Le visage reflète notre état émotionnel et physique du moment, en laissant apparaître des rides ou encore des plis, qui tendent à s’installer durablement au fil du temps. Le massage du visage permet de détendre et de relâcher les muscles faciaux, et ainsi de réduire l’impact des années.
Massage du visage : techniques et bienfaits
Techniques
Au vu de la surface concernée par ce type de soin, contrairement à un massage du dos ou un massage complet, le massage du visage requiert une technique particulière et adaptée. Le praticien utilise ainsi ses doigts et ses paumes, en effectuant des gestes doux et précis sur les zones sensibles du visage. Au cours d’une séance, le praticien alterne rotations, palpers-roulers, lissages et tapotements. Il est à noter que l’on peut parfaitement réaliser un auto-massage du visage, de préférence le soir avant de se coucher, sur une peau préalablement nettoyée. Une détente se fera ressentir immédiatement. De plus, pratiqué tous les soirs, ce soin aura des effets à terme sur la peau de façon générale.
Les bienfaits selon le site unizen.fr
Les bienfaits du massage facial sont nombreux, outre la détente et la relaxation, il permet aussi de rajeunir la peau, en tonifiant les muscles et en lissant les traits. Les rides et les plis faciaux qui s’inscrivent sur les visages vont ainsi progressivement s’estomper, pour laisser place à une peau rajeunie et détendue. Le massage du visage possède donc une dimension à la fois esthétique et bien-être.
Spécificités
Si le massage du visage offre une détente et un bien-être rapides, il agit aussi sur la peau en profondeur, et améliore ainsi sa texture et son apparence, en la lissant et en éliminant les tensions accumulées au quotidien. Contrairement aux autres massages, dont l’effet se fait ressentir sur la personne massée mais ne se voit pas à proprement parlé, le massage du visage a une action visible et durable, à condition d’être renouvelé aussi souvent que possible.
Ou faire un massage du visage ou comme l'appelle les esthéticiennes le modelage du visage ?
dans un institut de beauté, le prix varie entre 1500 et 2000 Da
Nadia Bettoutia a le plaisir de vous convier à son exposition " La chaussure traditionnelle Algérienne Contemporaine". L'exposition s'étendra jusqu' au 22 novembre 2017. Sofitel Algiers Hamma Garden Contact Nadia Bettoutia Designer Chaussures
D’après l’organisation mondiale de la santé (OMS) l’Algérie est classée cinquième consommateur de médicaments antibiotiques au monde. Un constat alarmant qui poussent les médecins à lancer un appel au ministère de la santé afin de sensibiliser la population sur les conséquences de surconsommation de médicaments antibiotiques. Quels sont les dangers d’une surconsommation ? Les médecins en prescrivent-ils trop, ou est- ce la faute aux patients qui pratiquent l’automédication et minimisent le danger d’une surconsommation aux antibiotiques ? Notre invitée Dr Berrabah Houria Syrine, médecin microbiologiste au CHU d’Oran nous répond.
Emission #docteur_m : présentée par la fondatrice du web magazine zeinelle.com
Vous voulez la 3G ? Il faudra que vous changiez de numéro de téléphone
Les Algériens qui voudront s’abonner à la 3G devront changer de numéro. Ou, du moins, opter pour une autre puce avec deux numéros (l’ancien et le nouveau 3G. C’est ce qu’a indiqué, aujourd’hui à l’APS, Mohamed Toufik Bessai, président du Conseil de l’Autorité de régulation de la Poste et des télécommunications (ARPT).
«L’ARPT a décidé de dédier une numérotation spéciale à la 3G+, conformément au cadre juridique algérien en vigueur, qui prescrit qu’il ne peut y avoir qu’une licence par segment ou technologie. Il n’y aura, donc, pas de numérotation 2G-3G commune», a-t-il précisé. Ce changement n’est pas dû à des contraintes techniques, mais d’après Bessai, ce choix est motivé par le souci d’éviter «des comptabilités opaques». Comme si tous les autres pays où le les numéros 2G compatibles avec la 3G étaient laxistes en matière de comptabilité.
Le patron de l’ARPT a annoncé de son côté que le lancement de la 3G s’est fait en se basant sur «l’arsenal législatif et réglementaire actuel». Et c’est là où se pose le problème. Comme les trois opérateurs ne couvriront pas tous le territoire national – chacun des opérateurs devra couvrir séparément un nombre de wilayas – les citoyens seront, dans bien des cas, dans l’obligation d’opter pour un autre opérateur, d’autant plus que la portabilité (changer d’opérateur sans changer de numéro) n’est pas autorisée en Algérie.
