
Un jeune chercheur de l’université « Tahri Mohamed » de Béchar a mis au point un système de signalisation à distance des accidents routiers, qu’il a présenté récemment à l’occasion d’une sortie de promotions scientifiques 2016-2017 de cette université.
Ce jeune chercheur, en l’occurrence Brahim Kadri, de la faculté de technologie, a conçu ce système pour contribuer à la prévention et à la lutte contre les accidents de la circulation, de même pour une prise en charge rapide des victimes de ces accidents, a précisé son encadreur, Dr Kadri Boufeldja, lors de la présentation du système.
Cette innovation est matérialisée par un équipement installé à l’intérieur du véhicule et qui signale, via le service de messagerie « Short Message Service », plus connu sous le sigle de SMS, la nature de l’accident, à savoir la collision, le renversement ou l’incendie, des données sur le véhicule et son propriétaire, en plus de la position géographique du lieu même du déroulement de l’accident, a expliqué à l’APS le jeune chercheur.
« Mon système s’installe avec une connexion aux réseaux de la téléphonie mobile (GSM), à travers une clé USB 3G, reliée éventuellement aux différents services de secours et d’intervention, tant au niveau local que national », a-t-il ajouté.
Ce nouveau système, qui a fait l’objet de plusieurs essais par le laboratoire spécialisé de la faculté de technologie, attend le feu vert des institutions concernées, à savoir la Gendarmerie nationale, la Sureté nationale et la Protection civile, pour être appliqué à grande échelle et ce comme contribution de l’université à la prévention des accidents de la route », a affirmé le Dr Kadri Boufeldja, lui-même chercheur au niveau de l’Université de Bechar.
Maghrebemergent.com

Aucune sanction ne sera prise à l’encontre de l’agent de sécurité qui avait empêché une étudiante d’accéder à la faculté de droit de Saïd Hamdine, à Alger, pour passer son examen de CAPA car elle portait une robe qu’il jugeait « trop courte ». C’est ce qu’a indiqué à TSA, ce dimanche 10 mai, Mohamed Tahar Hadjar, recteur de la faculté d’Alger.
Selon M. Hadjar, l’agent de sécurité a fait son travail. « Son travail consiste à faire respecter le règlement intérieur de la faculté ». Porter une robe est-il interdit au sein de la faculté ? « Non », indique M. Hadjar. Pourquoi l’agent a-t-il donc pris cette décision ? « Le règlement n’oblige personne à porter le hidjab ou tchador. Mais il exige une tenue décente, aussi bien pour les filles que pour les garçons », argumente-t-il. Il n’y a aucune discrimination, selon le recteur. « Il faut comprendre que la faculté est un lieu de culture », ajoute-t-il.
Le recteur explique qu’il a entendu parler de l’affaire en lisant TSA. « La fille portait une mini-jupe, qui était au-dessus des genoux, et non une robe. C’est ce que m’ont affirmé des étudiantes qui étaient sur place », insiste M. Hadjar, qui n’a pas décidé d’ouvrir une enquête. « C’est une affaire banale », a conclu Mohamed Tahar Hadjar.
source : tsa-algerie.com
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VFS Global pour l’obtention de Visa pour la france, a informé ses clients qu’il procède au changement de prestataire pour le paiement en banque des rendez-vous pour les demandeurs de visas pour la France à Alger. L’agence a renoncé à la banque CPA, le paiement des frais se fera désormais auprès de la Banque de développement local (BDL). En soulignant qu’il se fait dans le cadre d’amélioration de service, VFS précise que le changement débutera le 30 août.
L’agence informe toutefois que cette transactions se fera en deux temps, il est expliqué que:
1-Du lundi 26 août 2019 au jeudi 29 août 2019, le système de rendez_vous VFS Global avec l’option « paiement en à la banque CPA » sera suspendu. Les demandeurs pourront continuer à confirmer leur rendez-vous uniquement en choisissant l’option « Paiement en ligne ». Les demandeurs ayant pris leur rendez-vous en date du 25 août 2019 auront trois jours ouvrables pour effectuer leur paiement auprès du prestataire actuel, le CPA.
2-Puis à partir du 30 août 2019, les demandeurs ayant fait une réservations de rendez-vous seront invités, pour confirmer leur rendez-vous, à effectuer le paiement des frais de service auprès des agences agrées de la banque de Développement Local BDL.
algerie360
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D’après les informations d’un média australien, Facebook aiderait les annonceurs à cibler de jeunes utilisateurs dans leurs moments de faiblesse.
Grâce à Facebook, les annonceurs peuvent cibler les utilisateurs qui aiment les hamburgers, les chats, ou les deux. Mais en plus de nos goûts, notre catégorie socio-professionnelle, notre sexe, notre tranche d’âge ou notre couleur de peau, le réseau social s’intéresserait de près à nos émotions. Selon le journal The Australian, certains cadres de l’entreprise se vantent de permettre aux annonceurs de cibler les adolescents en plein doute existentiel.
