Astuce en image : Fruit anti cancer 03 Octobre 2017 Astuces pratiques : Deco§ Cuisine§ Maison et entretien
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Le Murdjadjo, le Torki Club, le Mezghena ou le Djawhara, dans ces célèbres cabarets de la corniche oranaise, il ne se passe pas une soirée sans que l’on ne dépense des centaines de millions, voire des dizaines de milliards de centimes. Les hommes riches se bousculent au portillon de ces cabarets pour faire des “rechqates” à 300 ou 400 millions de centimes.
En effet, plus de 300 millions dépensés d’un seul coup par un richissime homme d’affaires pour une “rechqa” lors d’une seule et unique soirée, où l’alcool coule à flot et les filles dénudées se déhanchent au grand bonheur de ces milliardaires et millionnaires assidus. Ces lieux de plaisir échapperaient totalement au contrôle du fisc. C’est du moins ce qu’indiquent des sources proches de l’administration fiscale. Et pourtant, des entrepreneurs, notables et rentiers versent sur les pistes de danse, ou des prostituées leur offrent leur charmante compagnie le temps d’une soirée torride, des sommes faramineuses qui laissent bouche bée les Algériens lambda, dont les fins de mois deviennent de plus en plus difficiles à boucler.
La semaine écoulée, au Murdjado, un certain Redouane El-Kheima, un homme riche originaire de Relizane, grisé par l’ambiance endiablée de ce cabaret, a mis sur la table 80 millions de centimes pour une “rechqa”. Au même moment, au Mezghana, un certain Moh Ouargla, originaire de la ville éponyme, a atomisé ses adversaires d’un soir avec une “rechqa” de 150 millions de centimes. Mais le record absolu est détenu par le célèbre Djamel Biskri, un autre homme richissime qui a fait fortune dans le commerce des dattes, a dépensé, lors d’une seule soirée, plus de 400 millions de centimes ! Et l’homme est connu pour être un véritable habitué des soirées arrosées d’Oran où l’argent coule à flot.
Mais d’où vient tout cet argent ? Qui sont ces milliardaires qui exhibent des fortunes insolentes ? Au moment où notre pays enregistre des déficits sidéraux en recettes fiscales, en raison de la chute brutale des prix du pétrole, l’administration fiscale n’arrive pas (ne veut pas?) à trouver les mécanismes adéquats pour contrôler les fortunes de ces personnes richissimes, d’autant plus que les conditions de leur enrichissement sont singulièrement suspectes. “Des caïds connus pour leurs activités dans le trafic de drogue passent régulièrement leurs soirées dans ces cabarets. Et personne ne trouve à redire !”, s’indignent de nombreux connaisseurs et habitués de ce monde de la nuit, désormais régi par les seules règles du portefeuille. Preuve en est, chaque jeudi, la veille du week-end, les tarifs de l’entrée dans plusieurs cabarets prestigieux comme le Murdjadjo, lequel a été restauré et s’appelle aujourd’hui le Murdjadjo Plus, ou le Mezghena sont fixés à 20 mille DA par personne. Et pour réserver une table, les tarifs peuvent aller jusqu’à 70 ou 80 mille DA. Ces prix sont évidemment encore plus élevés lors des fêtes de fin d’année. Il faut dire que les cabarets algériens ne connaissent pas la crise.
“Ces riches ont le droit de faire ce qu’ils veulent de leur argent, à condition qu’ils précisent d’où il provient”, assure à ce propos Sammy Oussedik, expert financier et ancien cadre supérieur au Crédit Populaire d’Algérie (CPA) et à la Banque extérieure d’Algérie (BEA). Selon notre interlocuteur, les inspecteurs des impôts algériens ont pour devoir de contrôler la légalité de “ces signes extérieur s de richesse” comme cela se fait dans les pays développés. “Ils ont pour mission de demander à ces personnes comment ils gagnent leur argent. Ils doivent vérifier s’ils se sont acquittés de leurs obligations fiscales”, confie encore notre expert.
Malheureusement, pour l’heure, il n’y a rien de tel. Ces hommes riches, armés de leurs “chkaras”, dépensent sans compter dans les cabarets d’Oran et d’ailleurs, sans que personne ne leur demander des explications. Et pendant ce temps, les salariés sont seuls à alimenter la fiscalité en Algérie, à travers la retenue à la source. Ainsi, les faibles paient et les puissants dépensent…
source : algerie-focus.com
Fatigue, stress, tensions musculaires, une personne sur deux souffrent de maux de tête fréquents Plutôt que d’avoir recours à des antalgiques il existe des solutions naturelles pour soulager ces maux de tête.
Un bain de vapeur au romarin
Le massage à l’huile essentielle de lavande
Le massage à l’huile essentielle de menthe
L'infusion de gingembre
La cryothérapie : frictionnez la zone douloureuse avec des glaçons enveloppés dans un linge.
