
Le web magazine zeinelle.com à été convié par la Maison GUERLIN au niveau de l'hôtel MERCURE pour la présentation du parfum phare de Guerlain : « la Petite robe noire ».
L'histoire de la Maison Guerlain a été superbement racontée par l'expert parfum, Cyrille JAHIN.
La maison Guerlain fût créée en 1828, c'est une histoire de famille ,une histoire qui conforte l'idée que ce qui qualifie Guerlain , c'est la qualité.
Comme il a tenu à le souligner, les parfums Guerlain ce n'est pas une marque, c'est une destination aux voyages....derrière chaque création de parfum c'est souvent une grande histoire d'amour pour la femme aimée comme pour "Shalimar", l'emblème de Guerlain ou "Samsara" , et Mr Cyrille Jahin a réussi à nous faire voyager durant la présentation de la Petite Robe noire, un subtil mélange de bois de santal, de myrtille, de rose, et d'accord de barbe à papa.
La Petite Robe noire représente bien la pensée du parfumeur créateur Guerlain, Thierry Wasser :" le parfum est à sa façon une robe invisible, un jeu entre ce qui se cache et ce qui se dévoile"!
A défaut de pouvoir se rendre au 68 rue Champs Elysée, à Paris, des ateliers ofalctifs seront programmés, dans un avenir proche, afin de faire découvrir la gamme Guerlain.
Nadia Bessaha
Nous vivons plus qu’une crise sanitaire mondiale. Les pays sont à l’arrêt et les populations angoissées sont confinées. Les bourses et les prix du pétrole s’effondrent. Les gouvernances politiques, l’OMS et le corps médical sont en difficulté. Il est impérieux de les soutenir, d’agir vite, de faire respecter le civisme, les mesures de distanciation sociale et de stricte confinement. Sur le fond, il y a lieu de penser ce moment historique, pour réduire l’incertitude.
Le fléau du coronavirus marque l’épuisement d’un système injuste né il y a environ trois siècles. Il s’ajoute aux catastrophes qui s’accumulaient : dictature du marché, libéralisme sauvage, marchandisation du monde, loi du plus fort, recul du droit et du multilatéralisme, dérèglement climatique, extrémisme et perte du sens éthique. C’est une fin de civilisation.
Nous vivons un séisme : le système dominant est en train de s’écrouler. Il n’a pas su forger une civilisation égalitaire et protectrice. Il ne s’agit pas uniquement de risque pour l’environnement, l’emploi, la croissance démographique, le développement économique. Un contexte où le prix le plus élevé sera payé par les plus fragiles et les plus pauvres.
Sur le plan immédiat ce qui est en question concerne le rapport Nord-Sud, la sécurité nationale, à cause de la dépendance liée à la technologie et aux approvisionnements, problème stratégique. Sur le plan du projet de société se pose la question de la place de l’humain, les finalités de l’existence, la dignité de l’humanité, son destin et sa survie.
C’est la fin d’un monde, qui a voulu imposer sa conception à tous les peuples. Son hégémonie ne peut fonctionner, même si ses soubresauts veulent faire croire qu’il est pérenne et irrésistible.
L’ambition de devenir maître et possesseur du monde à l’infini et de se passer d’une norme supérieure est en train de s’écrouler. Des sociétés européennes, traumatisées par le dogmatisme religieux, la théocratie et les guerres de religions, sont les premières dans l’histoire à vouloir vivre sans rapport à une transcendance spirituelle. Cette option de la sortie de la religion de la vie, du désenchantement, de la «civilisation de la mort de Dieu», selon l’expression de Nietzsche, n’a pas comblé le besoin de sens. Elle a abouti à de la désorientation.
Ni le marché monde, ni la passion légitime et vitale des arts et des sciences, ni la prolifération des sectes, ne sont arrivés à répondre aux besoins éthiques, aux liens sociaux et affectifs. De surcroît, la modernité reste imprégnée de conceptions théologiques. Le progrès matériel, la raison, la marchandise, l’histoire, l’individu autocentré, sont ses idoles.
Cette situation a fragilisé l’humain. Il est devenu si peu immunisé. Incapable de maîtriser son destin. Malgré de prodigieuses avancées, à force de démesures, de marginalisation du sacré et de la désignation d’un ennemi pour faire diversion, des déséquilibres et dérives ont surgi.
