Salon International de l’Olive, Huile d’Olive, Process & Dérivées de l’Olivier 05 Mars 2018 Salons § Foires
« Pour une amélioration quantitative et qualitative de la production oléicole », tel est le thème choisi pour cette Edition du Salon International de l’Olive, Huile d’Olive, Process & Dérivées de l’Olivier « Med Mag Oliva Algérie 2018 » qui aura lieu du 07 au 10 Mars 2018 au palais des expositions, Pins Maritimes – SAFEX – Alger.
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Elle est sans doute le meilleur remède pour tous ceux qui souffrent de lourdeurs au niveau de l’estomac ou du foie, La tisane de thym est idéale en cas de digestion difficile ou de ballonnements.
Faites non pas une cure avec la tisane au thym mais une petite détox d’une journée afin de stimuler le foie, et éliminer les toxines et les déchets qui y sont présents.
Comment faire une tisane au thym
Dans une tasse versez de l’eau bouillante sur 1 cuillerée à café de thym séché.
Laissez infuser 5 minutes (après l'infusion au thym risque de devenir amer!)
Filtrez et buvez une tasse avant le repas.
Buvez 3 à 4 tasses d’infusion de thym par jour, mais pas d’avantage
La tisane au thym peut tout à fait remplacer le thé ou le café du matin.
Mais attention si vous avez une tension trop haute freinez votre consommation d’infusion de thym.
Hier, les habitants d’un quartier de Mohammadia (ex-Lavigerie), dans la proche banlieue-Est d’Alger (à proximité du chantier de la Grande-Mosquée d’Alger), ont vécu un grand moment de panique. Une dizaine de serpents, rampant sur la façade d’un immeuble, ont incité ses résidents dans un geste réflexe, à fermer portes et fenêtres pour éviter leur intrusion à l’intérieur des appartements. Ces reptiles ont formé, visiblement, un nid dans la cave du bâtiment.
Ils l’ont quitté à cause des grandes chaleurs. Pour s’en débarrasser, des riverains ont allumé un feu puis ont aspergé le nid de mazout pour le détruire définitivement. D’autres estiment plus prudent d’appeler la Protection civile. La peur qu’un serpent rescapé s’introduise dans un logement hante les esprits. L’on se rappelle que dans cette même commune de Mohammadia, il y a environ dix ans, l’apparition d’un python, qui s’est caché pendant des mois dans le vide sanitaire du bâtiment n°11 de la cité des 618-Logements, a provoqué une véritable psychose. Il a fallu que la Protection civile mobilise de gros moyens pour le capturer. Il faut croire que les vides sanitaires et les caves, souvent inondés par les eaux usées et jonchés d’ordures de toutes sortes, deviennent, par la force de l’insalubrité, des lieux propices aux rongeurs, aux insectes et vraisemblablement aux serpents aussi.
source / liberte-algerie.com
Ingrédients
- 4 blanc d'oeufs
- 1 tablette de chocolat noir ou au lait ( 70% cacao)
- 1 cuillère à café d'édulcorant
Préparation
- Faites fondre le chocolat au bain-marie
- Battez les blancs en neige
- Ajoutez l'édulcorant
- Insérez le chocolat fondu à la préparation
- Laissez reposer au frigo pendant une trentaine de minutes
Source : cuisineaz.com
L'abominable assassinat du jeune volontaire Djamel Bensmaïl par une horde de criminels a rajoutéde la douleur au drame que vit la Kabylie depuis une semaine. Le choc de cet acte barbare a failli provoquer l’irréparable n’était la sagesse du père de la victime.
Abominable, abject, monstrueux, horrible, innommable…, les qualificatifs ne suffisent pas pour décrire ce qui s’est produit, mercredi dernier, à Larbâa Nath Irathène. Le meurtre dont a été victime Djamel Bensmaïl, ce jeune artiste et volontaire, venu de Miliana pour prêter main-forte à la population locale, qui vivait son troisième jour d’enfer suite aux incendies qui ont tout ravagé sur leur passage, a choqué tout le pays et même au-delà. Mais les plus traumatisés, et les premiers à s’en démarquer, sont d’abord les habitants de Larbâa Nath Irathène où les traditions séculaires, les coutumes et l’hospitalité de la région n’autorisent pas un tel acte, mais surtout qu’il y a eu un traquenard monté de toute pièce.
