Docteur M : l'apnée du sommeil ( ronflement chronique ) : une maladie méconnue en Algérie 10 Mai 2019 Nouveauté : Emission Radio de zeinelle magazine
Dr. Haouchine Mounia médecin spécialiste en pneumo-phtisiologie
Résumé de l'émission
Fatigue au réveil, maux de tête, trouble de la concentration ou encore somnolence pendant la journée, des symptômes que nous aurions tort de prendre à la légère ! et si c'était les conséquences de l'apnée du sommeil , pour mieux nous éclairer sur cette maladie encore méconnue en Algérie, suivez notre émission avec Dr Haouchine Mounia Membre de la société Algérienne de la médecine du sommeil.
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2ème Edition du Festival Culturel Arabo – Indien du 21 au 27 novembre 2014
Sous le Haut patronage de son Excellence, M. Abdelaziz Bouteflika, Président de la République, et sous l’égide du Ministère de la Culture, l’Agence Algérienne pour le Rayonnement Culturel organise la seconde édition du Festival Culturel Arabo – Indien, qui se tiendra du 20 au 27 novembre 2014 à Alger, Boumerdes, Tipaza, Tizi-Ouzou, Ain Defla, Médéa, Tlemcen et Annaba. Ce Festival est organisé en partenariat avec la Ligue Arabe.
Le Festival Culturel Arabo – Indien est un événement international destiné à faire découvrir et partager la riche culture des pays arabes et de l’Inde, à travers diverses activités et manifestations culturelles.
L’Algérie, pays hôte, accueillera l’Irak, Tunisie, Bahreïn, Maroc, Soudan, Palestine, Egypte, Mauritanie, Jordanie, Arabie Saoudite et l’Inde.
Au programme s’articulera autour des activités suivantes : projections de films avec des séances « Spéciales scolaires et enfants », musique, danse et chorégraphie, conférences et poésie, expositions d’artisanat d’art, habit traditionnel, calligraphie, et photographies.
En plus d’Alger, des activités seront organisées à Koléa (Wilaya de Tipaza), Boumerdes, Tizi Ouzou, Ain Defla, Médéa, Tlemcen et Annaba.
L’accès aux spectacles est gratuit.
Les lieux qui accueillent les différentes activités
Cinéma
Salle Zinet
Salles Cosmos (salle Alpha & salle Beta)
Musique, danse et chorégraphie
Salle El Mouggar
Palais de la Culture (auditorium)
Salle Ibn Zeydoun
Maison de cultures de Koléa, Médéa, Ain Defla, Boumerdes et Tizi Ouzou
Palais de culture de Tlemcen
Théâtre d’Annaba
Expositions
Palais de la Culture (Halls d’exposition 1 et 2)
Conférences et poésie
Bibliothèque Nationale du Hamma
Il est des situations où l’homme reste sans voix devant certains comportements humains. L’histoire qui va suivre en est une. Elle est le récit de l’insoutenable calvaire que subit en ce moment même à Béjaïa une personne séquestrée depuis 31 ans par sa propre famille.
Pieds et mains ligotés par des chaînes, il se trouve dans une cave sombre spécialement conçue pour le priver de toute liberté, de tous mouvements par des geôliers qui ne sont autres que des membres de sa fratrie. Prenant son courage à deux mains, un cousin de la victime a décidé de rompre le silence en alertant la presse dans l’espoir que le détenu puisse recouvrer une vie humaine.
Les faits qu’il relate dépassent l’imagination. L’homme qui nous parle, Z. A., approche la cinquantaine. Sa gestuelle, les termes qu’il utilise et les moments d’absence durant lesquels il tente de se remémorer certains détails reflètent un traumatisme généré par cette situation terrifiante. Lui-même se dit avoir été victime d’un climat psychologique incroyable induit par le comportement d’un grand-père très spécial. Tout est parti de la folie de cet homme. «Mon grand-père était dominant, autoritaire. A la maison, personne ne pouvait le contredire, y compris mon père et celui de mon cousin (la victime). Il fallait impérativement obéir à tous ses ordres sans quoi, sa colère impitoyable s’abattait sur nous. A cette époque, mon cousin venait juste d’avoir 20 ans. C’était en 1985. Il avait alors été appelé au service national, mais il avait été très vite libéré pour un petit problème psychiatrique sans gravité».