En rive Sud, la situation n’est pas reluisante, mais par bon sens, les citoyens savent qu’ils sont héritiers d’une civilisation qui vise la totalité de la vie. Le problème réside dans le fait que les promesses de l’indépendance n’ont pas été tenues. Ce qui fait défaut, est l’édification d’une société de la connaissance, qui prend soin du bien commun, de la santé et de l’âme. La mondialisation impose un mode d’être incompatible avec les valeurs des peuples.
Malgré tant d’efforts pour favoriser le dialogue des civilisations, des religions, des cultures, réformer les institutions internationales et forger un destin commun, pour corriger les injustices et les aberrations, l’ordre mondial ne veut pas changer de modèle de société.
Cependant, le choc de la mortalité exponentielle causé par le virus et l’ampleur de la crise économique qui va suivre imposent une prise de conscience. Il sera impossible de continuer à vivre comme avant.
Le profit financier illimité, l’instrumentalisation de la technoscience, la jouissance à tout prix, ne peuvent constituer une raison d’être. L’essentiel est absent : la justice et le sens du monde.
C’est le résultat de l’oubli de l’éthique et des limites. La marchandisation du monde, le néo-colonialisme, des actes contre-nature et le dogmatisme matérialiste ruinent l’humanité. Le monde est intoxiqué au consumérisme et à la flatterie des bas instincts, au lieu d’apprendre à vivre l’essentiel, maîtriser ses pulsions et se réaliser pour s’épanouir.
Avec détermination et courage, il s’agit de passer d’un cercle infernal à un cercle vertueux. Le message du virus, pour le croyant est un message divin : respectez les lois de l’existence, sinon les désordres vont redoubler. Il n’y a pas de liberté sans loi, ni de science sans conscience.
Maintenant que tout est figé, le changement n’est pas impossible. Les réponses techniques aux questions sont insuffisantes. La bonne façon pour relever les défis est de revenir aux fondamentaux. Restons nous-mêmes et donnons la priorité à l’éducation du juste milieu, qui allie tradition et modernité.
En termes de pensée politique, se confirme qu’il y a lieu de garantir l’État de droit, la souveraineté populaire et les libertés publiques, remparts contre les périls. Les peuples musulmans doivent y contribuer en mettant fin à la réaction nihiliste, aveugle et contre-productive du fondamentalisme, en pratiquant la vigilance et en se ressouçant à la culture de la modération, du droit et de la dignité, préconisées par le Coran et le Prophète.
La fin de civilisation nécessite de créer ensemble une nouvelle. Le capitalisme sauvage, le collectivisme matérialiste et l’intégrisme religieux sont disqualifiés.
C’est leur faillite qui s’affirme en ce moment. Un nouveau monde est à notre portée.
Il est possible d’associer économie de marché et éthique, science et morale. Une société éclairée sait que les problèmes, les risques et les difficultés sont inhérents à la vie, mais il reste à les anticiper, à partager équitablement les conséquences, à œuvrer, à lutter pour les résoudre.
Il n’y a pas nous et eux, il y a l’humanité mise à l’épreuve. Les peuples doivent s’entre-connaître et s’imposer pour bâtir un nouvel ordre juste et qui ait du sens. Cette rupture est salutaire si on discute du fond. Les élites ne doivent pas être des spectateurs impuissants. L’intelligence collective à terme trouvera des solutions.
Nous devons nous garder des extrêmes, ceux qui imitent aveuglement le modèle moderniste, marchand et libertaire en faillite et ceux qui trahissent la spiritualité et imposent des conduites obscurantistes. La voie du juste milieu fait cruellement défaut à l’humanité. Articuler modernité et authenticité, mondialité et spécificité, liberté et éthique, est l’avenir.
Le virus est l’expression dramatique du commun en péril. Comme l’énonçait en 1945 le préambule de l’Acte constitutif de l’Unesco «les guerres prenant naissance dans l’esprit des hommes, c’est dans l’esprit des hommes que doivent être élevées les défenses de la paix».
Repenser le vivre-ensemble, le modèle de développement et les relations internationales par le dialogue et la solidarité sont les moyens civilisés pour affronter les défis. Chaque nation doit pouvoir préserver sa souveraineté, sa sécurité et son patrimoine, en s’ouvrant à la communauté de destin. Nous sommes frères en humanité.
Nous pouvons retrouver une société équilibrée, attachée à la solidarité nationale et universelle. Sont en jeu les questions de la pensée politique et du droit. Les puissants de ce monde ne vont pas se rendre à l’évidence, mais une juste cause triomphe toujours, l’union fait la force.