Les scènes que montraient les nombreuses vidéos postées sur les réseaux sociaux sont, en effet, des plus insoutenables. Lynché, tué et brûlé, les images prouvaient l’horreur dans tous ses états. Cet acte dont a été victime Djamel relève, pour le moins que l’on puisse dire, d’une sauvagerie qui ne peut et qui ne doit pas rester impunie. C’est, certes, ce que l’on revendique aux quatre coins du pays, mais pour la population de Larbâa Nath Irathène, ce n’est pas seulement une revendication mais bien plus : une exigence.
Sur les réseaux sociaux, dans les rues et les cafés de la région, des milliers d’habitants de la localité ne jurent que par le jugement des auteurs de cet horrible crime qui vient rajouter une couche à leur deuil et qui nuit à leur image, leur réputation et leur dignité. Cette exigence est, également, réaffirmée dans une déclaration “condoléance-condamnation” lue à l’issue d’une réunion qui a regroupé, jeudi, les élus locaux avec les comités de village, la société civile, les sages et même avec des personnes d’autres localités profondément touchées par cette tragique affaire.
“Nous citoyens, comités de village et société civile, réunis ce 12 août au siège de la commune de Larbâa Nath Irathène, et après des concertations approfondies suite au crime ignoble et abject dont a été victime notre fils Djamel Bensmaïl, natif de Miliana, nous venons, par la présente déclaration, condamner cet acte inadmissible qui ne représente aucunement nos valeurs et coutumes séculaires et ancestrales”, est-il, d’emblée, mentionné dans cette déclaration lue par le maire, Mohand Lounis, au nom de la région Nath Irathène. “Par ailleurs, nous venons avec un cœur attristé exprimer notre profonde compassion et présenter nos sincères condoléances à la famille du défunt ainsi qu’à toute la région de Miliana”, a enchaîné le maire non sans saluer la sagesse et le courage manifesté par les parents, la famille et les proches de la victime suite à cette terrible tragédie. Dans la même déclaration, la localité de Larbâa Nath Irathène se dit même solennellement engagée à accompagner sa famille durant cette période de deuil.
“Enfin nous veillerons et nous exigerons toute la vérité et que justice soit faite sur cet événement tragique”, ont affirmé les représentants de la population de Larbâa Nath Irathène. Tout en promettant que des hommages seront rendus à la mémoire du défunt Djamel et que, une fois les esprits apaisés, une délégation sera dépêchée au chevet de sa famille. Le maire de cette localité, Mohand Lounis, a également estimé qu’il est question “de leur présenter des excuses” parce que, a-t-il souligné, “le drame s’est déroulé sur le territoire de la commune de Larbâa Nath Irathène qui n’a pas cette culture barbare”. “En la personne de Djamel Bensmaïl, Miliana a perdu un fils et Larbâa Nath Irathène a perdu un bénévole venu secourir ses frères. Aujourd’hui, à Miliana comme à Larbâa Nath Irathène, femmes, enfants et adultes, nous partageons tous le même deuil et le même sentiment de consternation”, a déclaré Mohand Lounis coupant ainsi l’herbe sous le pied de tous ceux qui, dès la diffusion des premières vidéos, se sont précipités pour stigmatiser toute la population de cette région encore en larmes après avoir été endeuillée par les incendies qui ont causé des morts atroces parmi les siens.
Mais, avant cette démarcation-dénonciation de l’arch Nath Irathène, il y a eu auparavant la réaction aussi digne que salvatrice du père de Djamel Bensmaïl qui a su mettre en avant toute la sagesse et lucidité nécessaires pour apaiser les esprits et, ainsi, désamorcer la vive tension alimentée à travers un déchaînement de haine, de racisme et de contrevérités sans précédent contre la région. Affligé, mais stoïque, digne et courageux, le père de la victime, Noureddine Bensmail, n’a pas hésité à souligner ses origines kabyles et les liens de fraternité qui le lient à cette région ainsi que toute l’affection qu’il lui porte pour expliquer qu’il faut raison garder.
Que ce soit devant les caméras, au CHU de Tizi Ouzou où à Larbâa Nath Irathène où il s’est rendu jeudi, le père de Djamel n’a pas cessé d’incarner la sagesse qui a servi de clé à l’apaisement. ses mots ont résonné comme un appel au calme et l’apaisement. Il a su trouver les mots pour apaiser les coeurs brulés. Côté justice, le parquet du tribunal de Larbâa Nath Irathène a annoncé, jeudi, avoir ordonné l’ouverture d’une enquête pour élucider les circonstances de cette affaire et pour identifier les auteurs et les présenter devant la justice. De son côté, le maire de la même ville a fait savoir que, justement, la société civile locale est disposée à aider les services concernés et se met à disposition du parquet pour tout complément d’information pouvant contribuer à faire toute la lumière sur ce crime abject.
