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Le groupe TARBAAT et le groupe Nesma Flamenco en concert :
En concert à ibn khaldoun le 28 Novembre à partir de 20h, le groupe TARBAAT et le groupe Nesma Flamenco
Source : sortiraalger.com
Mort d’un jeune qui voulait sauver son frère du suicide par immolation à Oran
C’est dans la nuit d’avant-hier, qu’un jeune homme a rendu le dernier souffle au niveau du service des grands brûlés de l’hôpital universitaire du premier Novembre d’Oran, et il s’agit d’un jeune homme âgé de 19 ans, où le feu a ravagé son corps à 90 %, tout en essayant de sauver son frère qui a voulu volontairement se suicider par immolation selon des sources concordantes.
Un drame qui a secoué le quartier de Bouamama « El Hassi » en entier, la semaine dernière, où ce dernier âgé de 20 ans avait versé une quantité d’essence sur son corps et mis le feu à l’intérieur du garage de leur maison où son frère avait interféré dans une tentative de le sauver, mais il a été également à son tour ravagé par le feu qui avait envahi son corps et engendré des brûlures de troisième degré selon la même source.
Immédiatement après l’incident, il a été procédé rapidement à l’évacuation des deux victimes à l’hôpital du premier novembre, où ils ont été soumis à des soins intensifs, mais le destin a voulu que le jeune frère qui a voulu sauver son aîné, succombe à ses graves blessures, tandis que son frère est toujours en soins intensifs précise la même source.
Source : reflexiondz.net
Le cru (ou « raw food diet », régime à base de nourriture crue) est une tendance de plus en plus prisée par les adeptes d’une alimentation saine. Si la cuisson altère en effet la qualité nutritionnelle de beaucoup d’aliments, certains fruits et légumes révèlent tout leur potentiel lorsqu’ils passent à la casserole. Alors, cru ou cuit, quelle est la meilleure façon de se nourrir sainement ?
Les conséquences de la cuisson
On le sait, la cuisson détériore une bonne partie des vitamines, nutriments et enzymes. Les vitamines sont très sensibles à la chaleur. Dès 60 °C, la vitamine C disparaît. Les vitamines B1 et B9 disparaissent autour des 95 °C, ainsi que la vitamine E. À 110 °C, ce sont les vitamines A et D qui sont détruites. Quant aux enzymes, elles quittent les aliments dès les 50 °C !
Pour être sûr de préserver la qualité nutritionnelle des aliments, il faudrait idéalement les consommer crus. Exempts de cuisson, les fruits et légumes ne subissent aucune perte liée à la chaleur et à la solubilité. Le cru permet aussi de conserver le goût originel et la texture des aliments.
Autre avantage du cru : en privilégiant les fruits et légumes non transformés, la “raw food diet” joue un rôle favorable dans la prévention de l’obésité. Enfin, quelques rares études et expérimentations ont montré qu’un régime à base de nourriture crue pouvait améliorer la santé de patients souffrant de fibromyalgie.
Le cru préserve les nutriments, mais aussi les bactéries
Attention cependant : si les vitamines sont conservées, les bactéries et germes le sont aussi. Et si certains sont utiles, et même nécessaires, d’autres ne nous veulent pas que du bien !
C’est le cas d’Escherichia Coli ou E.coli, bactérie naturellement présente dans l’intestin de l’Homme mais dont certaines souches peuvent être responsables de maladies : gastro-entérite, infection urinaire, méningite…
Aux États-Unis, la Food and Drug Administration (FDA) a lancé une campagne d’information sur la cuisson, rappelant qu’il est préférable de cuire à 60° au minimum pour éviter le développement des bactéries pathogènes. Les infections aux souches pathogènes d’E. Coli peuvent être évitées en respectant quelques règles :
Assurer une cuisson des viandes hachées à au moins 70 °C à cœur maintenue pendant 2 minutes. Pour une pièce de viande non hachée, un simple passage à la poêle permet d’éliminer les bactéries, présentes uniquement en surface.
Laver soigneusement les légumes, les fruits et herbes aromatiques, en particulier ceux qui vont être consommés crus.
Par ailleurs, le régime cru élimine de fait certains aliments qui ne peuvent être mangés que cuits ; adieu pommes de terre, riz et autres céréales ! Enfin ne dénigrons pas la cuisson trop vite ; car si elle est brève – 2 à 3 minutes seulement – les légumes sont peu dénaturés. Les cuissons à la vapeur (à l’étouffée, au wok) permettent de limiter les pertes en vitamines, très sensibles aux hautes températures. Si une cuisson plus longue est nécessaire, on peut opter pour une soupe en conservant l’eau de cuisson dans laquelle passent les vitamines.