Source : Nutrivie
Les mariages de nuit sont souvent une prise de tête surtout lorsque que vous travaillez le lendemain, ou que vous êtes déjà fatiguées par une semaine chargée. Mais impossible de refuser une invitation, la bienséance fait que lorsqu’une personne vous invite à partager ça joie, c’est très difficile de ne pas honorer son invitation, pas grave vous dormirai une autre nuit, mais ne vous inquiétez pas avec ses quelques conseils, la fatigue dû aux nuits blanches seront bientôt qu’un mauvais souvenir.
Evitez de vous réveiller trop tard le lendemain :
Après une nuit blanche évitez de vous lever le lendemain à une heure trop tardive, ça pourrait complètement chambouler votre rythme biologique interne, l’idéal serait de vous lever comme d’habitude, et de récupérer le sommeil perdu le soir.
Prenez une douche redynamisante :
Dés votre réveil, prenez une douche redynamisante, tiède de préférence et pas longue afin de vous réveiller toute en douceur. Massez vous les pieds avec votre gant de crin et votre gel douche afin de relancer la circulation du sang et éviter la sensation de jambes lourdes qui aurait pu être provoquée par le port de talon trop haut lors de la soirée.
Prenez un petit déjeuner vitaminé :
Evitez les aliments gras au petit déjeuner où à midi, les aliments lourds peuvent peser sur l’estomac et vous plonger dans un état de somnolence durant toute la journée, favorisez plutôt des fruits, des céréales, des pâtes, et des légumes, qui vont vous caler jusqu’au soir.
Evitez les longues siestes :
Si c’est le mariage se déroule le week-end, c’est moindre mal, mais l’erreur à ne surtout faire c’est de faire des siestes trop longues le lendemain de fête, vous risquez d’interférer dans la qualité du sommeil de la nuit suivante, 30 min de sieste c’est parfait, et le soir couchez-vous 1 à 2 heures plus tôt que d’habitude.
Buvez beaucoup d’eau :
Les nuits blanches donnent parfois des maux de tête et de fortes migraines, car le corps et dans un état de fatigue et de fébrilité, que la sensation de soif, ou déshydratation vient accentuer. Au cours de la journée évitez les excitants tels que le café, le thé, ou les sodas, et buvez beaucoup d’eau.
ED
Une nouvelle recherche met en garde contre les sels d’aluminium, présents notamment dans les déodorants et certaines crèmes solaires. Yahoo Actualités
Avec plus de 54 000 nouveaux cas chaque année, le cancer du sein est le cancer le plus répandu chez les femmes. La ligue contre le cancer estime qu’environ une femme sur neuf y sera confrontée au cours de sa vie. La maladie peut se développer dans les parties externes des glandes mammaires, à proximité de l’aisselle. C’est d'ailleurs sur cette zone où la peau est fine et perméable qu’est appliqué le déodorant. Une nouvelle étude confirme le lien entre les sels d’aluminium, parfois contenus dans ces produits, et le cancer du sein.
Un facteur de risque évitable
Dans ces travaux, publiés dans la revue Journal of Molecular Sciences, les scientifiques ont analysé les mécanismes des sels d’aluminium dans la transformation cellulaire. Ils ont montré que cette substance, rapidement incorporée par les cellules, altérerait la structure des chromosomes et leur nombre et ce, seulement 24 heures après l’application d’un produit contenant des sels d’aluminium.
Ces observations faites sur des échantillons larges (300 cellules par condition expérimentale) ont indiqué une déstabilisation du génome. Les auteurs, qui évoquent des similitudes avec l'amiante et le tabac, expliquent que les cellules mammaires auraient ainsi plus de risques de devenir malignes.
Selon les chercheurs, les sels d’aluminium sont donc des facteurs de risque évitables du cancer du sein grâce à des changements d’habitude de vie, comme le sont l’alcool, le tabac, le surpoids, une alimentation déséquilibrée et le manque d’activité physique.
Dans une lettre ouverte signée par une dizaine d’associations féministes (dont le Face, Réseau Wassila, Fard, Aef, Rachida, Sos femmes en détresse), ces dernières rappellent l’ampleur des drames survenus cette année.
A la veille de la Journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes (25 novembre), les associations féministes s’élèvent, dans un nouveau cri de détresse, contre le cycle infernal de la violence à l’égard des femmes, rejetant «l’indignation sans lendemain» et appelant à l’application de mesures concrètes pour mettre fin aux drames.
Ce sera aussi l’occasion de rendre hommage à toutes les femmes victimes de violences et de s’incliner à la mémoire de celles qui ont été sauvagement assassinées. Depuis le début de l’année, 45 féminicides ont été enregistrés. Un chiffre bien en deçà de la réalité, selon les mêmes associations.
Dans une lettre ouverte signée par une dizaine d’associations féministes (dont le Face, Réseau Wassila, Fard, Aef, Rachida, Sos femmes en détresse), ces dernières rappellent l’ampleur des drames survenus cette année.
«La vague d’émotion qui a submergé notre pays, écrivent-elles, la tempête médiatique provoquée par le martyre de Chaima, l’ampleur du mouvement d’effroi, répercuté par les réseaux sociaux, nous ont rappelé chacun de ces assassinats rivalisant de brutalité et d’horreur, qui sont commis en Algérie comme dans le reste du monde.»
