DJAM en Concert à Oran 05 Avril 2018 Musique, concert, spectacle
L'Office National de la Culture et de l'Information vous invites au concert de DJAM ce samedi 07 avril 2018 à 15h à la salle Maghreb-Régent.
Prix: 500 Da
Billetterie ouverte !!!
Points de ventes : la salle Es-Sâada- le Colisée .
Article recommandé
- 3 oeufs
- 100 g de sucre
- 100 g de farine
- 150 g de purée de fraises
- 50 g de sucre
- 2 g d'agar-agar ( ou gélatine)
- 20 cl de crème entière
- une pincée de sel
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Bûche à la mousse de fraises27 Décembre 2015
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Les imams interdits de pratiquer la Roqia dans les mosquées et écoles coraniques21 Mai 2016
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Bordj Bou Arreridj: l'initiative utiliser le vélo à la place de la voiture suscite l'adhésion de02 Septembre 2019
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4 poires
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2 c à s de fleur d'oranger
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2 c à s de sucre
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Cannelle
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1 citron
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80 cl d'eau
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7 fraises
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Poire à la cannelle (au sirop) 21 Mars 2015
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Peine de mort pour la tueuse du Télemly06 Mai 2016
INGRÉDIENTS
ÉTAPE 1Préchauffez le four th. 6 (180°C).
ÉTAPE 2 Dans un saladier, battez 3 jaunes avec le sucre jusqu'à ce que le mélange double de volume.
ÉTAPE 3 Ajoutez la farine et mélangez bien.
ÉTAPE 4 Montez les blancs en neige, avec une pincée de sel, pour qu'ils soient très fermes.
ÉTAPE 5 Ajoutez-les délicatement au mélange.
ÉTAPE 6 Étalez-le bien équitablement sur une plaque et laissez cuire 10 min.
ÉTAPE 7 Sortez le biscuit et roulez-le dans un torchon humide.
ÉTAPE 8 Faites chauffer 150 g de purée de fraises avec 50 g de sucre.
ÉTAPE 9 Faites chauffer l'agar-agar avec un peu de liquide. Incorporez-le à la purée de fraises.
ÉTAPE 10 Montez la crème entière en chantilly et mélangez-la délicatement à la purée de fraises.
ÉTAPE 11 Étalez la mousse de fruits sur le biscuit et roulez-le.
ÉTAPE 12 Placez au frais pendant au minimum 2 heures.
Le ministre des Affaires religieuses et des wakfs, Mohamed Aissa, a affirmé jeudi à Alger que les imams et leurs auxiliaires sont interdits de pratiquer la Roqia dans les mosquées et écoles coraniques, soulignant qu’il ne s’agit nullement « d’une profession » et qu’elle « ne sera pas homologuée ».
M. Aissa qui répondait à une question du membre de l’Assemblée populaire nationale (APN), Mohamed Eddaoui, sur le recours croissant de larges franges de la société au traitement par la Roqia, a indiqué que son département « interdit fermement aux imams de pratiquer la Roqia dans les mosquées et écoles coraniques », admettant toutefois que cette pratique gagne de plus en plus de terrain au sein de la société algérienne, voire la société arabo-musulmane ».
Il a rappelé dans ce sens le communiqué publié par le ministère à ce sujet en 2003 et renouvelé en 2015, définissant « la Roqia et les conditions de celui qui la pratique » et précisant « qu’elle n’est pas une profession et ne pourrait jamais l’être ».
M. Aissa a rappelé également la campagne de sensibilisation qui a suivi la publication de ce communiqué notamment à travers les médias pour sensibiliser les la société.
A une question sur une fetwa autorisant l’étourdissement par électrocution des bêtes avant l’abattage, M. Aissa indiqué que le conseil scientifique installé par le ministère en 2014, avait dit son mot sur ce sujet lors de sa première session, tenue à Ghardaïa, et ce à la demande du ministère de l’Agriculture, ajoutant que le ministère avait respecté cet avis et le dossier a été clos.
Le ministre a indiqué également que les membres de la commission de la fetwa avaient été renouvelés, ajoutant que la commission présidée par Tahar Ait Aldjat est composée de cadres du ministère.