Certains fruits ou légumes cuits sont plus nutritifs
Si la majorité des légumes ont un meilleur potentiel nutritif crus que cuits, certains font pourtant exception à la règle. C’est notamment le cas des tomates, riches en provitamine A et en lycopène, lequel se révèle seulement à la cuisson. Or selon des études de la Harvard Medical School, ce phytonutriment antioxydant diminue les risques de cancer et de crise cardiaque. Le pouvoir antioxydant des tomates est donc plus présent dans un coulis longuement mijoté que dans une salade ! La carotte, quant à elle, perd sa paroi cellulaire à la cuisson ; ainsi notre organisme absorbe plus facilement ses antioxydants caroténoïdes.
Les légumes crucifères (brocoli, chou frisé, chou fleur, chou de Bruxelles) contiennent des glucosinolates qui bloquent la production de l’hormone thyroïdienne dans le corps. En faisant cuire ces légumes crucifères, vous pouvez limiter les désagréments liés à l’hypothyroïdie (prise de poids, fatigue généralisée…) Enfin, pour des portions équivalentes, les épinards cuits contiennent près de 6 fois plus de lutéine, de zéaxanthine et de bétaïne 1 que les épinards crus.
Quand la cuisson exhale les saveurs
Cuit, le champignon libère un composant qui relève naturellement les saveurs de votre plat. Quelques champignons rendent une sauce bien meilleure et un potage délicieux. Il en est de même de l’oignon ou de l’échalote : ils contiennent également des molécules qui vont naturellement développer les saveurs de vos produits pendant la cuisson.
Riche en fibres cuisson douce, les asperges nécessitent une cuisson (de préférence à la vapeur) qui les rend plus tendres. Cuites, elles favorisent le transit intestinal sans jamais irriter le tube digestif.
Enfin, consommés sous forme cuite, les fruits et légumes sont plus en général plus digestes ; la cuisson modifie la structure des fibres qui deviennent moins irritantes pour le tube digestif.
En résumé, tout est affaire de mesure. Refuser une cuisson par dogmatisme nous paraît dommageable même si la cuisson à haute température est toujours à éviter. Consommer des crudités, manger l’aliment semi-cru, croquant ou saisi peut être une règle de base, à l’exception des céréales qui doivent impérativement être complètement cuites pour une meilleure digestion. docteurnature.org
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L'ENVOL DU ROSSIGNOL par #Yasmina_Khadra
Idir nous a quittés. Il s’en est allé sur la pointe des pieds pour ne déranger personne. Il s’est éteint comme un chant d’été à la fin de la colonie, comme se taisent les légendes en Algérie, son pays, son angoisse, son inconsolable litanie.
Idir n’a fait que quitter un exil de transition pour un exil définitif puisqu’il a été contraint de quitter sa terre natale pour aller chercher ailleurs l’écho de sa voix, tel un troubadour errant en quête de sa voie. Il va beaucoup manquer à nos joies si chahutées de nos jours par nos peines et nos désillusions, mais son absence sera pour nous, Algériens, et pour ses fans de partout, un grand moment de recueillement.
Quant à son silence de mortel, ce n’est que politesse afin que retentisse l’hymne de toutes les résiliences, des montagnes de Kabylie jusqu’aux confins de l’Atakor, et du vertigineux Tassili aux plages de Ben M’hidi.
J’ai rencontré Idir trois petites fois. La première, à Chenoua-plage vers la fin des années 1960. La deuxième, au CCA à Paris que je dirigeais, lorsqu’il avait accepté d’animer bénévolement deux soirées d’affilée tant la demande était immense et la salle si minuscule pour un artiste de son envergure. La troisième, lors d’un concert auquel il nous avait conviés, mon épouse, mes enfants et moi, à Vitrolles, une ville de Provence. Mais mon meilleur souvenir a eu lieu en Inde, à un festival du livre, il y a une dizaine d’année. Un riche lecteur avait offert une soirée en mon honneur. Il avait une surprise pour moi. Lors du dîner, une troupe de danseuses en sari flamboyant nous a gratifiés d’un superbe ballet tandis qu’une chorale chantait Ava Inouva…. en hindi. Ce fut une très belle surprise.
Repose en paix, Idir. Et dors bien. Nous continuerons tes rêves en écoutant les chansons que tu nous as léguées en guise de patrimoine.
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.