
L’été a tiré sa révérence, emportant avec lui les bains de soleil, les baignades tardives, et les longues siestes, même si certains continuent d’aller à la plage pour se remplir les poumons d’iode, plusieurs d’entre nous ont déjà rangé les tongs, les serviettes et les crèmes solaires. Mais justement en parlant de crème solaire savez-vous que la durée de vie de vos crèmes solaires est de seulement 6 mois, et qu’après il faut les jeter, c’est bien dommage quand on sait qu’elles peuvent être réutilisées et servir à autre chose, comme :
Faire briller des bottes :
Ça tombe bien c’est bientôt l’hiver, avant de penser à la jeter, pensez à cirer vos bottes avec votre crème solaire, que vos bottes soient en cuire ou en simili, dans les deux cas, la brillance sera garantie.
Hydrater vos mains :
Vous allez me dire pourquoi spécialement les mains ? Les mains afin de prévenir l’apparition de taches brunes provoquées par les rayons de soleil qui sont aussi nocifs l’hiver que l’été.
Evitez de l’appliquer sur le visage, car la formulation crème solaire pour le corps et spécifique pour corps, il est déconseillé d’utiliser une crème solaire pour le corps sur le visage, surtout si vous avez la peau claire ou sensible.
Cirer un sac en cuire ou un fauteuil en cuire :
Si vous avez un sac en cuire, voici une astuce qui va vous ravir, à l’aide de votre crème solaire et d’un chiffon propre, passez une noix de votre crème sur votre sac en cuire afin de le nourrir et de le faire briller et profiter plus longuement de votre accessoire préféré.
Cette astuce est également valable sur un fauteuil en cuire.
ED
Dossier minceur : Quel pain privilégier en cas de régime :
Quand on surveille sa ligne, une question reste souvent en suspens : faut-il bannir le pain de la table si on est au régime ? Une bonne occasion de faire le tour de la question…
Le pain fait-il grossir ?
Non ! A condition bien sûr de ne pas le tartiner exagérément de beurre, de chocolat ou de confiture ! Le pain remplace avantageusement les féculents (famille d’aliments dont il fait partie d’ailleurs). Grâce à sa richesse en glucides complexes, il crée une sensation de satiété sur le long terme.
Les nutritionnistes disent qu’il agit comme « un modérateur de l’excès de consommation alimentaire » : en clair, il calme les envies de grignotage.
Attention quand même le pain ne doit pas venir s’ajouter à d’autres féculents : alors, on évite de saucer sa bolognaise après avoir mangé une grosse assiette de pâtes!
Quel intérêt nutritionnel présente-t-il ?
Le pain est une source importante de protéines végétales (entre 7 et 9 g / 100 g selon les pains) qui participent au renouvellement cellulaire et de fibres (de 3,5 g à 7 g / 100 g) qui stimulent le transit intestinal et retardent la sensation de faim.
Pauvre en lipides (il n’en contient que 0,8 à 1,2 g pour 100 g) le pain apporte aussi des vitamines B, PP et E, qui protègent le système nerveux et contribuent au maintien du bon état de la peau.
Sans oublier que le pain contient des minéraux: phosphore, magnésium et potassium, ainsi que les oligo-éléments (fer et zinc) indispensables au bon fonctionnement de l’organisme.
Quel pain privilégier en cas de régime hypocalorique ?
Le pain le plus simple possible ! En règle générale, pour des raisons de conservation et de texture, les pains industriels contiennent des additifs (sucres et lipides) qui augmentent l’apport calorique du pain. On évite donc le pain de mie, les pains spéciaux (aux noix, aux céréales, etc…) mais aussi les pains viennois ou briochés, moins rassasiants et beaucoup plus riches en lipides.
La baguette tradition, qui possède un indice glycémique faible et le pain complet riche en fibres sont en revanche particulièrement recommandés. A noter, un pain croustillant, nécessitant une bonne mastication, apporte une sensation de satiété « longue durée » !
Quelle quantité de pain consommer si l’on veut surveiller son poids ?
Retenez qu’en moyenne une demi-baguette équivaut à 250 kcal. On peut donc consommer jusqu’à 3/4 de baguette par jour sans s’affoler. Au petit déjeuner, on ne se limite pas : le pain reste en général moins sucré et moins gras que les céréales et permet de tenir le coup jusqu’à midi sans fatiguer.
Pour le reste de la journée, on essaie quand même de s’autoréguler. Par exemple, si on choisit de prendre un goûter à base de pain, on évitera d’en re-consommer au dîner. Et on oublie le fameux « encore un petit bout de pain pour finir le fromage et un petit bout de fromage… pour finir le pain » !
Source : site femmeactuelle

[éditions barzakh] organise une RENCONTRE avec Kaouther ADIMI à l'institut fraçais d'Alger
le Jeudi 30 janvier à partir de 18.00.
Vente-signature de son roman "Les Petits de Décembre" à la fin des de la rencontre.
Les Petits de Décembre ( résumé ) :
C’est un terrain vague, au milieu d’un lotissement de maisons pour l’essentiel réservées à des militaires. Au fil des ans, les enfants du quartier en ont fait leur fief. Ils y jouent au football, la tête pleine de leurs rêves de gloire. Nous sommes en 2016, à Dely Brahim, une petite commune de l’ouest d’Alger, dans la cité dite du 11-Décembre. La vie est harmonieuse, malgré les jours de pluie qui transforment le terrain en surface boueuse, à peine praticable. Mais tout se dérègle quand deux généraux débarquent un matin, plans de construction à la main. Ils veulent venir s’installer là, dans de belles villas déjà dessinées. La parcelle leur appartient. C’est du moins ce que disent des papiers « officiels ».
Avec l’innocence de leurs convictions et la certitude de leurs droits, les enfants s’en prennent directement aux deux généraux, qu’ils molestent. Bientôt, une résistance s’organise, menée par Inès, Jamyl et Mahdi.
Au contraire des parents, craintifs et résignés, cette jeunesse s’insurge et refuse de plier. La tension monte, et la machine du régime se grippe.
A travers l'histoire d’un terrain vague, Kaouther Adimi explore la société algérienne d'aujourd'hui, avec ses duperies, sa corruption, ses abus de pouvoir, mais aussi ses espérances.

