
L’Association de protection et d’orientation du consommateur et son environnement (APOCE) tire la sonnette d’alarme sur les conditions de stockage des bouteilles en plastiques de boissons ou d’eau minérale. Son avertissement est clair: les consommateurs de limonades embouteillées dans des contenant en plastiques ont 8 chances sur 10 de « boire du poison » et attraper, au bout de quelques années, un cancer.
L’association a lancé mercredi 25 mai une campagne de sensibilisation sur les conditions de stockage et de transport des bouteilles en plastiques, sous le slogan « Stop … ne me fais pas boire du poison ».
Son président Mustapha Zebdi, intervenant hier lors du forum du quotidien El Moudjahid, a dénoté une statistique troublante: « 75% du transport des boissons est opéré dans des conditions non conformes » en Algérie. Une situation, selon lui, qui « favorise l’apparition du cancer », dont le nombre de cas dépasse les 50.000 par an.
M. Zebdi a expliqué que cette exposition au soleil des bouteilles métamorphosent les composants des boissons en produits toxiques néfastes. « Des analyses démontrent que sous le soleil, les produits chimiques, exposés à la chaleur, mutent en produits toxiques, néfastes à la santé », rapporte le quotidien Horizons.
Le même responsable a rajouté lors de son intervention que les résultats de ces analyses renseignent sur la multiplication des intoxications signalées en Algérie, notamment dans les régions du Sud ». Il explique que ces « intoxications alimentaires, chroniques », sont encore « plus dangereuses que les intoxications bactériologiques ».
Pour le président de l’APOCE, ces intoxications, dont les symptômes n’apparaissent qu’au bout de 10 à 20 ans, causent des perturbations hormonales, des tumeurs, voire des cancers.
Huffpostmaghreb.com

La lavande connue depuis l'époque romaine pour ses propriétés « lavantes » (d’où son nom qui est associé au verbe « laver ») est l’une des fleurs les plus utilisées en cosmétique après la rose.
Sa réputation n’est plus à faire, reconnue pour ses multiples bienfaits, elle est utilisée en huile essentielle ou en eau florale pour le soin du visage, elle nettoie, purifie et adoucit la peau, elle préviendrait même l'apparition des rides et ridules.
Son odeur calmante et apaisante fait d’elle la star de nos salles de bain, et la créatrice de la marque Lavandine l’a bien compris.
Créé au cours de l'année 2019, la marque propose toute une gamme de produits de soin dont l’ingrédient principal est la lavande. En huile essentielle ou en parfum, la créatrice de la marque en est accro.
« J’'ai choisi de créer une marque majoritairement à l’huile essentiel de lavande pour ses vertus thérapeutiques et apaisantes et également pour sa délicieuse odeur » assure Mme Rym Semmar créatrice de la marque.
La créatrice de la marque Lavandine propose une large gamme de produits de soin :
Lavandine soap à la lavande
Saboun dzair à l’huile essentielle de lavande
Lavandine baume à la lavande
Lavandine démaquillant
Lavandine sels de bain
Lavandine gommage
Lavandine crème déodorant.
Lavandine shampoing naturel
Lavandine après shampoings
Des produits que les lavandes Addicts vont adorer. Mme Rym Semmar créatrice de la marque propose également des coffrets si vous souhaitez vous faire plaisir ou faire plaisir à vos proches.
Où acheter les produits de la marque Lavandine ?
Les produits de la marque sont en vente en ligne et sur les réseaux sociaux ou lors des expositions artisanales. D’ailleurs, vous pouvez retrouver les produits de la marque Lavandine lors d’une expo vente, qui se déroulera le 7 et 8 mars 2020 au niveau de l’hôtel Sofitel.
Lavandine facebook
Lavandine Instagram
Esma Djigouadi


Certaines plantes sont réputées pour favoriser naturellement le transit et l'expulsion des gaz provenant de la fermentation des aliments dans l'estomac.
En cas de problèmes de ballonnements ou de flatulences, on oublie le café après le repas; et on mise plutôt sur des tisanes qui vont chouchouter nos intestins, comme des infusions de thym, de romarin, d'anis vert, de mélisse, de menthe poivrée, ou encore de camomille.

ALGER- Le ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire, Kamel Beldjoud a supervisé, jeudi au siège du ministère, le lancement d’une plateforme numérique pour le retrait à distance des documents d’état civil.
Ce nouveau service, qui s’inscrit dans le cadre du "parachèvement des efforts visant à simplifier les procédures administratives et moderniser le service public" sera opérationnel "tous les jours de la semaine sur le site électronique du ministère et permettra aux citoyens de retirer à distance leurs documents d’état civil ou de leurs proches en temps réel", a indiqué le ministre.
La première étape concerne les actes de naissance, de mariage et de décès, selon M. Beldjoud qui précise que ces documents ont la même valeur juridique que ceux retirés des guichets des services de la commune et sont, donc, "sécurisés et infalsifiables grâce à la signature électronique et au code à réponse rapide (QR) qu’ils portent".
Outre son impact direct sur l’amélioration du service public, la possibilité du retrait et du téléchargement de ces documents en un clic allègera le fardeau des citoyens, notamment dans les régions éloignées et permettra de rationaliser les dépenses publiques et d’économiser plus de 62 millions de feuilles imprimées annuellement au niveau des services d’état civil, soit une moyenne de 260.000 feuilles/ jour, a-t-il ajouté.
Ce service à distance permettra, entre autres, de réorienter les fonctionnaires en poste au niveau des guichets d’état civil dans d’autres services, de manière à adapter la répartition des ressources humaines aux nouvelles orientations de la gestion locale, indique le ministre.
Il a fait savoir également que son département ministériel s’attelait à parachever les dernières dispositions techniques pour élargir ce service au certificat de résidence pour lequel il sera fait référence au Fichier électoral national, et ce en collaboration avec l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE) "seule habilitée à exploiter les données du fichier". APS

Les scandales liés à l’industrie agro-alimentaire s’enchaînent. Après avoir arrêté la production du jus en poudre « Amila », le ministère du Commerce est confronté à une nouvelle affaire.
Les services de la Gendarmerie nationale sont tombés sur un atelier clandestin de fabrication de graisse alimentaire appelée « Smen Soummam » dans un quartier de la ville de Médéa.
Agissant sur réquisition du procureur de la République, les éléments de la Gendarmerie nationale se sont déplacés sur ce qui semblait être un site de production. Il s’agissait en réalité d’un local désaffecté et insalubre. Une énorme quantité de boites contenant de la graisse alimentaire, vendue sous la marque « Soummam », a été saisie et une plainte a été déposée contre le propriétaire du local. Âgé de 61 ans, ce dernier a été arrêté, apprend-on de bonnes sources.
Cette affaire vient donc s’ajouter à la fermeture à Boufarik, de l’usine de fabrication de jus en poudre « Amila », appartenant à une grande entreprise étrangère. Les autorités ont agi après la découverte d’une substance alcaloïde dans le produit, dont des quantités mises sur le marché ont été saisies. Le ministère du Commerce a ouvert une enquête.
algeriemondeinfos.com
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