Environ un tiers du cholestérol de l’organisme provient de l’alimentation. Il est donc important de bien choisir ses aliments pour en limiter l’apport, mais sans se priver de sources alimentaires intéressantes. Et chercher à varier les aliments consommés reste le meilleur conseil !
Le beurre étant riche en LDL cholestérol (le mauvais) et en acides gras saturés, il convient d’en limiter la consommation. Elle reste acceptable jusqu’à 15 grammes par jour, soit deux tartines "légères".
Pour la cuisine, préférer l’huile de colza, en alternance avec l’huile d’olive. L’huile de tournesol est un peu trop riche en oméga-6.
Et les margarines "anticholestérol" ?
Plusieurs études montrent que certaines d’entre elles peuvent faire baisser le mauvais cholestérol mais sans mettre en évidence une réduction des maladies ou de la mortalité cardiovasculaires.
Pire, certains spécialistes avancent au contraire que, riches en phytostérols, ces margarines pourraient augmenter le risque de développer ces pathologies puisque ces substances sont connues pour cela (phytostérolémie). De plus, elles peuvent engendrer une diminution de certains antioxydants dans l’organisme.
Première conclusion, elles ne peuvent donc être proposées qu’aux personnes ayant une hypercholestérolémie, jamais en prévention primaire.
Par ailleurs, toutes les margarines n’ont pas la même composition, loin de là, et ont donc des qualités différentes. La dose quotidienne recommandée est de 20 grammes par jour.
La composition doit se rapprocher au maximum des recommandations :
- acides gras monoinsaturés : 17 %
- acides gras saturés : 10 %
- acides gras polyinsaturés, oméga-6 : 4 %
- acides gras polyinsaturés, oméga-3 : 1,6 %
- rapport oméga-3/oméga-6 inférieur à 5.
Il faut éviter les margarines hydrogénées.
En conséquence, il est conseillé de demander conseil à son médecin avant de les consommer de façon régulière, surtout en cas de prise de médicaments pour faire baisser le cholestérol. Elles doivent être évitées chez les enfants ou chez les femmes enceintes ou qui allaitent.
Donc, variez vos sources d’apport de matières grasses, diversifiez votre alimentation en consommant fruits et légumes et lisez bien les étiquettes.
Source photo : santé magazine

Il s’appelle Rabah Guestal. Sur les réseaux sociaux, on l’appelle communément “Moul El Kezoula”. Ce surnom, ce ressortissant algérien qui réside à Lille, au nord de la France, il le doit à une video internet et diffusée massivement sur les réseaux sociaux en Algérie. Une vidéo qui suscite une vive polémique depuis plusieurs jours.
Et pour cause ! Cette vidéo montre Rabah, muni d’un bâton “Kezoula”, en train de diriger une véritable expédition punitive contre les couples illégitimes qui viennent roucouler leurs romances sur la plage la Sirène, située dans la commune de Bordj El-Kiffan, anciennement Fort-de-l’Eau, à l’est d’Alger. Rabah et quelques autres jeunes de son quartier, appelé communément “La Station”, ont filmé leur chasse aux couples non-mariés et illégitimes. Dans la vidéo, Rabah prend son bâton et parcourt toute la plage en délogeant les couples les uns après les autres. Ils fouillent, avec ses compagnons, tous les rochers derrières lesquels se réfugient les jeunes amoureux et les débusquent pour les expulser de “notre houmtna”, à savoir notre quartier. “Ils commettent un crime puni par Dieu et s’adonnent à la prostitution”, s’écrie Rabah dans cette vidéo. Des propos très violents, des prêches extrémistes et une gestuelle volontairement guerrière, la vidéo de Rabah “moul El kezoula” réunit tous les ingrédients nécessaires pour lancer un appel à la violence.
La webopshère algérienne s’enflamme. La vidéo de cette chasse aux couples savamment orchestrée déclenche une véritable controverse. De nombreux algériens ont été choqués par la violence inouïe de cette action. Scandalisés, indignés, des commentateurs n’hésitent pas à parler d’une propagande djihadiste digne de Daech. Une “Daéchisation” de la société algérienne entreprises par certains idéologues qui s’acharnent contre les couples amoureux et la liberté qu’ils incarnent.
Cependant, interrogé par Algérie-Focus, Rabah Guestal réfute ses thèses et affirme ne pas comprendre l’onde de choc provoquée par le contenu de sa vidéo. “C’est du délire ! Je ne fais pas partie de Daech et je ne suis pas un islamiste. Je ne suis pas un terroriste. Je n’ai pas frappé ces couples. J’ai juste voulu les effrayer”, nous explique Rabah Guestal qui se défend d’avoir lancé un appel à la violence.