La place des valeurs de l’esprit est béante. Il est possible de se garder du vide ou du trop-plein. L’étincelle de la foi réfléchie et de la raison raisonnable ne doit pas s’éteindre. L’espoir est permis. L’humanité doit redevenir responsable, sans perdre le sens de la transcendance, comme guidance. Donner un sens à la vie et à la mort reste une haute mission.
Ni surhumain, ni transhumain, ni infrahumain, l’homme doit se connaître et s’impliquer. Aux yeux du croyant, le divin se révèle pour aider à affronter ce qui n’est pas donné d’avance : un homme équilibré et une cité juste. Sans confusion, esprit scientifique et esprit spirituel doivent se conjuguer. La fin d’un monde n’est pas la fin du monde.
Par Mustapha Cherif , Philosophe. Auteur
elwatan.com

Il existe des tas de manières de blesser notre corps, comme en consommant des aliments transformés riches en graisses et en calories, en fumant du tabac ou en buvant trop d’alcool. Mais notre corps dispose-t-il d’un moyen de nous dire que nos mauvaises habitudes le blessent ? Et si c’est le cas, quels sont les signes avertisseurs les plus notables ?
Si vous menez un style de vie malsain, votre corps tente sans aucun doute de vous avertir que des dangers vous attendent. Si vous expérimentez certains des symptômes suivants, il serait temps de consulter votre médecin, de changer vos habitudes ou les deux…
1. Cheveux endommagés
Certaines personnes ont des cheveux naturellement magnifiques et luxuriants. D’autres n’ont pas cette chance. Mais avoir de beaux cheveux n’est pas seulement une question de gènes. Selon une recherche de WebMD, les choses que vous mettez dans votre corps pourraient avoir un impact important.
En effet, l’une des premières choses qui souffrent d’une mauvaise alimentation sont les follicules pileux. Les régimes qui affament peuvent entraîner des carences en protéines, qui peuvent causer des cheveux filandreux ressemblant à de la paille. Ils peuvent également résulter d’une alimentation pauvre en acides gras essentiels, en vitamine C, en zinc et en fer.
Rides
Nous développons tous des rides ; tout comme la mort, elles sont assez inévitables. Mais nous pouvons contrôler à quel moment notre peau commence à montrer des signes de vieillissement en mangeant bien et en évitant les mauvaises habitudes, comme fumer de manière régulière.
Selon une recherche de l’Université d’état d’Oregon, la meilleure manière de donner à notre peau un aspect sain est de consommer des aliments riches en vitamines A, C et D, et en antioxydants comme les flavonoïdes et les caroténoïdes. C’est aussi une bonne idée de consommer au moins 5 portions de fruits et légumes par jour et d’appliquer un hydratant naturel ou artificiel.
3. Mauvaises dents et gencives
Si vous éprouvez des problèmes de gencives qui saignent ou de dents douloureuses et abîmées, ce pourrait être lié à quelque chose qui ne va pas bien dans votre corps. Fumer, consommer de la malbouffe et boire trop d’alcool peuvent tous avoir des effets néfastes sur la santé buccale.
Bien que le tabagisme puisse poser un gros problème aux dents, le sucre reste le principal coupable. Consommer trop de sucre, qui est souvent lié à une consommation excessive de sodas, peut éroder l’émail des dents, les exposant au risque de caries et de douleurs, affirme la Wisconsin Dental Association. Évitez ces boissons et augmentez votre apport en vitamine C, qui peut soulager les gencives saignantes et gonflées.
Pourquoi maigrir commence dans la tête ?
Est-il normal d'éprouver une faim constante ? De rechercher sans cesse à s'alimenter ou de manger d'importantes quantités d'aliments à chaque repas ?
Si vous appartenez à la catégorie des personnes ne pouvant contrôler leur appétit, les gros mangeurs, les gourmands ou les boulimiques, le seul fait de suivre une diète ne règlera pas votre problème. La diète sera vécue comme une privation et fera naître un état de frustration, qui aura finalement des conséquences néfastes pour la santé en général et l'on assistera à une reprise du poids après l'arrêt de la diète. Vouloir trop manger n'est pas physiologique, ni naturel ou normal. N'oublions pas que l'acte de manger a pour but unique et primordial de nourrir notre corps. Les besoins réels de l'organisme en éléments nutritifs sont bien moins importants que ce que la plupart d'entre nous consommons quotidiennement.
Si vous acceptez le fait qu'un appétit trop grand est anormal, alors vous déciderez que la diète seule ne règlera pas complètement votre problème de contrôle de poids.
