux, qui raconte non seulement un fait divers, mais la souffrance de toutes les femmes algériennes victimes de violences impunies, dans une société patriarcale renforcée d’une idéologie régressive et conservatrice sponsorisée par les médias arabo-islamistes et les politiciens inféodés à l’idéologie wahabo-salafistes.
Le récit d’une activiste sur les réseaux sociaux, elle dénoncent une autre violence contre les femmes «Hier soir, une autre agression contre une femme, la première conductrice de taxi en Algérie. Une brave qui est entrée dans un domaines réservés aux mâles, un petit soleil qui change des visages hideux et repoussants qui nous transportent généralement… Oh mon beau pays qu’à tu donc à haïr autant tes filles?
Elle raconte(La chauffeuse de Taxi NDLR) : »je passe par un quartier étroit, pendant que je laisse une voiture de l’autre sens passer, un jeune homme se défoule sur mon visage pour apaiser sa douleur à cause d’un décès d’un membre de sa famille. Effectivement il y avait des chaises dans la rue signe de cérémonie funérailles… »»
source : kabylie-news.com
crédit photo : tsa-algerie.com
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