
Dans la définition la plus simple du mot macho, on retrouve l’essentiel : « un macho, c’est un homme qui se croit supérieur aux femmes et qui le fait ressentir dans son comportement ».
En fait, le macho justifie sa supériorité sur la femme par son physique, plus viril donc plus fort,comparé à la femme dite de « sexe faible ».
LE MACHISME AU NOM DE LA ''RODJLA'' :
En fait, macho et « redjla » ont le même sens sauf que le second terme désigne le macho bien de chez-nous. Si certains Algériens peuvent être qualifiés de machos, heureusement, ils ne le sont pas tous car cela n’a rien de reluisant.
LES PRINCIPES DU MACHO ALGÉRIEN :
En pratique, le macho juge, par exemple, qu’il s’abaisserait s’il partageait des tâches ménagères comme la cuisine, les courses, ou s’occuper des enfants car il pense que toute tâche domestique lui ôterait toute virilité.
Après la virilité, il y a « l’honneur » que le macho invoque à tout bout de champ et qui l’amène à entrer dans des simulacres de défi entre « hommes », par exemple au café, avec un groupe d’amis, au volant de sa voiture…etc
Ensuite « L’honneur » qui, pour un macho, est par exemple se montrer fort comme un roc, ne pas pleurnicher, n’avoir peur de rien, être dominant surtout face aux faibles dont les femmes.
Enfin, en amour, l’idéal du macho c’est séduire « la femme », un peu comme un prédateur en quête de sa proie mais il reste un prédateur au cœur d’artichaut.
UN ''RODJLA'' DE NAISSANCE OU UN EFFET DE SOCIÉTÉ ?
Dans certaines sociétés comme la nôtre, c’est la transmission familiale et sociale des rôles et places de chacun qui façonne les générations. Par conséquent, certains deviennent macho car c’est un besoin exprimé par le milieu dans lequel il vit.
Donc l’Algérien ne naît pas macho mais il le devient car dès son jeune âge, on l’aura conditionné au fait qu’il est ou sera l’homme de la maison, tout l’entourage féminin est à son service, à commencer par sa mère, puis ses sœurs et enfin son épouse. Cela n’est pas sans impact sur sa capacité d’adaptation à la vie en société. En effet, habitué à être servi et obéi, le macho aura du mal à exister, à se faire respecter en société, d’où le renvoie des signaux de virilité où l’on retrouve violence, adhésion à un groupe de semblables, sexualité conquérante, langage sexiste …etc.
AIME-T-ON LES MACHOS ?
Toutes les femmes aiment que leur homme soit un mâle, un vrai. Seulement lorsque l’homme a tendance à affirmer un peu trop sa virilité, en rabaissant la femme et en la dévalorisant, le rejet est immédiat. En fait, les femmes en général et les Algériennes en particulier préfèrent des hommes bien dans leur peau, sans complexes. Des hommes qui leur montrent du respect et les traitent d’égale à égale.
Dr Imene Messaif

source : elle.com
Les Japonaises en sont convaincues, comme les Américaines, qui ne sortent jamais sans leur crème blindée d’indice de protection. et chez nous, on hésite encore à protéger sa peau des UV toute l'année. Le point avec deux spécialistes.
A QUOI ÇA SERT DE METTRE UN ÉCRAN ANTI-U.V. SUR SA PEAU ?
« A freiner le vieillissement et à prévenir les risques de cancers cutanés provoqués par l’exposition aux rayons solaires », affirme le Dr Michel Jeanmougin, dermatologue. Autrement dit, à retarder la perte d’élasticité de la peau, son épaississement, ainsi que l’apparition de taches brunes. On le sait, ce sont les UVA qu’il faut craindre, ces rayons responsables aux deux tiers du vieillissement cutané prématuré et qu’on ne sent pas (à l’inverse des UVB qui, eux, brûlent). Ils font des dégâts dans la peau et la font vieillir plus vite. Et ce sont ceux-là qui frappent tout au long de la journée, même par temps nuageux, même au travers des vitres. Et qui n’épargnent ni le cou ni le décolleté, qu’on oublie trop souvent.
EST-CE UTILE EN VILLE EN HIVER ?
« Je ne vois pas l’intérêt d’utiliser une crème de jour avec filtre lorsqu’on part à 8 h pour le bureau et qu’on rentre chez soi à 18 h, quand il fait nuit ou presque », dit le Dr Jeanmougin. « Quand on marche quelques instants dans la rue, et qu’on passe de zones d’ombre à des zones ensoleillées, la peau est armée pour gérer ça », ajoute Lionel de Benetti, directeur scientifique chez Clarins. Conclusion : pas la peine d’investir en février dans une crème SPF 25. Des propos à nuancer si votre bureau est très lumineux. Dans ce cas, l’indice 15 est utile, et une application le matin suffit pour la journée.
QUAND EST-CE VRAIMENT NÉCESSAIRE ?
« Dès que l’on reste deux heures à l’extérieur, que ce soit pour son travail ou ses loisirs. Il est alors conseillé de se protéger des UV, quelle que soit la saison, surtout entre 12 h et 14 h », recommande le Dr Jeanmougin. Ce qu’on doit retenir, c’est qu’il faut adapter ses besoins en protection à son mode de vie et à son phototype. En clair, si on a la peau claire avec des taches de rousseur, qu’on vive dans le Midi et qu’on passe pas mal de temps dehors, dès le printemps on prévoit de se protéger. Et on n’oublie pas qu’un chapeau à large bord est aussi une solution, validée par le dermatologue.