Les recherches entreprises par les scientifiques sur le stress, établissent que nos pensées, nos états d'esprits, nos états d'âme, qu'ils soient conscients ou inconscients, agissent directement sur notre santé, et sont certainement responsables d'au moins 80% de nos maladies. Par exemple le fait d'être inquiet en permanence peut se répercuter sur notre santé sous la forme d'un ulcère d'estomac, d'une hypertension ou affaiblir notre système immunitaire. Ces différentes émotions ou états mentaux agissent sur un point du cerveau très important, parce qu'il agit lui même de façon directe ou indirecte sur toutes les fonctions et organes de notre corps ; toutes les fonctions, y compris la faim et le taux de sucre sanguin.
Agir directement au niveau de ces "états mentaux" nous aidera à retrouver un appétit physiologique, c'est à dire un appétit conforme à nos besoins réels en alimentation.
Les états mentaux perturbateurs et provocateurs de stress sont nombreux et généralement difficiles à identifier.
Cela peut être la crainte ou la peur. Cette crainte peut-être déterminée par un fait précis, mais également plus général ; elle peut-être parfaitement consciente ou simplement inconsciente.
Mais ce peut être également l'envie, la jalousie, l'amour, la haine, un problème affectif, sexuel, une frustration, et bien d'autres encore ! La psychanalyse s'attache à rechercher et identifier ce genre de problèmes, mais cela peut-être long et très coûteux !
Un des meilleurs moyens pour contrôler le stress et ses effets néfastes est de pratiquer une technique de relaxation. De très nombreuses études ont démontré sans l'ombre d'un doute de l'efficacité de ces méthodes et du contrôle qu'elles permettent d'exercer sur le mental et la physiologie de l'organisme.
Ces techniques ne nous permettent pas d'identifier l'agent stresseur, mais de supprimer ses effets nocifs. Elles peuvent nous rendre de grands services dans la recherche d'un appétit normal. En nous libérant de nos tensions, elles ne perturbent plus notre centre de la faim, et notre taux de sucre sanguin subit moins de variations.
Ces techniques sont nombreuses mais ont généralement le même effet, procurer un grand calme intérieur, dont les conséquences physiques sont les suivantes :
diminution du tonus musculaire
baisse de la consommation d'oxygène
diminution du rythme cardiaque, etc.
La relaxation est une méthode très efficace pour lutter contre le stress, et elle peut vous aider à contrôler votre appétit.
La relaxation.
La méthode de la Dynamique Psychosomatique© utilise, entre autres, des techniques mises au point par Marcel Rouet, un ancien culturiste très populaire en France. Sa méthode était tellement efficace, qu'en peu de temps de nombreux centres, appelés Psycho-Center, l'appliquèrent dans toute la France et d'autres pays d'Europe.
Il existe de nombreuses méthodes de relaxation, mais la Relaxation Psychosomatique est probablement une des plus faciles et des plus efficaces, surtout lorsque adaptée pour le contrôle du poids.
La suggestion.
Le but ultime de toute séance de relaxation est d'amener votre esprit à son état le plus suggestible. Qu'est ce qu'une suggestion et quel est son but ?
Il a été découvert, il y a déjà pas mal de temps de cela, que l'esprit ne fait pas la différence entre une expérience réellement vécue et ce qui très fortement imaginé. Autrement dit, la suggestion consiste à faire pénétrer fortement et sans la juger, une idée dans notre esprit, afin qu'elle y soit acceptée comme une réalité acquise.
On peut faire de la suggestion à l'état de veille, mais c'est beaucoup plus difficile, parce que l'esprit exerce dans cet état, son sens critique. Mais nous pouvons donner l'exemple du placebo (un médicament fictif, qui n'est en réalité qu'une pilule de sucre). Si le patient croit que le placebo est un médicament, il aura une action thérapeutique réelle ! C'est de la suggestion.
Cependant c'est en état de relaxation profonde, lorsque notre cerveau émet les ondes "alpha" que nous sommes le plus suggestibles. Comment utiliser la suggestion dans le problème du comportement alimentaire ?
Dans un premier temps nous bénéficions déjà des effets de la relaxation sur le centre de notre appétit. Voilà déjà un point d'acquis. Nous pouvons maintenant le renforcer en nous suggérant l'idée d'une modification de notre comportement alimentaire.
Référence et documentation : site topsanté
source photo : marie-claire.fr
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.