
Le café, une boisson si mystérieuse, noir comme les plus froides nuits d’hiver. Aussi bien utilisé pour la divination que pour se réchauffer. Un focus sur la découverte de la boisson la plus consommée au monde après l’eau. L’histoire du café si mystérieuse et remplie de légende, est bien probablement encore méconnue de nos jours, puisqu’avec le temps maintenant les mythes et les histoires vraies sont totalement mêlés.
Si bien que même les historiens hésitent tous pour raconter l’histoire du café tant celle-ci est sinueuse, remplie d’anecdote. Mais aussi comment respecter cette longue et merveilleuse histoire du café.
Ici nous nous attarderons plus particulièrement sur la découverte du café en tant que tel et non pas à son expansion à travers le monde. ( cafesmiguel.fr )
Le berger Kaldi
C’est une histoire racontée depuis la nuit des temps, autrefois dans les petits cafés d’Orient dans des grandes cités comme Istanbul, Damas ou La Mecque. C’est la fabuleuse histoire du berger Yéménite Kaldi. C’est une légende qui sans doute tire une partie de son histoire de fait réel. Déclinée en plusieurs versions cette vieille légende se trouve dans un conte des Mille et Une Nuits.
Ce berger Kaldi laissait paître ses nombreuses chèvres dans les montagnes entourant sa propriété. Mais il s’aperçut peu de temps après que ses bêtes gambadaient et sautaient avec joie toute la journée, mais aussi la nuit ! Elles l’empêchaient de dormir et de se reposer.
Il alla donc voir quelques santons d’une confrérie religieuse pour leur raconter son problème. Ceux-ci décidèrent d’observer ces fameuses chèvres sauteuses. Ils constatèrent très rapidement que les chèvres semblaient se régaler de petits fruits rouges ressemblant à des cerises, provenant d’un arbuste poussant masse dans la région.
Ils en goutèrent tel quel et se sentirent tous emplis aussitôt d’une énergie débordante. Ces cerises dorénavant les soutiendraient lors des longues sessions de prières et d’exercices pieux.
C’est une des dizaines d’histoires contant la naissance de notre breuvage noir, mais sans doute la plus connue. Certainement fausse puisque les historiens, et autres personnes du métier s’accordent tous à dire que la naissance du café est à situer en Ethiopie le berceau de la première espèce de caféier cultivé (Arabica – Ethiopian) ainsi que l’origine de café comme on le connaît.
Pourtant c’est bien au Yémen qu’il connut son essor. Comment ? C’est grâce à un personnage illustre du café, la première personne importante du café.
Ali ben Omar al-Shadili
La plus grande des croyances arabiques veut que ce soit le grand maître d’un ordre mystique : les Soufis. C’est le maître Ali ben Omar al-Shadili, qui fut surnommé un peu plus tard le « saint de Moka ».
D’abord il vécut de nombreuses année en Ethiopie (c’est là qu’il connut sans aucun doute notre café), ensuite il s’exila prêt d’un port yéménite pour fonder sa communauté ou très peu de temps après s’éleva la fameuse ville de Moka.
C’est à ce point que nous faisons des analogies avec l’histoire du berger Kaldi. Le breuvage l’aida lors de ces longs exercices pieux pour rester éveiller. Le plus grand exemple fut lors de la cérémonie du « DHIKR », qui – celui-ci – devait le mener à force de nombreuses incantation et prière à une nouvelle forme de mysticisme et de puissance spirituelle.
Un jour lors d’une rencontre fortuite avec un capitaine d’un navire indien, notre saint homme de Moka, offrit un café à celui-ci qui était atteint de langueur et de fatigue. Le capitaine ressenti instantanément les effets, mais aussi reconnue le breuvage comme un met délicieux. La machine était lancée et la réputation du liquide s’étendit très rapidement en orient.
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Les personnes qui consomment plusieurs boîtes de paracétamol par mois pourraient présenter un risque accru de développer des maladies cardiovasculaires, selon une revue de la littérature médicale publiée ce 2 mars dans la revue Annals of the Rheumatic Diseases. La prise de ce médicament semble pourrait aussi accroître le risque de troubles gastro-intestinaux et des hémorragies digestives sur le long terme. Les données disponibles, bien que limitées, incitent à une vigilance particulière pour les patients concernés.
Au-delà de 4 grammes par jour, le paracétamol peut être toxique pour le foie. Mais même en-deçà de ces doses, cet antalgique pourrait présenter d'autres effets secondaires préoccupants, chez les personnes qui en consomment sur une base régulière.