Cette contrainte n’est pas du goût de tout le monde, notamment des opérateurs comme Nedjma Ooredoo. Son directeur général Joseph Ged, a estimé que le changement était inutile, voire handicapant, et a même expliqué jeudi soir à Maghreb Emergent qu’il s’y opposait. “Des informations circulent que l’Autorité de régulation (ARPT) a décidé d’aller vers un deuxième numéro pour la 3G. Si ces informations venaient à se confirmer, Ooredoo s’oppose à cette démarche. Nous ne voyons aucune raison logique derrière cela, ni aucun avantage pour les usagers algériens dans cette décision d’avoir deux numéros séparés. Parce que cela va engendrer une puce et un abonnement additionnels, ainsi qu’un coût de téléphone supplémentaire. Finalement cela occasionnera des coûts d’acquisition et des coûts de services pour les Algériens. C’est contre toute la logique de démocratisation du haut débit” a-t-il confié au média économique.
Ce dernier a également expliqué que l’excuse de la comptabilité n’était pas solide. « Ce que j’aimerais vous préciser, c’est que l’existence de deux numéros distincts, l’un pour la 2G et l’autre pour la 3G, n’a rien à avoir avec la séparation des chiffres d’affaires. Je vous donne un exemple : si un appel est lancé dans une zone de couverture 3G et qu’il est poursuivi dans une zone 2G, l’obligation pour les opérateurs, et là je parle de Ooredoo, est de ne pas faire tomber l’appel, et de permettre à l’usager de continuer son appel sans interruption en le balançant sur le réseau 2G. La comptabilité analytique nous impose de faire la distinction entre les deux chiffres d’affaires des communications passées en 2G et celles effectuées en 3G », précise la même source. Et d’ajouter : “Donc, quand un numéro 3G sort de la zone 3G couverte par un opérateur, il va basculer systématiquement sur le réseau 2G. Nous avons expliqué cela (à l’ARPT, ndlr) à plusieurs reprises, que deux numéros distincts (2G et 3G) cela ne donne pas une comptabilité analytique. Alors pourquoi on veut compliquer la vie aux abonnés, je ne sais pas… “
En somme, le pays a opté pour la 3G sans pour autant faire évoluer sa législation. Par ailleurs, celui-ci, tous comme d’ailleurs la ministre de la Poste et des Technologies de l’information et de la communication, Mme Zohra Derdouri, a confirmé que le lancement de la 3G ne se fera pas ce 1er décembre, mais la fin du mois, pour étre en adéquation avec la réglementation des télécoms. La raison est liée au retard mis dans l’officialisation, par le biais d’un décret, de l’attribution des licences aux trois opérateurs. «La téléphonie mobile 3G+ ne pourra être lancée qu’une fois le décret exécutif d’octroi de la licence signé et notifié aux trois opérateurs (Mobilis, Ooredoo et Djezzy)», a déclaré, de son côté Derdouri dans un entretien à l’APS. En tout cas, elle promet que cela ne saurait tarder et que la 3G sera disponible avant la fin de l’année.
Une affaire de maltraitance d’un enfant, âgé de 2 ans à peine, défraie la chronique dans la ville de Tlemcen. Le petit Mehdi a subi les pires tortures infligées par sa propre mère. Cette dernière, impitoyable, a raclé l’œil gauche et la jambe droite jusqu’à la cuisse, de son fils avec un cutter. Après l’avoir ainsi mutilé, elle l’emmène à l’hôpital en attestant, devant les médecins, qu’il a contracté une maladie grave suite à l’injection d’un vaccin au service de chirurgie infantile du centre hospitalo-universitaire de Tlemcen. Son but étant de susciter la pitié des gens et ramasser, par là même, une coquette somme d’argent. Son stratagème macabre n’a toutefois pas fonctionné. Les services de police ont vite découvert le pot aux roses. Ils ont aussitôt présenté la mère cruelle devant le procureur de la République, lequel a ordonné sa détention. Le ministère de la Santé, de la Population et de la Réforme hospitalière a promptement réagi à cette affaire. Il a confirmé que l’enquête a conclu que “l’enfant était maltraité par sa mère qui l’utilisait pour soutirer de l’argent aux gens, prétextant qu’un traitement lui avait engendré des effets secondaires”. Inimaginable.
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