“J’ai uniquement voulu nettoyer mon quartier des voyous qui ramènent des prostituées sur notre plage. Je suis un émigré qui vit en France. Je suis un homme cultivé et civilisé. Mais, je n’accepte pas que l’on vienne tourner un film érotique sous la fenêtre de ma maison”, se justifie Rabah qui jure ne partager aucune idée de ces “terroristes de Daech”.
Selon notre interlocuteur, sa vidéo a été mal-comprise et victime des mauvaises interprétations. “J’aurais dû mieux expliquer les enjeux de notre action et communiquer d’une meilleure façon. J’étais très en colère lorsque j’ai constaté que notre plage était envahie par des réseaux de prostitution”, assure encore Rabah Guestal selon lequel il n’osera jamais violenter un couple innocent.
“Si des couples bien éduqués se rendent sur notre plage et ne s’adonnent pas à des ébats sexuels sous les regards de nos enfants, moi et les jeunes de notre quartier, nous allons, au contraire, les protéger”, promet Rabah.
“Je suis un ancien du FLN et j’ai voté Bouteflika parce que je souhaite la stabilité à mon pays. Je n’accepterais pas que des barbus viennent semer la fitna en Algérie”, fait savoir cet homme qui tente de nous convaincre qu’il n’entretient aucune relation avec des réseaux religieux désireux d’imposer aux Algériens une Police des mœurs.
Mais ces propos vont-ils convaincre ? Pas si sûr car dans sa vidéo, Rabah ne se montre guère aussi pédagogue avec les couples qu’ils pourchassent avec son bâton, lui reprochent de nombreux internautes algériens.
Quant aux services des sécurité, ni la DGSN, ni la Gendarmerie Nationale n’ont encore réagi face à cette violence diffusée et assumée sur Internet.
source article et photo : kabylie-algerie.com

Les amateurs de plantes vertes louent autant leur beauté (idéale pour égayer un intérieur) que leurs bienfaits, notamment leurs propriétés dépolluantes pour l’air ambiant. Toutefois, pour que ces jolis végétaux embellissent nos intérieurs longtemps, ils ont besoin d’être un minimum choyés. Sinon, ils peuvent rapidement dépérir ! Et contrairement au mythe, il n’est pas forcément nécessaire d’avoir la main verte pour garder ses plantes en vie. Bien souvent, des pratiques élémentaires suffisent amplement à les entretenir. Amis jardiniers, si vous voulez garder vos plantes d’intérieur en bonne santé, découvrez les erreurs fréquentes à éviter.
Erreur n°1 : Mettre ses plantes d’intérieur vers une source de chaleur
Qu’il s’agisse d’un radiateur ou d’une cheminée, la forte proximité avec une source de chaleur peut tuer une plante non rustique à vitesse grand V. Quant aux plantes tropicales, habituées aux fortes chaleurs, elles n’apprécient pas l’air sec causé par le radiateur. Vous devrez donc brumiser leur feuillage plus souvent pour conserver un taux d’hygrométrie suffisant. Pas très pratique ! Rappelons enfin que la chaleur favorise la prolifération des araignées rouges. Pour toutes ces raisons, choisissez un emplacement éloigné des radiateurs pour vos plantes d’intérieur.
Erreur n°2 : Pratiquer l’arrosage à l’eau froide
Les plantes n’apprécient pas beaucoup les chocs thermiques et les plus délicates pourraient donc rapidement dépérir. Utilisez donc une eau à température ambiante pour un arrosage réussi !
Erreur n°3 : Donner trop d’eau aux plantes d’intérieur (ou pas assez !)
Le trop est souvent l’ennemi du bien, surtout quand on se lance dans le jardinage. Aussi, gare aux eaux stagnantes dans la coupelle ou le cache-pot qui peuvent noyer les racines et asphyxier une plante verte. Avant de sortir l’arrosoir, vérifiez toujours l’état de la terre. Si elle est encore humide, c’est qu’il n’y a pas besoin d’arroser. Au contraire, si la surface du terreau est sèche, il est temps de lui apporter un peu d’eau. Pour un arrosage optimal, soignez par ailleurs également le drainage. Cela aide à l’évacuation de l’eau et à sa bonne répartition. Pour bien drainer la terre, ajoutez des billes d’argile ou de la perlite au fond du pot.
Erreur n°4 : Une exposition mal choisie pour les végétaux
La lumière est essentielle pour la photosynthèse. Toutefois, cela ne veut pas dire pour autant que vos plantes d’intérieur ont besoin de se dorer la pilule toute la journée sous les rayons du soleil. D’ailleurs, un soleil direct peut brûler leurs fleurs et leurs feuilles ! Il faut donc généralement éviter une exposition solaire directe.