QUEL EST LE MEILLEUR INDICE EN VILLE ?
« Un indice 15 suffit pour les expositions intermittentes de la vie quotidienne », précise le Dr Jeanmougin. A condition de vérifier que la crème contient aussi un indice UVA. Ce dernier doit être au moins égal ou supérieur à un tiers de l’indice UVB. Exemple : un indice UVA 5 pour un SPF 15. Le hic ? Cette recommandation qui s’applique aux produits solaires n’est pas obligatoire pour les autres soins cosmétiques, et même quand ils respectent ce ratio, les fabricants ne le précisent pas forcément sur l’emballage. Un conseil : sortez votre loupe pour quand même vérifier sur l’étiquette.
UNE CRÈME DE JOUR AVEC SPF, EST-CE LE BON CHOIX ?
Pas vraiment, car les filtres alourdissent les textures – même si les technologies évoluent –, mais surtout ils modifient la formule même d’un soin. Explication de Lionel de Benetti : « Quand on incorpore un filtre solaire dans un soin cosmétique, par exemple antiâge, on est souvent obligé de retirer certains actifs pour cause d’incompatibilité. Au final, un soin de jour n’est pas le même avec et sans SPF. » Ce qui veut dire que, avec des filtres, les formules soins sont moins intéressantes. La parade : un fluide avec un SPF à appliquer occasionnellement, sur sa crème préférée et sous son fond de teint, selon qu’on a booké un déj en terrasse ou un aprèsmidi à jouer au ballon avec les enfants au square.
LE FOND DE TEINT VAUT-IL UNE PROTECTION SOLAIRE ?
Sur les packs de la plupart des fonds de teint et des poudres compactes, un SPF est indiqué, un bon atout si on recherche un effet ombrelle. Mais, attention, si on n’en applique qu’un voile, il faut savoir que cet indice ne sera pas aussi fort. Rassurant : « Si aucun SPF n’est signalé sur la boîte, il faut savoir que la composition de ces produits en pigments minéraux qui réfléchissent la lumière équivaut à un SPF 10 », explique le Dr Jeanmougin. Conclusion : le makeup apporte une protection modérée, idéale d’octobre à mars.
SE PROTÉGER TOUS LES JOURS PEUT-IL ÊTRE NÉFASTE À LA LONGUE ?
Pour le dermatologue Michel Jeanmougin, il existe peu d’inconvénients à une protection quotidienne, en dehors d’un risque faible de sensibilisation ou d’allergie de type eczéma de contact. « Les filtres solaires sont faits pour des applications temporaires, même si ce sont des molécules chimiques sûres », insiste Lionel de Benetti, qui ajoute : « Cela ne me semble pas judicieux de se protéger tous les jours, toute sa vie. La peau a les capacités nécessaires pour se défendre contre l’exposition normale à la lumière du jour comme en ville. Et, si on ne la stimule pas, c’est un peu comme un muscle qu’on n’entraîne pas et qui perd sa capacité à réagir. » En clair, si la peau n’était plus attaquée, elle ne saurait plus se défendre. D’où l’intérêt pour la peau à ressentir des UV, modérés évidemment, pour enclencher sa mélanogenèse, ce processus de bronzage qui amène les cellules pigmentaires à la surface de l’épiderme. Quant au risque de points noirs et autres comédons, « il a plus à voir avec l’excipient utilisé dans la crème qu’avec le filtre solaire », précise le Dr Jeanmougin.
AVEC UN SPF DÈS LE PRINTEMPS, JE N’AURAI PLUS JAMAIS BONNE MINE ?
« Un indice 15 arrête environ 92 % des UVB, les 8 % qui passent suffisent pour activer la production de mélanine et donner bonne mine », rassure le médecin.

Astuce en image : faire une glace avec un seul ingrédient
Astuce : selon votre envie, vous pouvez ajouter quelques pépites de chocolat sur votre glace.
Ingrédients
- 4 blancs de poulet
- 4 courgettes
- 2 oignons
- 250 g de champignons de Paris
- 1 cube bouillon de volaille
- 1 c. à café de maïzena
- 1 pincée de curry en poudre
- 10 g de beurre allégé ou crème fraiche allégée
- thym
- sel, poivre
Préparation
1Pelez et émincez les oignons.
2 Lavez et coupez les courgettes en tronçons.
3 Nettoyez les pieds terreux des champignons et coupez-les en morceaux.
4 Coupez les blancs de poulet en petits tronçons et faites-les colorer dans le beurre.
5 Faites fondre le bouillon de volaille dans 20 cl d'eau.
6 Ajoutez les oignons, mélangez bien puis ajoutez le curry, les champignons, les courgettes, du sel, poivre, et thym. Mélangez délicatement et recouvrez du bouillon de volaille, faites mijoter le tout à petit feu pendant 30 minutes.
7 Mélangez la maïzena dans un peu d'eau et liez le tout en fin de cuisson.
source : cuisine AZ
crédit photo : missions-maggi.femmes.orange.fr
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