D’autres instances de fetwa sont également réparties à travers les wilayas pour répondre aux doléances des citoyens, a-t-il encore ajouté.
aps
BORDJ BOU ARRERIDJ - L’initiative d’utiliser le vélo à la place de la voiture lancée samedi dans la ville de Bordj Bou Arreridj par des jeunes, des sportifs et des artistes a suscité l’adhésion des citoyens soucieux de la qualité de leur environnement, a-t-on constaté.
Placée sous le slogan "vélo, santé, environnement et civisme", l’initiative vise à diffuser la culture écologique et encourager l’utilisation de vélos pour les déplacements dans le centre-ville de Bordj Bou Arreridj qui connaît un très dense trafic automobile, a indiqué l’artiste Nassim Siassi qui est à l’origine de l’idée.
L’adhésion des citoyens, hommes et femmes de toutes les catégories d’âge, "a dépassé toutes les attentes comme en témoigne leur grand nombre présent sur la place El-Kalaa du centre-ville", a relevé Nassim Siassi, précisant que dès publication de l’évènement sur les réseaux sociaux, les annonces de participation émanant de personnes habitant les quatre coins de la willaya n’ont cessé de croître.
"Cette forte adhésion révèle la disponibilité d’une grande frange de la société à adhérer aux initiatives sérieuses qui servent l’intérêt général et préserve l’environnement", a ajouté l'artiste qui a indiqué que cela a encouragé les animateurs de l’initiative à créer un club de vélo à Bordj Bou Arreridj.
Il a été également convenu, par les participants, de se réunir chaque vendredi et samedi pour des tournées collectives à vélo pour inviter d’autres citoyens à les rejoindre et mener des actions de nettoiement de l’environnement urbain, a précisé Nassim Siassi.
Ingrédients
Préparation
Étape 1
Laver, éplucher et évider les poires. Les mettre à mariner avec le jus de 1 citron et 3 pincées de cannelle.
Étape 2
Porte l'eau à ébullition avec le sucre, la fleur d'oranger et une pincée de cannelle. Plonger les poires dans l'eau aromatisée et laisser mijoter 20 minutes (plus ou moins selon la grosseur des poires). Les sortir quand elles sont translucides et fondantes. Réserver au frais.
Étape 3
Faire réduire le jus afin d'obtenir un sirop. Laver, équeuter les fraises et les couper en lamelles fines pour le dressage.
Étape 4
Une fois le jus réduit, dresser les poires au milieu d'une assiette, les fraises autour et napper de jus. Réserver au frais. Penser à arroser les poires de jus régulièrement si elles ne sont pas consommées immédiatement (laisser au frais).
Comme il fallait s’y attendre, le tribunal criminel d’Alger a, sans hésitation aucune, prononcé avant-hier, tard dans la soirée, la peine de mort contre la tortionnaire du Télemly, reconnue coupable de tous les chefs d’inculpation, à savoir homicide volontaire avec préméditation et guet-apens, retenus contre elle par les juges de la chambre d’accusation de la cour d’Alger conformément aux articles 254, 255, 256, 257, 261 du code pénal.
Les membres du tribunal criminel d’Alger, Saïd Moundji et Samira Kirrat, dirigés par le président de la 11e chambre pénale près la cour d’appel d’Alger, Menouar Ben Gherifa et les deux jurés Maalem et Bouchema, n’ont pas eu besoin de beaucoup de temps pour condamner la mise en cause, convaincus qu’ils étaient, comme d’ailleurs toute l’assistance, de la culpabilité de celle qui a commis un crime particulièrement odieux.
Ces derniers ont répondu par oui à toutes les questions liées à la culpabilité, la préméditation, l’intention criminelle et le guet-apens, et par non en ce qui concerne les circonstances atténuantes.
Les réponses lues par le président d’audience ont été accueillies avec satisfaction par tous ceux qui étaient présents dans la salle d’audience, à l’exception toutefois de l’époux de la victime, qui a préféré sortir pour ne pas connaître le sort réservé à sa maîtresse, avec laquelle il avait une liaison extraconjugale.
La mise en cause n’a, quant à elle, pas réagi à la sentence prononcée et s’est contentée de jeter des regards évasifs vers le public.
Le procureur général, Abdel-Alim Ferradji, a requis la peine de mort contre la tortionnaire du Télemly, qui a assassiné sauvagement une femme et ses deux filles en bas âge, avant de les abandonner baignant dans une mare de sang. Le procureur général a insisté dans son réquisitoire sur la préméditation de cet acte abominable, la mise en cause ayant emporté dans son sac à main deux couteaux.
