
Depuis l’apparition de quelques cas à Batna, les autorités ont cru contenir la situation. Mais cette fois le botulisme sévit dans des régions comme Khenchela, Djelfa et même au centre du pays. Simple rumeur ou réalité ? Cette maladie a déjà fait son lot de victimes puisque plusieurs décès ont été signalés.
Le botulisme alimentaire frappe de nouveau. A l’est du pays, il a été particulièrement virulent avec plusieurs cas d’hospitalisation depuis le mois de juin. Mais en cette saison, d’autres cas sont apparus à Djelfa et à Laghouat.
Selon des estimations de la DSP de ces régions, les cas ne sont pas trop graves étant donné qu’ils suivent une hospitalisation en cours. Mais cette maladie rare a entraîné des cas de décès suite à des insuffisances respiratoires. La maladie en question est causée par une toxine qui se trouve dans des aliments contaminés. Jusque-là, c’est le « pâté de volaille impropre à la consommation » qui a été signalé comme source de contagion et de propagation du virus dans certains endroits.
D’après les analyses effectuées sur des malades contaminés, il s’est avéré selon le chef de service de la prévention à la DSP de Batna que « la cause est due à un cachir avarié qui a été consommé par ces citoyens». Mais la question qui reste posée est celle de l’origine de la marque du pâté de volaille ? Aucune information n’a été rendue publique à ce sujet. Les uns parlent d’un produit importé d’origine européenne sans confirmer l’authenticité de la marque alors que d’autres évoquent un produit purement local écoulé surtout à l’est du pays. Il faut rappeler que les autorités ont déjà saisi près de 1600 kg du produit suspecté avarié à Batna.
Certains labels fort connus dans ce type d’industrie alimentaire sont pointés du doigt alors qu’une campagne de boycott du pâté de volaille est mise sur le Net par des citoyens qui estiment qu’une enquête généralisée doit être entamée dans l’urgence.
Le pâté de volaille qui reste consommé par les Algériens annonce un risque alimentaire qui est poussé suite à la découverte par l’Institut Pasteur d’un échantillon de pâté consommé par les malades où effectivement le diagnostic révèle une toxico-infection alimentaire collective. Les services épidémiologiques de tous les hôpitaux ont été mis en état d’alerte craignant sans doute que d’autres cas d’infections puissent se propager durant cette saison caniculaire.
Le bilan pourrait s’alourdir si d’autres régions ne sont pas informées de la dangerosité de ces produits de large consommation qui peuvent entraîner la mort malgré les soins sanitaires apportés. Pour leur part, les directions du commerce et de la santé vont mener une campagne de sensibilisation, afin de dissuader les citoyens de consommer ces produits. Mais dans cette histoire, il y a carrément un enjeu de santé publique du moment que les producteurs de cachir sont les plus visés.
Ces derniers doivent coordonner leurs actions pour lever toute suspicion d’accusation de fraude ou de vente de produits avariés.
source : lemidi-dz.com

Impossible de passer à côté, la touche féline a envahi nos dressings. Du legging à la lingerie, cet imprimé s'est banalisé en perdant en glamour. Comment le porter en gardant son âme rock chic ? Grazia.fr
A force d'être trop et mal utilisé, l'imprimé léopard a perdu de son âme féline chic pour gagner en punk cheap. Pour éviter le côté criard, on le porte à la bourgeoise, par touches.
La veste léopard nous paraît trop excessive ? Trop voyante ? On opte pour le foulard, plus sobre et tradi-branché. Le jeu consiste à revenir aux sources. On privilégie l'imprimé félin dans une belle matière et on évite le total look. Non au binôme jupe T-shirt, non au collant et robe, oui au jean cigarette noir et haut en soie. Et surtout on boycotte toute digression psychédélique flashy, l'imprimé félin se veut brun, et basta. Seul le gris est toléré.

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Effarant ! Bien qu’on en parle que très peu, le phénomène du divorce en Algérie prend des proportions «alarmantes». 120 à 150 cas de divorce sont enregistrés quotidiennement selon le président de l’association Djazaïr El Kheir.
Ce constat «triste» d’une société qui tenait pourtant, il n’y a pas si longtemps, à des valeurs ancestrales a poussé l’association à tirer la sonnette d’alarme et à envisager même un projet de formation sur la culture du mariage au profit de nouveaux couples.
Le projet a été lancé mardi a annoncé le président de l’association, Aïssa Belakhdar, lors d’un forum sur la «Réussite familiale», organisé à l’occasion de la Journée mondiale de la femme au siège du quotidien El Djoumhouria. «Ce projet de formation vise à assurer la stabilité des couples et le maintien des valeurs traditionnelles face à l’effrayant nombre de divorces et la montée des maux sociaux et leurs conséquences sur la dislocation de la structure familiale», a souligné l’orateur qui pense lancer, par ailleurs, un concours prochainement sur «la famille modèle» à travers le territoire national.
Ceci dit, les chiffres officiels, bien qu’ils datent de quelques années déjà témoignent de l’ampleur du phénomène qui tend à se banaliser, changement de mode de vie aidant (nouveaux droits pour les femmes, femmes au travail de plus en plus nombreuses..). Alors que ce changement de mode de vie devrait en principe aider à l’émancipation de la cellule familiale, il est devenu aujourd’hui un facteur de divorce dans bien des cas. Le divorce enregistre dans notre pays, selon certains chiffres, une hausse d’environ 7% par an.
Le nombre des désunions est passé de 29 731 en 2004 à 31 133 en 2006 et 41 549 en 2009. Selon d’autres chiffres officiels plus récents, de 2007 à 2011, le divorce a connu une hausse de 61%, passant de 34 123 à 55 490 cas enregistrés par an. Sur ce nombre de divorces, la répudiation, un droit de l’époux, arrive en tête de liste avec 106 614 femmes répudiées en cinq ans. Selon un bilan de l’ONS rendu public l’année dernière, près de 15% des mariages en Algérie se terminent en divorce. Ainsi, pour un nombre de 387 947 mariages enregistrés en 2013, il a été constaté un nombre de 57 461 divorces contre 54 985 l’année d’avant, soit un taux de 14,8%.
La répudiation comme le montrent ces chiffres, est de loin, la «manière» la plus répandue avec laquelle le divorce est prononcé. Avec les nouveaux droits acquis par les femmes à la faveur de nouvelles lois, il n’est pas dit que ces chiffres «effarants» vont baisser à l’avenir. Le divorce, non seulement sépare les deux époux, mais impacte négativement sur les enfants.
lesdebats.com

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