Le petit Abderrahmane Fareh, 9 ans, fils de Biskra, a remporté le titre de plus jeune récitant du Coran au monde à Djeddah, Arabie saoudite en ce mois sacré du Ramadhan. Les participants au concours organisé par l’Instance internationale pour la récitation du Saint Coran ont été honorés par les plus grandes instances officielles saoudiennes en présence de l’Emir Khaled Al-Faysal, Emir de la région de La Mecque et représentant du roi d’Arabie saoudite, Salmane Ben Abdelaziz, l’Emir Mechaâl Ben Majid Ben Abdelaziz, gouverneur de Djeddah et le secrétaire général de la Ligue islamique, Abdellah Ben Abdel Mohsen At-Turki. Le jeune Abderrahmane Farah a obtenu la 5e place mondiale au concours de récitation et de psalmodie du Saint Coran, mais il se distingue du fait qu’il soit le plus jeune de ses concurrents. Le lauréat a aussi été invité par le consul général de l’Algérie à Djeddah qui l’a également honoré.
journal l'Expression

Le ministère du Commerce a lancé hier une alerte nationale à l’aflatoxine, mortelle chez l’homme, provoquée par la consommation d’arachides contaminées.
Dans un communiqué repris par l’APS, le ministère a indi-qué que ’les services de contrôle (du ministère du Commerce), en relation avec ceux des Douanes et de la Police, ont mis en place les mesures nécessaires au blocage d’arachides contaminées en provenance de l’Inde, placées sous scellés au port d’Alger ».
Il s’agit en fait d’une cargaison d’arachides contaminées par l’aflatoxine, importées dInde par un opérateur domicilié dans la wilaya d’Alger. Un dispositif d’alerte a été ainsi instauré ’suite à des informations faisant état de l’importation d’arachides contaminées par l’aflatoxine », précise le ministère du Commerce, selon lequel ’une enquête a été diligentée auprès de l’importateur concerné (demeurant à Gué de Constantine, Alger) pour vérifier les conditions d’importation de cette marchandise ».
Dès lors, poursuit le ministère, ’une alerte nationale a été déclenchée par la Direction générale du contrôle économique et de la répression des fraudes auprès des inspections territoriales et frontières ». Ce dispositif a comme objectif le contrôle systématique de toutes les cargaisons d’arachides importées, ainsi qu’au prélèvement ’d'échantillons qui seront analysés au niveau des laboratoires de police et du Centre algérien de contrôle de qualité et d’emballage (CAQE) ».
Mais, comme dans le cas de certains virus, un container a échappé aux mailles de ce filet, le ministère expliquant que ’malgré l’enclenchement du dispositif d’alerte, une cargaison a fait l’objet d’une admission sur le territoire national sans contrôle préalable au niveau des services aux frontières du port sec de Khemis El-Khechna (Boumerdès) ». Un rocambolesque dispositif d’alerte et de recherche a été déclenché, ce qui a permis de localiser le lieu de chute de ce container d’arachides contaminées par l’aflatoxine à Blida.
Il a été récupéré et mis ’sous scellés avec prélèvement des échantillons », selon le ministère, qui précise que ce dispositif d’alerte à l’arachide contaminée importée d’Inde est en vigueur au niveau de tous les ports et frontières du pays. Mais le ministère du Commerce est resté vague sur la question de savoir si la cargaison du container retrouvé à Blida a connu un début de vente aux grossistes et détaillants de la ville, connue pour ses marchands de fruits secs, installés au marché couvert de la ville et au célèbre marché de la Souika avec ses revendeurs de fruits secs et d’articles pour la confection de gâteaux. D’autant que la période est propice au commerce de ce fruit pour la confection de gâteaux pour les fêtes de mariages, les circoncisions, etc.
L’aflatoxine, mentionnée dans le communiqué du ministère du Commerce, est une mycotoxine produite par des champignons dont l’aspergillus flavus proliférant sur des graines conservées en atmosphère chaude et humide. L’aflatoxine est dangereuse et nuisible aussi bien chez l’homme que chez l’animal, et a le fâcheux désavantage d’être hautement cancérigène.
L’aflatoxine, découverte en 1960 en Angleterre, peut-être trouvée en grande quantité dans beaucoup de produits alimentaires destinés à l’homme ou aux animaux. Il s’agit notamment de graines d’arachides, de maïs, de blé, céréales diverses, amandes, noisettes, noix, pistaches, figues, dattes, cacao, café, manioc, soja
L’intoxication aiguë par les aflatoxines peut provoquer la mort en général, ou une anémie, un ictère léger et une évolution cancéreuse à terme. Globalement, la présence de mycotoxines dans les aliments pose de gros problèmes d’hygiène publique et de santé animale.
source : quotidien d'oran
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