
La France a décidé l’instauration de quotas d’immigration professionnelle, prévue pour 2021, afin de répondre aux besoins de main-d’œuvre de plusieurs secteurs. Et les algériens sont concernés par cette nouvelle, selon la ministre française de l’Emploi.
Les quotas seront-ils fixés en fonction du pays d’origine ?
Sur cette question, la ministre française, Muriel Pénicaud, a répondu : « Non, ça n’a aucun sens ».
« l’immigré professionnel aura un visa de travail pour une durée déterminée et un travail déterminé », a souligné ministre de l’Emploi.
Des « quotas » ou « objectifs chiffrés » d’immigrés « professionnels » vont être fixés chaque année, dès l’été prochain, pour que la « France recrute » en fonction de ses besoins de travail, a expliqué la ministre française.
Muriel Pénicaud a ajouté : « On va revoir cette liste chaque année (…) On commence dans quelques semaines avec les partenaires sociaux et les régions. La Dares [cellule statistique du ministère du Travail] et Pôle emploi vont travailler pour analyser tous les métiers en tension (…) On vérifie que tous les efforts de formation ont été faits pour permettre à nos demandeurs d’emploi de prendre ces emplois et ensuite les réfugiés (…), on fixera le nombre de personnes par métiers et par territoire »
algerie360

Les ateliers pour réussir organise un nouvel atelier sous le thème : Comment réussir les projets de sa vie ?
Au programme :
Comment identifier ses objectifs et réussir les projets de sa vie.
Comment planifier ses actions et les concrétiser ?
Comment sortir de sa zone de confort ?
Comment installer de nouvelles habitudes positives?
Comment s’organiser avec efficacité ?
Comment dépasser les obstacles
Exercices pratiques.
Pré-requis Aucun pré-requis n'est nécessaire.
Population Ciblée étudiants - particuliers et cadres. Toutes personnes motivées voulant réussir sa vie.
Date : le jeudi 22 aout 2019
Heure : de 12h à 15h (3h)
Lieu : The Address Coworking Space · Alger

Société Générale Algérie organise la septième édition de son concours « Jeune Artiste Peintre » et lance un appel à candidature en direction des jeunes artistes peintres algériens professionnels ou amateurs.
A travers cette initiative Société Générale Algérie continue à œuvrer pour l’émergence de nouveaux talents dans l’art plastique moderne en Algérie.
Ce concours est ouvert du 1er avril au 31 juillet 2019 aux candidats répondant aux conditions suivantes :
- Etre âgé de 45 ans maximum au 31 décembre 2019,
- Etre jeune artiste professionnel ou amateur en art,
- Résider en Algérie.
L’œuvre présentée doit être entièrement conçue et réalisée par l’artiste lui-même.
Les candidats désirant participer doivent postuler sur le site : www.societegenerale.dz
Un jury composé de personnalités et d’experts du monde artistique désignera les trois (03) meilleures œuvres lors d’un vernissage qui sera organisé à cet effet. Pour donner un maximum de visibilité aux artistes qui vont prendre part au concours, les douze meilleures œuvres vont illustrer l’agenda et le calendrier de l’entreprise pour l’année 2020 et leurs œuvres seront exposées lors dudit vernissage.
Comme pour les éditions précédentes, celle de 2018 a connu un franc succès où près de deux cents œuvres ont été envoyées par les jeunes artistes peintres. Douze d’entre elles ont été choisies pour la sélection finale.
Le jury de l’édition 2018 a récompensé trois lauréats :
- Premier prix, Walid ACHACHERA, de Tlemcen,
- Deuxième prix, Yasmina BOUKHARI, de Bordj Bou Arreridj,
- Troisième prix, Khalil KETFI, de Sétif.
Idir au Forum de Liberté : « Je viendrais au moment opportun, mais je veux un spectacle libre »
La star de la chanson d’expression Kabyle, Idir, est prête à venir chanter en Algérie après des dizaines d’années d’absence. « Je viendrais au moment opportun.
Pour l’instant j’ai quelques soucis de santé et je dois me soigner. Je voudrais organiser un spectacle à la hauteur des aspirations du public algérien », affirme-t-il, lors de son intervention ce lundi au Forum du quotidien Liberté. Il explique son refus de se produire en Algérie.
« Dans les années 1980, il y a eu des réticences. J’ai bien entrepris des tentatives de chanter à Tizi Ouzou par exemple. Mais à chaque fois il y a des contraintes. Il y a comme une fin de non-recevoir tacite à l’époque », dit-il. Durant les années 1990, explique-t-il, « il n’y avait pas d’envie de chanter». « Je n’avais pas le cœur à chanter », lance-t-il, précisant que depuis le début des années 2000, ce sont d’autres contraintes d’ordre technique et même idéologique qui l’empêche de rencontrer son public algérien dans son pays.
« Les choses ne se font pas normalement. Je veux chanter librement et ça ne m’intéresse pas d’organiser un spectacle sous l’égide de X ou Y. Je suis ce que je suis et je ne suis pas prêt de changer », précise-t-il, en rappelant la discussion qu’il a eu « avec de hauts responsables » suite à la visite effectuée par la star de football, Zineddine Zidane, en Algérie après le mondial de 2006.
« On m’a demandé de chanter à l’occasion de la manifestation Alger capitale de la culture arabe. Je suis confronté d’emblée à un mur idéologique. C’est inconcevable », indique-t-il. Il précise, dans ce sens, que le fait de chanter au Maroc et en Tunisie, même sous des régimes dictatoriaux, « ne sort jamais du cadre contractuel négocié avec les organisateurs ».
« Je garde toujours ma liberté. Je ne parle jamais de l’Algérie, car j’estime que c’est des choses à dire je les dirai ici », soutient-il. Le compositeur de « Avava Inouva (sa célèbre chanson)» revient longuement, à cette occasion, sur le déni identitaire qui fait qu’en Algérie de 2013 « il y a toujours des algériens et d’autres qui ne le sont pas à part entière ». Dans ce sens, il plaide pour l’officialisation de la langue amazigh « sans conditions, ni référendum » et de lui donner les moyens de se développer.
Dans ce sens, Hamid Cheriet, vrai nom d’Idir, déplore que l’Algérie « n’est toujours pas un Etat de droit ». « L’idéologie arabo-musulmane a faussé tout. On vous refuse d’être algérien. Si on s’obstine dans cette logique, il ne faut pas s’étonner qu’on voit germer dans les têtes plusieurs idées », met-il en garde. S’exprimant sur le projet de l’autonomie, puis de l’indépendance de la Kabylie défendu par le MAK, Idir déplore la diabolisation de Ferhat Mehenni et l’absence de débat autour de ces idées.
Source article : el watan

MISS MAGHREB VOUS DONNE RENDEZ-VOUS A LA 7 EME EDITION DU SALON DE MARIAGE D'ORAN
DU 07 AU 16 FEVRIER 2019
STAND N C12
TEL 0552 676 816
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