Il a enfin affirmé que cette femme bourreau ne mérite ni clémence ni indulgence de la part des membres du tribunal criminel. « La personne que vous avez en face de vous, monsieur le président, a commis l’irréparable en mettant fin aux jours d’une femme et de ses deux filles sous prétexte que sa belle-mère l’a incitée à le faire ! »
« J’ai fait un rêve dans lequel j’avais assassiné l’épouse de mon mari. L’idée est restée gravée dans ma mémoire. Le lendemain matin, je me suis armée de deux couteaux et je me suis dirigée vers l’appartement de ma proie. J’ai frappé à la porte, la victime m’a ouvert et m’a invitée à rentrer dans le salon.
Assise sur un fauteuil, je lui ai dit que j’étais la deuxième femme de son mari. Elle ne voulait pas me croire et m’a demandé de lui montrer le livret de famille. Lorsqu’elle a constaté que ce que je disais était vrai, elle s’est mise à crier de toutes ses forces en me traitant de menteuse et de voleuse d’hommes.
J’ai sorti le couteau et lui est assené un coup en plein ventre. La victime s’est écroulée, je lui ai alors porté plusieurs autres coups de couteau, au total 40, dans différentes parties de son corps devant sa fille qui hurlait ʺMaman ! Maman ! ʺ »
Sans aucun remords, la personne incriminée a continué de raconter la manière avec laquelle elle s’était attaquée à la deuxième victime : « Je lui ai assené cinq coups de couteau, notamment au niveau du thorax, puis je suis allée dans la chambre où se trouvait la troisième victime. Sans hésitation aucune, je lui ai porté pas moins de trois coups de couteau ! Je me suis alors évanouie.
Lorsque je me suis réveillée, j’ai trouvé un homme derrière moi. Il me suppliait de rentrer chez moi et de ne pas commettre de crime ! »
Le président en charge du dossier lui a alors rappelé qu’en se réveillant, elle s’était dirigée vers la salle de bain et s’était lavée, en prenant soin de changer le foulard taché de sang qu’elle portait avec un autre qu’elle avait ramené avec elle pour l’occasion !
C’est dans une salle archicomble, trop exiguë pour contenir la nombreuse foule composée des avocats, des parents et proches et même des curieux, que le procès de la femme sanguinaire du quartier de Télemly à l’origine d’un triple crime s’est ouvert hier, à 13h30, au tribunal criminel d’Alger.
Le procès a connu plusieurs interruptions suite à de petits incidents survenus entre le président et quelques avocats, à l’instar de Me Cherif Lakhlef, lequel a menacé de se retirer.
L’avocat en question a tout tenté pour faire passer l’affaire à huis clos, estimant qu’il y a des données qui touchent à la dignité de sa cliente A. Radia, laquelle a tout fait pour échapper à la responsabilité pénale.
Cette dernière a en effet voulu faire croire aux membres du tribunal criminel d’Alger que le triple crime avait été commis par un homme qu’elle a rencontré, par hasard, dans l’appartement de la victime !
Les services de la police judiciaire de la sûreté de wilaya d’Alger ont néanmoins réussi à élucider le mystère qui entourait ce crime odieux, commis le 14 octobre 2014, au Télemly, à Alger. Après une enquête qui a duré près de cinq jours, il est apparu que l’époux de la défunte victime était marié à une autre femme.
Pendant son interrogatoire, cette dernière a avoué être l’auteur de l’assassinat de la première épouse et de ses deux filles. Selon des sources concordantes, elle avait déclaré au cours de l’enquête : « Il a brûlé mon cœur, alors j’ai décidé de lui brûler le sien en tuant sa première épouse. » La seconde épouse s’est vengée de son mari après leur divorce.
Il convient de signaler que les avocats de la défense, suite aux aveux de leur cliente et au réquisitoire du procureur général, se sont contentés de solliciter l’application des articles ayant trait aux circonstances atténuantes, conformément à l’article 53 du code pénal et l’article 592 du code de procédures pénales.
Ils comptent cependant introduire un pourvoi en cassation à la chambre criminelle pour la révision du procès et, par-delà, la peine prononcée contre leur cliente, estimant que « c’est trop lourd comme jugement ! ».
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.