Concernant les faits de l’affaire, le parquet de Larbâa Nath Irathène a, conformément à l’article 11 du code de procédure pénale, précisé, dans un communiqué, que tout avait commencé lorsqu’un groupe de citoyens de la région a apostrophé trois personnes — à bord d’un véhicule — suspectées d’être impliquées dans des incendies déclarés dans la région. “Ces jeunes ont été passés à tabac, la police est intervenue pour les sauver et les conduire au commissariat. Mais le même groupe s’est acharné sur le commissariat en usant de la violence jusqu’à en faire sortir un des trois qui a été traîné vers la place publique où il a été lynché à mort avant d’être brûlé”, lit-on dans le communiqué du parquet qui ajoute que “les policiers qui sont intervenus pour protéger la victime ont été blessés”.
Au-delà de ces premiers éléments fournis par le parquet, l’affaire demeure entourée de plusieurs zones d’ombre mais laisse transparaître plusieurs éléments troublants et par conséquent laisse place à de nombreuses interrogations parmi la population : pourquoi parmi les milliers de bienfaiteurs, bénévoles et volontaires venus en aide à la région, de jour comme de nuit, seul Djamel a fait l’objet d’une médiatisation préalable ? Pourquoi les policiers qui retenaient Djamel n’ont pas tiré des coups de sommation d’usage pour disperser la foule ? Qui sont ces monstres clairement visibles sur plusieurs vidéos en train de s’acharner sur Djamel, mais que personne ne semble connaître dans la région selon de nombreux habitants ? Qui sont également ces individus qui justifient, sur une vidéo, cet horrible crime ? C’est autant de questions qui continuent de tarauder l’esprit des habitants de la région.
source : journal liberté
LAGHOUAT - Dix-huit (18) troupes d'Inchad venues de plusieurs wilayas et de pays étrangers prennent part à la 9e édition du festival culturel international du chant spirituel "Samâa" qui a débuté vendredi soir à Laghouat.
Les participants à cette manifestation (du 20 au 23 mai) représentent la Tunisie, la Libye, l'Egypte, le Nigéria, la Côte d'Ivoire, la Turquie, la Bosnie-Herzégovine, la Macédoine et le Yémen, ainsi que la Palestine et la République Arabe Sahraouie Démocratique comme invitées d’honneur.
La ministre de la Culture et des Arts, Soraya Mouloudji, qui a donné le coup d'envoi de cette manifestation placée cette année sous le signe "Le Samâa: appel à l’adoration, la libération et la paix", a indiqué que la wilaya de Laghouat recèle un legs culturel important, mettant l'accent sur la nécessité de "donner l'importance à tous les modes et arts".
Elle a souligné que les pouvoirs publics accordaient un intérêt particulier à tout ce qui a trait à l'identité nationale et la mise en exergue de l'histoire, les épopées et la gloire de l'Algérie.
Pour sa part, le wali de Laghouat, Abdelkader Bradai a mis en avant, dans son intervention, la profondeur historique de la wilaya pour être la destination de toutes les zaouïas et les confréries (tarika) soufies et une source de la tarika Tidjania ayant contribué à la propagation de l'Islam en Afrique.
Il a précisé que l'organisation à Laghouat de la 9e édition du Festival culturel international du Samaâ soufi, se veut une reconnaissance de la place et du rôle de la wilaya dans l'accueil des confréries soufies.
L'ouverture du Festival a été marquée par des spectacles artistiques et culturels des pays et wilayas participant à cette édition, y compris une exposition de l'artisanat. Une partie de la cérémonie a été consacrée à un spectacle artistique de troupes locales de la wilaya de Laghouat qui ont présenté une image artistique exceptionnelle alliant entre le théâtre et le Samaâ soufi.
La ministre de la Culture et des Arts poursuit, samedi, sa visite à la wilaya de Laghouat par la supervision, au Centre de recherche en sciences islamiques et de la civilisation, de l'ouverture d'une conférence organisée à l'occasion du Festival.
APS
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.