Le média australien s’appuie sur un document interne – non publié – qu’il se serait procuré. On pourrait y lire que les algorithmes de Facebook sont capables de déterminer les moments où «les jeunes ont besoin d’un regain de confiance». Le but est de profiter de cet état pour promouvoir certains produits ou services, par exemple pour faire du sport ou perdre du poids. Facebook se vanterait de pouvoir déterminer avec précision si ses jeunes utilisateurs se sentent «sans valeur», «anxieux», «stupides» ou «accablés». Pour analyser le ressenti de ses membres, le site étudierait leur utilisation du réseau social et leurs publications – comme leurs statuts ou leurs photos.
Facebook s’intéresse de près à nos émotions
A la suite de la diffusion de ces informations, Facebook a contesté l’article de The Australian, précisant que les «états émotionnels» des utilisateurs ne sont pas utilisés pour le ciblage publicitaire. Admettant au passage l’existence du document, l’entreprise affirme qu’il s’agit d’un travail de recherche destiné à permettre aux publicitaires «de mieux comprendre comment les gens s’expriment sur Facebook», et non à améliorer le ciblage publicitaire. Nuance…
Facebook.com –
Si Facebook ne propose pas officiellement de ciblage publicitaire en fonction des émotions de ses utilisateurs, le géant californien s’y intéresse de près. Début 2016, il remplaçait le bouton «J’aime» par une série de six réactions différentes. Une façon de mieux analyser nos sentiments, qui avait à l’époque suscité l’inquiétude des autorités belges.
Par le passé, Facebook s’est déjà illustré en réalisant des expériences sur ses utilisateurs, sans leur demander leur autorisation. En 2012, le réseau social avait manipulé le fil d’actualité de 700.000 membres pour étudier l’impact de messages positifs et négatifs sur leurs émotions. Une étude qui avait provoqué de nombreuses réactions négatives. Désormais, Facebook nous demande de croire qu’il ne rentabilise pas les milliards de données qu’il a pris soin de collecter.
source : 01net.com
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Suite à la publication sur les réseaux sociaux d’appels à la violence contre les femmes, la justice s’est de suite, auto-saisie. L’auteur de l’appel a été arrêté, entendu et incarcéré aujourd’hui. Il a avoué.
Sans faire de vague et avec toute la rigueur et la célérité de la loi, le ministère de la justice s’est depuis, la parution des premiers appels à la violence sur les réseaux sociaux, saisi de l’affaire. Après identification du profil du premier concerné par les services de la section recherches ils ont arrêté le dénommé B. MA âgé de 29 ans, exerçant comme agent de sécurité dans un centre de formation à Oran. Le mis en cause qui a ensuite été entendu par le juge a reconnu les faits. Il a été incarcéré aujourd’hui même pour “apologie au terrorisme” et “incitation à la violence”.
Ce n’est qu’une première arrestation d’une longue liste de profils en cours d’identification. Les services compétents de la justice épluchent tous les messages et pages Facebook pour déterminer d’autres “adeptes” à la violence et les mettre hors d’état de nuire. Les appels à la violence quelque soient leur caractères, constituent en soi de graves délits que la justice compte punir avec intransigeance.
Pour précision, cette première incarcération n’est qu’une première étape dans un processus d’identification en cours pris en charge par les propres services du ministère de la justice. D’autres interpellations interviendront dans les prochains jours.
Ces derniers jours du mois de Ramadhan, les réseaux sociaux ont servi de tribune à des individus haineux qui ont lancé des appels pour attaquer les jeunes filles à l’acide. Leur argument : interdire par la force aux jeunes filles de porter des pantalons. L’appel au crime a fait réagir des centaines d’internautes qui ont dénoncé sur les mêmes réseaux sociaux ces actes ignobles. Des femmes ont même déposé plaintes au niveau des services de police, lesquels services mènent en parallèle aux investigations du ministère de la justice, leurs propres enquêtes.
De toute évidence, il n’est plus permis le retour à la case départ, la justice est déterminée à traquer ces obscurantistes aveuglés par la haine de voir leur dessein échouer dans une société qui se remet debout après avoir vaincu les tenants de la violence et jouit de nouveau de la vertu de la paix de vivre ensemble.
source : algerieonline.info
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Un parc aquatique flottant sera ouvert dimanche prochain au niveau de la Madrague (Ex El Djemila) à Alger.
L’entreprise Golden Rock Park à Alger compte installer un parc aquatique capable d’accueillir jusqu’à 200 personnes. L’installation occupera une surface de 1500m² qui commencera à une certaine distance de la plage de la Madrague pour obtenir une profondeur minimale de 2,5m.
Destiné aux grands et aux petits, cet aquapark sera extrêmement sécurisé avec des gilets de sauvetages de toutes les tailles, disponibles sur place et une tour d’observation flottante avec des maitres nageurs vigilants, prêts à intervenir en cas de besoin.
Que ça soit en famille ou entre amis, ce parc promet plein d’attractions, du fun et de la sécurité, et ce à partir du 11 juin à 10h00 à la plage de la Madrague.
source : Vinyculture.com
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