
Le mois d’octobre, c'est un mois spécialement dédié à la lutte contre le cancer du sein au niveau mondial, et l’occasion de sensibiliser à l’importance du dépistage organisé.
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En lui offrant un rein, Nawel a permis à son mari Boubaker d’en finir avec 16 ans de dialyse, “une renaissance”. Mais en Algérie comme ailleurs dans le Maghreb, des patients souffrent ou meurent faute de greffe, souvent en raison de règlements et de préjugés tenaces dissuadant les dons.
Des lois restrictives freinent les prélèvements sur les défunts, auxquelles s’ajoutent des réticences culturelles ou religieuses — que des médecins et de théologiens musulmans jugent pourtant infondées.
Ainsi, parce qu’il croyait faire courir un risque à son épouse, Boubaker Ziani, un Algérien de 47 ans, a longtemps refusé cet organe que Nawel lui proposait. Elle ne supportait plus de voir son mari affaibli, incapable de porter ses enfants ou de jouer avec eux.
Il s’est finalement résolu à l’accepter, en l’absence d’alternative.
M. Ziani a été opéré au Centre hospitalier universitaire de Batna, à 435 km à l’est d’Alger, devenu l’un des deux “centres de référence” pour les greffes de rein en Algérie, grâce à une jeune équipe médicale multidisciplinaire.
“Je suis comme un nouveau-né”, a-t-il expliqué à l’AFP les larmes aux yeux, après cette greffe salvatrice.
En Algérie, plus de 22.000 insuffisants rénaux sont sous dialyse, selon le ministère de la Santé. Un tiers d’entre eux attend une transplantation rénale.
Source: AFP

Etudier le soir, est-ce réellement dangereux pour la société algérienne ? Cela sera-t-il préjudiciable à l’université ? C’est ce que semble croire le député Hassan Laribi, membre du Front pour la justice et le développement (FJD), un parti d’obédience islamiste, qui considère que la décision du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique d’allonger les heures d’enseignement au niveau des universités algériennes jusqu’à 20h est une alternative nuisible et déconseillée.
Après les fausses polémiques autour des jupes courtes et les multiples campagnes de chasteté, c’est donc au tour de cette proposition de créer une nouvelle polémique dans le secteur. Pour justifier son rejet, le député islamiste tente d’argumenter: “Les jeunes filles universitaires seront plus exposées à la délinquance, à la prostitution et au kidnapping”.
Doutant de la capacité du gouvernement et des autorités à protéger les étudiantes des dangers de la rue le soir, le député conservateur estime que cette décision pourrait porter gravement préjudice à la cohésion de la société algérienne car “elle menace les valeurs et la morale” sociales. Il est à signaler que cette décision a été adoptée par le ministère de l’Enseignement supérieur dans le but de désengorger les classes dans certaines universités et instituts.
S’adressant au ministre Tahar Hadjar, jeudi dernier à l’APN, M. Laribi a proposé d’accompagner cette décision par des mesures de sécurité afin de prévenir les conséquences fâcheuses qui peuvent en découler, notamment sur les étudiantes. Le député est allé même jusqu’à se demander si le ministre n’était pas influencé par “un mouvement laïc vicieux qui voudrait nuire à la société Algérienne et à l’université”. “Cette décision est loin de résoudre le problème du manque d’infrastructures universitaires pour accueillir les étudiants étant donné qu’elle n’est pas convenable et ne s’adapte pas à la nature de la société”, a-t-il déclaré. Mettant l’accent sur le nombre impressionnant et lourd des problèmes dans le secteur de l’enseignement supérieur et de la recherche scientifique, M. Laribi a suggéré l’adoption de solutions “adaptées” à la société.
source : algerie-focus.com

Ali Haddad, le patron du FCE et du groupe l’ETRHB, le deuxième homme le plus riche d’Algérie, confirme qu’il compte investir dans l’enseignement supérieur. Ali Haddad négocie en ce moment avec une grande école française, l’École des hautes études commerciales de Paris (HEC), l’un des établissements les plus prestigieux dans le monde. En partenariat avec l’une des business school les plus reconnues du monde, classée deuxième meilleure d’Europe, Ali Haddad veut offrir aux étudiants algériens la possibilité d’étudier dans leur pays “sans avoir à dépenser en euros des sommes faramineuses afin d’aller jusqu’à Paris ou Montréal”, explique-t-il dans cette vidéo lors d’une rencontre avec la presse nationale.
“Nous n’allons pas engranger des bénéficies, mais il y aura des coûts que nous n’allons pas pouvoir réduire”, confie encore Ali Haddad selon lequel les frais de scolarité et d’études seront fixés d’un commun accord avec les partenaires français. “Les étudiants algériens recevront exactement la même formation qu’à Paris ou Montréal. Nous n’allons pas nous ingérer dans leur gestion sur une période de 4 à 5 ans”, indique en dernier lieu l’homme d’affaires algérien qui diversifie ainsi ses investissements sans fournir de plus amples détails sur ces autres projets
Algerie-focus.com
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