Avant “d’adopter” une plante, n’hésitez pas à vérifier la luminosité dont elle a besoin. Plein soleil, mi-ombre, etc. En fonction de la lumière nécessaire, réfléchissez toujours à l’emplacement où vous pourrez les mettre avant de les acheter. Ainsi, vous ne serez jamais pris au dépourvu. Par exemple, pour les orchidées, une fenêtre lumineuse, mais voilée sera idéale.
Erreur n°5 : Arroser les plantes d’intérieur avec une eau calcaire ou chlorée
L’eau du robinet est certes pratique, mais elle n’est pas forcément idéale pour les plantes. Elle est en effet riche en chlore ainsi qu’en calcaire. Cela peut tuer les plantes acidophiles comme les azalées, mais aussi vos autres plantes fragiles. Pour plus de tranquillité d’esprit, préférez récolter l’eau de pluie. C’est gratuit et les plantes adorent ! Sinon, vous pouvez aussi utiliser de l’eau en bouteille. Dernière astuce : vous pouvez laisser reposer l’eau de l’arrosoir deux heures avant de l’utiliser quand elle est très chlorée.
Erreur n°6 : Ne jamais nettoyer les plantes d’intérieur
La poussière ne s’accumule pas que sur les bibelots et les étagères ! Or, sur les plantes, elle peut nuire à leur photosynthèse, et donc à leur état de santé. Heureusement, il existe plusieurs astuces pour dépoussiérer les plantes et en retirer la pollution. S’il ne fait pas trop froid, vous pouvez les mettre dehors pendant une pluie, ce qui va nettoyer les feuilles. Sinon, un petit tour sous la douche avec un jet doux aura le même effet. Enfin, vous pouvez aussi passer un chiffon microfibre imbibé de quelques gouttes de bière ou d’eau additionnée de bicarbonate de soude. Cela va nettoyer et faire briller ces belles feuilles vertes en un rien de temps !
Erreur n°7 : Les exposer à des courants d’air
Que ce soit dans l’entrée ou les zones de forts passages, il y a souvent beaucoup de courants d’air. Cela peut alors fragiliser les plantes qui risquent finalement de dépérir. C’est notamment très dangereux pour les plantes tropicales et les plantes les moins résistantes.
Erreur n°8 : Oublier le rempotage des plantes d’intérieur
Quand avez-vous rempoté vos plantes pour la dernière fois ? Si vous ne vous en souvenez pas (ou pire, si vous ne l’avez jamais fait), il est peut-être temps de vous y atteler. En général, on conseille en effet de le faire tous les ans pour une plante en pleine croissance, puis tous les deux ou trois ans en entretien. Si votre plante ne pousse plus ou très lentement ou encore si les racines commencent à sortir de la terre ou du fond du pot, c’est sûrement que votre végétal se sent à l’étroit. Le plus souvent, on rempote au début du printemps ou à la fin du printemps avec un pot d’une taille supérieure au précédent.
Erreur n°9 : Ne pas détecter les parasites et maladies à temps
Si malgré tous vos bons soins, votre plante est en mauvaise santé et ses feuilles commencent à jaunir, se recroqueviller, flétrir, décolorer ou afficher des taches, c’est généralement qu’il y a anguille sous roche ! Observez régulièrement vos plantes, notamment le dessous des feuilles pour pouvoir détecter les différents parasites et maladies qui pourraient les attaquer. Qu’il s’agisse de cochenilles, de thrips, de pucerons ou de tétranyques, il existe des remèdes naturels pour s’en débarrasser. Ainsi, nul besoin de produits chimiques ! C’est également la même chose pour les maladies des plantes.
Toutefois, il faut agir vite pour qu’il ne soit pas trop tard. Si vous tardez trop, aucun produit phytosanitaire ne pourra plus rien y faire et votre plante sera trop fragilisée pour survivre.

La fédération Algérienne de Voile organisera pour la 1ére fois : une compétition de voiliers Habitables, " La traversée"
programme de l'événement :
Vendredi 08 Septembre 2017 : portes ouvertes sur la voile au niveau de la plage et port de LA MADRAGUE afin de permettre aux familles algériennes de découvrir tous les supports ( bateaux) de la voile.
Samedi 09 Septembre 2017 :
* compétititon *
* animation ( sorties en mer au profit des familles)
Départ : La Madrague
Arrivée : ALGER PLAGE
soyez tous au rendez-vous : venez passer deux agréables journées
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.