Des chercheurs britanniques ont parcouru la littérature scientifique à la recherche d'informations sur les éventuels effets secondaires de cette molécule. Seules huit études présentaient des données suffisamment riches pour se prêter à l'analyse.
•L'une de ces études, réalisée en 2006 auprès de plusieurs milliers de femmes adultes, révèle que celles prenant plus de 22 comprimés (d'au moins 500 mg) par mois présentaient un risque significativement augmenté de développer une maladie cardiovasculaire dans les douze ans (risque accru estimé entre +14% et +59%), comparées aux femmes ne consommant pas de paracétamol. Ces données sont théoriquement indépendantes de leur état de santé initial.
•Deux études réalisées en 2002 sur une population similaire montrent que les consommatrices de paracétamol ont également significativement un risque accru d'hypertension, vraisemblablement lié à la dose prise. L'effet apparaît dès un comprimé par mois, mais son intensité est diversement estimée.
•Trois études aboutissent à des conclusions analogues concernant une diminution des capacités de filtration rénale.
•Une étude met en avant un risque accru de troubles gastro-intestinaux et d'hémorragies digestives chez les patients utilisateurs de paracétamol.
•Enfin, une étude suggérant un taux de mortalité plus élevé des patients s'étant vu prescrit du paracétamol est également citée. Le contexte de la prescription médicale apparaît toutefois susceptible d'influencer fortement le résultat présenté, et empêche en outre toute extrapolation aux utilisateurs de paracétamol en automédication.
Les auteurs notent toutefois que les gros consommateurs de paracétamol ont souvent, à l'origine, des problèmes médicaux qui imposent la prise d'autres médicaments. Les données recueillies pourraient donc être moins corrélées au paracétamol lui-même qu'à ces autres substances.
Des commentateurs ont d'ores et déjà souligné que les résultats présentés "ne sont pas spécifiques au paracétamol", et semblent partagés avec d'autres analgésiques tels que l'ibuprofène. Les incertitudes liées l'effet propre de ces médicaments dans l'apparition des troubles mentionnés incitent à rester prudent.
Les auteurs de l'étude jugent néanmoins que le risque lié à la prescription de paracétamol est actuellement sous-évalué par les cliniciens. Ils plaident donc "pour que les risques d'effets indésirables [qui lui sont associés] soient mieux pris en compte" dans le calcul du rapport bénéfice/risque, lors des prescriptions.
Plus généralement, "compte tenu de la forte utilisation [du paracétamol] et du fait qu'il peut être obtenu sans prescription", il serait pour eux justifié d'examiner individuellement, "et de façon systématique", son efficacité et sa bonne tolérance.
source : allodocteur.fr

Ingrédients :
3 oeufs200 g de sucre (un peu moin si on utilise du cacao sucré)200 g de farine de blé 100 g de beurre 10 cl de lait 100 g de chocolat pâtissier noir(facultatif) 60 g de cacao non sucré (si il est sucré diminuer la dose de sucre en poudre) 5 g de levure chimique 1 sachet de sucre vanillé.
Préparation:
Sortez le beurre à l'avance du réfrigérateur.
Préchauffez votre four thermostat 6/7 (200°C).
Beurrez un moule à cake. Séparez les blancs des jaunes d'oeufs. Battez les blancs en neige ferme.
Battez le beurre et les deux sucres jusqu'à ce que le mélange prenne la consistance d'une mousse ferme.
Incorporez les jaunes d'oeufs l'un après l'autre. Attendez que le mélange redevienne uni avant d'ajouter le suivant.
Incorporez ensuite, au fouet, la farine et la levure tamisées ensemble et le lait. Ajoutez en dernier les blancs battus en neige sans beaucoup travailler la pâte. Elle doit être bien lisse et onctueuse.
Partagez la pâte en deux, incorporez le cacao à l'une des deux moitiés en mélangeant soigneusement.
A l'aide de deux cuillères, remplissez le moule en alternant les deux pâtes et en recouvrant partiellement la pâte chocolatée de la pâte nature. Glissez le moule au four et faites cuire 50 mn à thermostat 6 (180°C).
Démoulez le biscuit sur une grille. Laissez-le tiédir.
Faites fondre le chocolat pâtissier avec 2 cuillères à soupe d'eau. Étalez-le en couche épaisse et régulière sur le biscuit. Laissez sécher et durcir. (si vous voulez garnir avec un glaçage au chocolat)
Servez le biscuit marbré lorsqu'il est complètement refroidi.
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