Et de poursuivre : «Le hashtag ‘‘nous avons encore perdu l’une des nôtres’’ n’était plus seulement scandé par une poignée de femmes solidaires des victimes de la barbarie, mais par des milliers d’anonymes. Allons-nous continuer à inscrire chacune des victimes dans un décompte macabre ? Allons-nous nous contenter d’inscrire leurs prénoms pour leur redonner leur humanité et leur rendre un nécessaire hommage ?»
Elles soulignent qu’aucune violence n’est acceptable. «Le cycle infernal de la violence peut commencer par l’insulte, le crachat, la ‘‘petite gifle’’, en mode crescendo et répétitif et conduire au meurtre», disent-elles. Aussi est-il important, selon elles, de «traquer toutes les formes de violence quels qu’en soient le type et la gravité, les dénoncer et veiller à ce que leurs auteurs soient punis».
Les associations féministes se méfient toutefois des «surenchères» concernant les sanctions à infliger aux criminels, rejetant «la peine de mort», réclamée parfois par les proches des victimes. «Comme si, argumentent-elles, les lois pénales n’avaient pas été inventées pour punir ceux qui se donnent le droit de vie et de mort sur autrui, comme si l’exécution capitale pouvait dédouaner les sociétés de leur responsabilité collective !
Comme si, enfin, un Etat de droit qui se respecte ne devait pas s’honorer, au nom de l’éthique humaniste, d’abolir la peine de mort, seule manière de refuser d’imiter le meurtrier pour lequel ‘‘une vie ne vaut rien’’.»
Elles adressent ainsi une série de propositions aux autorités publiques afin de mettre fin à ces violences. Parmi elles, figurent notamment la mise en place de centres d’appel téléphonique accessibles gratuitement 24 heures sur 24, à partir de fixes et de portables, pour appeler au secours, la mise en œuvre de protocoles d’intervention rapide des services de sécurité, sensibilisés et formés à cette mission, l’interpellation des agresseurs et protection immédiate des victimes avec ou sans certificat de médecine légale ainsi que la réquisition d’hôtels pour abriter les femmes et leurs enfants en danger.
Pour venir en aide aux femmes et enfants victimes de violences, elles insistent sur la construction de centres d’hébergement partout dans le pays, où l’accès des femmes victimes de violences est garanti, quel que soit leur statut matrimonial, avec ou sans enfants ainsi que le financement pour la gestion et l’encadrement de ces centres en médecins, psychologues, aidant-e-s…
Pour assurer la qualité de l’accueil des victimes, elles proposent le développement de programmes de formation des professionnels de la police, de la justice, des services sociaux, d’éloigner l’agresseur, enregistrer la plainte, orienter ces victimes vers des structures dédiées ainsi que des dotations financières aux associations d’aide aux femmes victimes de violences et le droit de se porter partie civile auprès des tribunaux dans les affaires judiciaires liées à ces violences.
Dans le cadre du dispositif de lois efficace contre les violences faites aux femmes, elles suggèrent le transfert de la disposition pénale qui consacre l’infraction de harcèlement sexuel (article 341 bis), qui figure dans le chapitre II «crimes et délits contre la famille et les bonnes mœurs», dans le chapitre I «crimes et délits contre les personnes», car le harcèlement s’attaque à l’intégrité physique et psychologique des personnes et non forcément aux familles, la traduction de cette disposition de l’article 341 bis, dans la législation du travail, l’inscription de dispositions qui protègent les témoins contre le risque de représailles au niveau professionnel ainsi que l’abrogation de l’article 326 du code pénal qui permet à l’auteur d’un viol d’échapper aux poursuites s’il épouse sa victime, laquelle est, alors, exposée à un mariage forcé. Le Maroc l’a retiré en 2014 et la Tunisie en 2017.
A cela s’ajoutent les demandes d’introduction du crime de «féminicide» dans le code pénal, l’abrogation du code de la famille et la promulgation de la loi-cadre contre les violences faites aux femmes.
Elles suggèrent aussi pour prévenir cette violence extrême, qu’est le féminicide, de lutter contre les mécanismes qui rendent la violence possible : la culture de la violence au sein de la famille, à l’école, dans la rue, au travail.
«Il nous faut également combattre l’ordre mondial basé sur les inégalités, l’injustice et travailler à transformer les réalités qui infériorisent les femmes», soulignent-elles.
Parmi les signataires figurent notamment le FACE ou Femmes algériennes pour un changement pour l’égalité, L’AEF (Agir pour l’émancipation des femmes), le Réseau Wassila, la Collective féministe d’Alger, Sawt Nssa – Constantine –, Femmes algériennes revendiquant leurs droits (FARD) d’Oran, La Fondation pour l’Egalité/Ciddef, Femmes en communication (FEC), SOS femmes en détresse, l’Association nationale Rachida, l’Association nationale Femmes Action Développement (AFAD) ainsi que le Collectif des femmes libres de Bouira.
Source : elwatan.com
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06 Janvier 2019 à 16:40:14