Alger, Bejaia : Programme des sorties du week end ( 13-14 avril 2018) 12 Avril 2018 Divers § Sport § Activités originales
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Un nouvel espace culturel, nommé le 48, a ouvert ses portes à Alger, plus précisément dans le quartier huppé et fréquenté de Sidi Yahia (Hydra).
C’est avec un concept innovant que le « 48 » a été inauguré au coeur de la capitale. Un café-restaurant, « le perchoir », une librairie « L’arbre à dire » et une salle de conférence, l’Espace Agora, composent ce nouvel acquis pour la commune de Hydra.
Situé non loin du Paradou, le 48 est un imposant immeuble de 3 étages avec terrasse, qui met un point d’honneur à marier art et divertissement. Ouvert tous les jours de 12h à Minuit, et le vendredi de 16h à Minuit, le 48 accueillera les plus curieux dès cette semaine.
vinyculture.com
Par le site babzman.com
El Buqala est à l’origine une pratique divinatoire, devenue un jeu accompagné de courts poèmes, récités ou improvisés, pour être à la fin interprétés comme des présages.
Le jeu d’el Buqala était très en vogue dans les vielles cités historiques d’Alger et ses environs, Koléa, Cherchell, Miliana, Blida, Médéa, mais aussi Dellys et Bougie. Si la présence de la pratique est attestée dès le XVI e siècle en Algérie, il convient de creuser dans le fond des rituels magiques méditerranéenne pour en trouver l’origine, et non dans les pratiques divinatoires turques qui ressemblent au jeu de la buqala, mais qui elles, admettent les hommes.
El Buqala est également signalée en Tunisie, où le jeu aurait disparu après la première guerre mondiale, pour réapparaître récemment dans certains milieux néo-citadins.
Le jeu de la buqala est pratiqué par les femmes, toujours de nuit, et de préférence la veille du mercredi, vendredi et dimanche. L’élément essentiel, et qui a donné son nom à la pratique : c’est le récipient de terre à deux anses, rempli d’eau, que l’officiante, généralement une femme âgée, tient en équilibre sur ses deux pouces tendus à hauteur du visage.
Le Kanoun est important aussi, car il sert à la fumigation en début de cérémonie d’herbes aromatiques ou de feuilles odorantes (henné, laurier-rose…) , se trouvant dans le récipient.
L’officiante peut débuter le jeu…Elle fait une invocation qui commence toujours par un appel à dieu. Les autres thèmes du rituel sont simples : les participantes nouent leurs ceintures (pour les filles vierges) ou un mouchoir (pour les femmes mariées); le nœud subsiste pendant tout le temps de la récitation, pendant laquelle les joueuses, pensent à une personne…
Les poèmes dits, on les interprète et on tire des présages s’appliquant à la personne évoquées en pensée; et pour les vérifier on examine le récipient toujours tenu en équilibre sur les pouces : s’il bascule vers la droite, l’interprétation est vraie; s’il bascule vers la gauche, elle est erronée .
D’autres rituels peuvent être observés, comme celui qui consiste à jeter dans le récipient rempli d’eau, des bijoux appartenant à plusieurs assistantes. Le poème s’appliquera à la propriétaire du bijoux, ou de l’objet qui sera retiré en premier de la Boqala.
Plusieurs auteurs ont recueilli un corpus de jeu de bwaqal anciens. Le jeu a par ailleurs fait l’objet d’une série d’émissions radio-phoniques à Alger en 1974/75, et a connu un durable succès, contribuant ainsi à la renaissance de cette pratique ancestrale, devenue un simple jeu par l’extirpation de son caractère magique antérieur, et par la valorisation de la littérature orale.
Source : babzman.com
Les intoxications alimentaires affectent, durant la période estivale, un nombre important de citoyens. Dans l’objectif de réduire les risques y inhérents, l’Apoce (Association de protection des consommateurs), en collaboration avec le Snapo (Syndicat national des pharmaciens d’officine) et Biopharm, entre en campagne en donnant des recommandations de consommation. En plus des posters affichés dans leurs pharmacies, les pharmaciens d’officine distribueront gratuitement des flyers dédiés aux conseils de consommation notamment durant la période estivale.
Une démarche inédite en Algérie.
liberte-algerie.com
Par le site : theepochtimes.com Migraine, acné, troubles de la respiration… notre corps réagit parfois à cet accessoire nouveau pour lui, le masque. Obligatoire maintenant en milieu professionnel et en extérieur dans certaines villes, le port du masque devient parfois une épreuve pour certains.
Des peaux réactives
La peau du visage est la première concernée. « La peau du visage n’est pas physiologiquement adaptée au port du masque. Elle est fine et réagit plus rapidement aux agressions de type frottement. La peau n’est pas la même partout. Celle des mains est plus épaisse, plus rugueuse, moins fragile », explique ainsi le Dr Radostina Bachvarova, dermatologue, au Journal des femmes.
Selon elle, plus les peaux sont claires et âgées, plus elles seront sensibles et facilement réactives aux agressions extérieures. Il en sera de même pour les personnes déjà fragilisées par des pathologies de la peau, telles que la dermatite ou le psoriasis.
« Le frottement du masque sur les zones fragiles du visage, et en particulier sur le haut du nez là où reposent certains masques équipés d’une barrette en acier, agresse la peau et abîme la barrière cutanée naturelle. Lorsque cette barrière cutanée est abîmée, les problèmes de peau arrivent », prévient le Dr Bachvarova.
