
TOP SORTIES TOURISTIQUES DZ vous propose une Visite du Village de #AGUEMOUNE prévue pour ce Samedi_10_Avril_2021
Aguemoune (aussi nommé Aguemoune Ath Slimane) est un village de la commune de Boukhelifa dans la wilaya de Béjaïa. C'est le village natal des parents du footballeur #Zinedine_Zidane
►Voyage dans un bus confortable
►Départ : 06h45 a 7H (départ en face tribunal de RUISSEAU au grand parking 100 mètres de la station tram et métro)
Stationnement #DISPONIBLE
► Retour estimé à 18h30 (sur Alger)
*Tarif : 1600 Dzd par personne (première sortie)
► Des réductions de Tarif suivant la #CARTE_DE_FIDÉLITÉ "Top Sorties Dz"
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Une étude présentée par le professeur Ziri, directeur général du CHU Nedir-Mohammed de Tizi-Ouzou, à l’occasion de la Journée nationale de psychiatrie qui s’est tenue jeudi.Au moins 9% des étudiants de l’université Mouloud-Mammeri de Tizi-Ouzou consomment de la drogue, a révélé une étude transversale descriptive réalisée auprès de la population estudiantine inscrite dans les différents départements pour l’année 2015-2016.
L’objectif de ce travail rapporté par le Jeune indépendant était de mesurer la prévalence de la toxicomanie chez les étudiants de l’université Mouloud-Mammeri et avoir une proportion de la consommation de la drogue selon les substances et en fonction des caractéristiques des personnes. Le travail a été réalisé par des médecins résidents en psychiatrie et en épidémiologie assistés par leurs chefs de service qui ont analysé ensuite 500 questionnaires sur les 1172 remplis par des étudiants.
Les premiers résultats ont révélé, en effet, que le taux de prévalence de la consommation de drogues est de 9%. 73,3% des consommateurs sont de sexe masculin tandis que la gent féminine représente 6,7%. La classe d’âge la plus touchée est celle située entre 19 et 21 ans avec un taux de prévalence de 58,3%, suivie de ceux âgés entre 22 et 24 ans avec 27,7%. Pour la plupart des consommateurs, 49%, la motivation personnelle est à l’origine de leur acte, tandis que l’effet du groupe a été retrouvé chez 15% et celui des amis chez 9 % de la population interrogée et évaluée.
source : kabylie-news.com

L'école de la différence organise des atelier autour du coaching et intelligence émotionnelle :
Au programme :
Samedi 14 septembre : gestion du temps
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La croisade contre les filles portant des jupes se poursuit à Alger. A Bab Hassen, dans la banlieue d’Alger, une école privée, l’école “Cipel”, a obligé ce mardi 02 mai une jeune élève âgée de 16 ans de changer sa robe parce qu’elle a été jugée “trop courte” par une responsable de cette école.
La jeune Anaïs a été contrainte par des surveillants de son école d’appeler sa mère pour qu’elle lui ramène de nouveaux habits afin de pouvoir poursuivre son examen blanc de B.E.M (brevet d’enseignement moyen). Introvertie et fragile, la jeune Anaïs a été bouleversée par ce traitement brutal que lui a réservé son école privée, nous apprend son oncle, Chemseddine joint cet après-midi par téléphone. “Appelles tes parents pour qu’ils te ramènent un jean” ont ordonné les surveillants de l’école privée pour laquelle la famille d’Anaïs paie des frais de scolarité de 600 mille Da par an, indique son oncle à Algérie-Focus.
“Nous payons tout cet argent pour que notre fille soit traitée ainsi. C’est scandaleux !”, s’est indigné notre interlocuteur d’après lequel Anaïs a été autorisée par sa mère à porter la robe incriminée. Des habits ordinaires qui n’ont rien de choquant ou d’immoral, insiste l’oncle en colère. “Nous allons saisir l’Académie d’Alger contre ces agissements inacceptables”.
Selon lui, sa nièce a été victime aussi d’un autre véritable harcèlement le 17 mai dernier. “La soeur de la directrice l’a faite sortir de la classe et lui a confisqué son pull jugée sexy ! Comme Anaïs devait passer ses examens de B.E.M, nous n’avons pas voulu faire tout un scandale pour ne pas perturber sa scolarité”, confie Chemseddine. Mais, aujourd’hui, la famille d’Anaïs ne veut plus se réfugier dans le silence. “Nous ne voulons plus que notre fille subisse des remarques désobligeantes sur ses tenues. Elle s’habille de façon très correcte. Cet harcèlement doit cesser”, s’écrie l’oncle d’Anaïs. Il est à souligner enfin que nous avons tenté de joindre l’administration de l’école privée “Cipel”. Un agent de surveillance a répondu à notre appel en nous indiquant qu’aucun “responsable ne se trouve en ce moment à l’école”.
source : algerie-focus.com
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