
Venez découvrir la zumba à la plage :
Ce sport collectif, d'abord discret en Algerie, est devenu depuis près d'un an un phénomène de mode dans la capitale et d'autres régions du pays. Il attire aussi bien les dames, que les jeunes et les enfants ; et même quelques messieurs téméraires. En salle ou à l'extérieur comme à la plage ou autour de la piscine... la Zumba® se pratique partout et par tous les temps, pour des séances d'une heure.
Si vous ne le connaissez pas encore, venez nombreux a découvrir ce phénomène joyeux et qui vous permet en même temps de brûler vos calories et garder une bonne forme.
Evènement : White Playa Party ou le code Dress : blanc
Prix : non adhèrent 1500 DA / les 2h
adhèrent du Club Ftiness Sheraton : gratuit
Dress code: un haut blanc
PS\ baignade assurée
L’Association de fraternité algéro-palestinienne vient d’être créée à Alger pour le raffermissement des liens de fraternité et de solidarité entre les deux peuples et le soutien des Palestiniens et leur lutte contre l’occupation. Lors de la réunion constitutive tenue sous le slogan «l’Algérie avec la Palestine qu’elle ait tort ou raison», le président de l’Association, Achour Moussa, a affirmé que «la cause palestinienne demeure la cause sacrée de tous les hommes épris de liberté à travers le monde», s’engageant à œuvrer davantage à l’intensification des efforts pour soutenir le peuple palestinien, notamment les détenus en grève de la faim dans les prisons de l’occupant, qui font face à l’injustice avec des ventres vides.
Revenant sur les relations étroites et séculaires entre l’Algérie et la Palestine,
M. Achour a rappelé que l’Algérie a été le premier pays à abriter le bureau de l’Organisation de libération de la Palestine (OLP) en 1988 et que la proclamation de l’Etat palestinien a eu lieu depuis Alger.
De son côté, le représentant de l’ambassade de Palestine s’est félicité de cette initiative, exprimant le souhait qu’elle constitue «un levier pour la consolidation des relations historiques entre les deux pays».
«Les relations entre l’Algérie et la Palestine dépassent le cadre officiel et ne peuvent, de par leur ancrage populaire, culturel et de lutte, être restreintes à un cadre, à une structure ou à une organisation», a-t-il ajouté. Concernant les détenus palestiniens en grève de la faim, le diplomate palestinien a précisé que leurs revendications sont principalement d’ordre humanitaire et que le traitement que leur réserve l’occupant est contraire aux lois internationales, appelant la communauté internationale et les organisations des droits de l’homme à soutenir ces détenus qui «souffrent de l’injustice de l’occupant et de la politique de deux poids, deux mesure en matière de droits de l’homme».
source : Letempsdz.com

Les premiers éléments de l’enquête sur l’assassinat de Terrafi Yasmine, avocate à Ain Bessem (Bouira) ont été révélés ce samedi par le parquet de la circonscription.
En effet les auteurs présumés de l’assassinat auraient tenté de la violer mais elle se serait défendu jusqu’à la mort en compagnie de son compagnon qui était avec elle et qui a été également grièvement blessé.
Le juge d’instruction près le tribunal de Ain Bessam, après avoir entendu les trois criminels, a retenu plusieurs chefs d’inculpation, notamment constitution de bande armée, assassinat avec préméditation, tentative de viol avec violence, blessures avec arme blanche.
Les trois malfrats ont été placés en détention et risquent la peine de mort.
Il faut rappeler que la jeune Terrafi Yasmine, avocate stagiaire à la Cour de Bouira et âgée de 28 ans, a été retrouvée morte à l’intérieur du véhicule qui la transportait lundi vers Ain Bessam, tandis que le conducteur (K.A.) était blessé et en état d’inconscience. Le véhicule a été retrouvé stationné sur les abords de la route nationale n°18 reliant Ain Bessam à Bir Ghbalou.
express-dz.com

«Bnet L'djazaïr» est un événement qui consiste à, inviter des intervenantes de la gent féminine ayant prouvé leur existence dans la société afin de délivrer des talks visant à motiver les femmes algériennes.
L’évènement accueillera un public intégralement féminin, et aura lieu au centre culturel "Mohamed Aissa Messaoudi", sis à Hussein Dey dans la wilaya d’Alger, le Samedi 03 Mars 2018 à partir de 13.30.

Les conducteurs de taxi n’auront pas le droit de refuser une course tant qu’ils sont en service et libre. C’est ce qui est indiqué dans l’article 26 du «cahier des charges relatif aux conditions et modalités d’exploitation d’un service de taxi» publié, hier, au journal officiel.
Cet article stipule que «le conducteur de taxi, ne doit pas : refuser ou choisir des courses lorsqu’il est libre ; faire usage des moyens audio et audiovisuels sans l’assentiment des clients ; fumer à bord du véhicule». Par contre, il peut refuser «de prendre en charge les personnes en état d’ébriété ; les personnes dont la tenue ou les bagages sont de nature à salir ou à détériorer l’intérieur du véhicule ; les clients accompagnés d’animaux domestiques qui ne sont pas contenus dans des cages ou autres contenants appropriés ; un client s’il est à moins de 50 mètres d’une station de taxi où des taxis libres attendent» (article 27).
Ce cahier de charge résume tous les aspects du métier de “taxieur” et les modalités d’acquisition d’une autorisation d’exploitation. A ce titre, un conducteur de taxi est tenu de remettre à un client qui le demande un reçu sur lequel est inscrit le prix de la course. Ainsi, l’article 25 stipule que «le conducteur de taxi doit être muni d’un carnet à souche (reçus) sur lequel doivent être imprimés le nom, prénom de l’exploitant et le numéro d’ordre chronologique. Il est tenu de délivrer au client qui en fait la demande un reçu, dûment rempli et signé par le conducteur de taxi, sur lequel, est inscrit le prix de la course».
En outre, ce cahier de charge exige aussi du conducteur de taxi, dans son article 24, qu’il «porte une tenue vestimentaire appropriée à l’exploitation de service de taxi : chemise, pull ou veste, pantalon, chaussures fermées» et qu’il est tenu de «se comporter avec respect et politesse avec les clients», entre autres.
Les autorités signalent dans le cahier de charge que les clients se sentant lésés peuvent se plaindre auprès des directions wilayales de transport, des commissariats ou des brigades de gendarmeries.
source : algerie-focus.com
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