Le contact prolongé du masque avec la peau, associé au phénomène de chaleur humide qui découle de la respiration, peut alors faire apparaître de rougeurs, des boutons, de l’acné…
Certaines zones du visage seront particulièrement exposées : sous les yeux, l’arête du nez, le menton ou encore l’arrière des oreilles, seront plus enclines à une réactivité de la peau.
Pour éviter ces désagréments, des solutions diverses sont proposées telles que se rafraîchir le visage avec un brumisateur d’eau thermale (et bien laisser sécher le visage avant de remettre le masque), bien s’hydrater, moins se maquiller et éviter les cosmétiques parfumés contenant des conservateurs, s’accorder de brèves pauses où l’on enlève le masque et l’on respire profondément, sélectionner un type de masque où l’on se sent plus à l’aise…
Yeux secs et difficultés respiratoires
La respiration vers le haut qu’entraîne le port du masque peut parfois générer une sensation d’inconfort pour les yeux chez certaines personnes.
« Il provoque principalement une sécheresse oculaire, parce que l’expiration de l’air est concentrée vers le haut, et provoque un courant d’air régulier vers les yeux », explique ainsi Damien Gatinel, ophtalmologue et chef de service à l’Hôpital Fondation Rothschild à Paris, pour Madame Figaro. Cette sensation sera d’autant plus ressentie lorsqu’on porte des lentilles ou que l’on est déjà sensible au phénomène des « yeux secs ».
Autre inconvénient et non des moindres, les troubles de la respiration. Directement posé sur les voies respiratoires, le masque peut perturber les processus d’inspiration et d’expiration de l’air. « Cette protection nous oblige à respirer de manière plus superficielle, plus légère qu’à l’habitude », souligne Delphine Bihr, ostéopathe, sur Madame Figaro.
Le moindre effort, nécessitant normalement une inspiration plus forte, sera alors perçu comme une difficulté, provoquant alors un essoufflement et parfois même des maux de tête.
Il est donc recommandé d’éviter le port du masque lors des activités physiques plus intenses.
Célébration du 8 mars, Entre avancées et fragilités
Sur le plan politique et social, il est incontestable que la femme algérienne a connu des acquis, mais d’un autre côté, la violence faite aux femmes est un phénomène qui prend des proportions dramatiques qui interpellent la société.
L’Algérie célèbre aujourd’hui la Journée internationale de la femme. Cette date vient nous rappeler que le 8 Mars est une journée qui a été est reconnue par l’ONU, en 1977, journée de lutte contre le déni du droit des femmes et de leur statut d’êtres humains égaux. Cette année, le 8 Mars arrive dans un contexte tout particulier, au lendemain de la clôture des candidatures à l’élection présidentielle, prévue pour le 17 avril prochain. Étrangement, la date du 8 Mars, jusque-là entrant dans l’exclusivité du président de la République, est commémorée, cette fois, par la plupart des partis politiques. Doit-on interpréter cela comme un signe d’évolution des mœurs ou une tactique envers l’électorat féminin ?
Comme de coutume, la Journée internationale de la femme sera célébrée diversement en Algérie, notamment par des rencontres, par la remise de prix, des tournois sportifs et des festivités. Pour les militantes des droits de la femme et de l’enfant, ainsi que pour les défenseurs des droits de l’homme, la journée du 8 Mars sera “un moment privilégié” pour revisiter le chemin parcouru par les femmes dans le monde, mais aussi en Algérie, et réfléchir sur la meilleure manière de vaincre les chaînes du patriarcat, de renouer avec le sens des responsabilités, quel que soit le sexe, et d’aller à la rencontre de la citoyenneté. C’est également l’occasion pour faire le bilan sur la situation concernant la condition féminine dans notre pays.
À ce sujet, il serait malhonnête de faire abstraction des acquis arrachés par les Algériennes depuis l’Indépendance du pays, comme il serait difficile de taire toutes ces violences, physiques et morales faites aux femmes, quels que soient leur âge, leur statut social ou leur niveau d’instruction. Ces agressions peuvent aller de l’insulte au meurtre, en passant par les coups et le viol. À ce propos, les statistiques les plus récentes de la Gendarmerie nationale signalent 5 797 coups et blessures, 261 femmes tuées, 297 viols et 329 atteintes à la pudeur. Le plus effrayant dans l’affaire, c’est que 46% des violences ont lieu à la maison. Mais, il ne s’agit là que des cas déclarés ou identifiés ; la réalité est encore plus pénible.
Sur le registre des “avancées”, rappelons qu’en 2005, des amendements ont été introduits dans le code de la famille, reconnaissant l’apport économique de la femme et effaçant l’obéissance au mari. Mais ces petits progrès ne pèsent pas très lourd devant l’imposante architecture inégalitaire de ce code. Trois années plus tard, soit en novembre 2008, un amendement constitutionnel est introduit, enjoignant la présence des femmes dans les assemblées élues. Pourtant, même si les femmes sont à présent visibles dans la rue et les marchés, dans les universités, les administrations et les entreprises, même si elles sont présentes dans l’espace public, il n’en demeure pas moins que les pratiques sociales cumulent beaucoup de retard. Le moment est venu pour que la loi conforte ce consensus mis en place en faveur du respect de la dignité de la femme et de la protection de son intégrité physique. À moins que toutes ces mesures soient destinées à la consommation extérieure…
Source : journal liberté
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.