C’est aussi l’époque à laquelle ce cousin découvre le tabac à chiquer. Il en est accro mais n’a pas les moyens d’en acheter et en quémande quotidiennement aux passants. Un jour, il tente carrément de dérober une boîte à chique d’une épicerie de sa ville, mais le propriétaire s’en aperçoit et réagit en le réprimandant. Le jeune s’emporte et brise la vitrine du magasin à coups de pierres. «Mes parents m’ont raconté que l’épicier s’est alors rendu chez mon grand-père pour se plaindre du fait». Le grand-père entre dans une grande colère. Il monte un plan machiavélique. C’est le début du calvaire de Z. A. Celui-ci se trouve dans une partie du jardin lorsqu’il voit venir vers lui son grand-père. Il est dans une fureur indescriptible. A l’aide d’une corde, il ligote son petit-fils à un arbre et le laisse ainsi, privé de nourriture durant plusieurs jours. Mais le temps qui passe n’apaise pas sa colère. Il prend la décision de l’emprisonner dans l’écurie familiale, située à une dizaine de kilomètres de la maison. La victime est enchaînée, abandonnée à son propre sort. Nul n’a le droit de lui rendre visite. La décision vaut également pour les parents et la grand-mère. «Ces années au service du grand-père diabolique sont difficiles à résumer, à raconter. Pour lui, seul compte son monde mental. Les autres sont des instruments. Il nous a enfermés dans ce climat psychologique pendant de longues années jusqu’à sa mort. Sa démence en a contaminé plus d’un, elle a fait des ravages».
Le grand-père finit par décéder, mais la victime n’en est pas pour autant libérée. Sa sœur, plus âgée d’une dizaine d’années, prend le relais. «Elle est d’une extrême méchanceté, elle est restée célibataire. Cette femme est dénuée de tous sentiments. Elle est là à surveiller tout le monde et personne n’ose franchir le seuil de sa demeure. A présent, il faut en finir et tout faire pour libérer mon cousin», fond en larmes notre interlocuteur. «Actuellement, il est malade, un membre de la famille a réussi à l’entrevoir après avoir escaladé le mur de la forteresse. C’était il y a cinq mois, il était souffrant, il avait été pris d’une crise épileptique, tout le monde dans son entourage pensait qu’il allait mourir. Même sa sœur, la geôlière était prise de panique. Pour la première fois, elle a accepté de le détacher. L’opération était difficile. Puis, elle lui a rasé la tête complètement et n’importe comment puis elle l’a nettoyé avant d’appeler les secours. En 30 ans, c’est la seule fois où il sortait de sa cave. Son frère cadet ne l’a pas quitté jusqu’à son retour en prison. Les pompiers qui étaient venus ignoraient complètement ce qui se passait», ajoute le cousin témoin. Le drame est que tout le voisinage sait par contre de quoi il en retourne. Ici, tous savent et se taisent. Silence compromettant, complice, incompréhensible…
Atterré par cette situation, le cousin de la victime décide un beau jour de dévoiler l’affaire aux autorités. «Il y a huit ans j’ai été au commissariat du 2e arrondissement déposer une plainte et signaler ce drame, l’officier m’a alors orienté vers un autre policier qui a pris note et mon affiliation sur une simple feuille pour ensuite ne rien faire. Tout le monde a cru qu’il s’agissait d’une pure farce».
Alertée à son tour, la Ligue des droits de l’Homme, bureau de Béjaïa, a réagi à travers son vice-président. Saïd Salhi estime que cette affaire est «un cas d’une extrême gravité» et interpelle les instances judiciaires, toutes les âmes sensibles à agir rapidement pour libérer l’homme en question, «il s’agit d’une affaire de dignité humaine. Si ce monsieur est malade, sa place n’est pas dans un cachot mais plutôt dans un hôpital, je suis vraiment ému par ce drame humanitaire».
A l’heure actuelle, la victime est toujours enchaînée dans cette cave sombre. Mais, aujourd’hui tout le monde sait. Le soulagement est peut-être proche pour Z. A
kabylie-news.com
Vos papilles seront en fête en dégustant nos menus d’exceptions spécialement concoctés pour vous ravir.
Vous serez reçu dans une ambiance casino chic avec cocktail de bienvenue et amuses bouche tout en raffinement, s’en suivra le diner ou nous vous proposons deux menus au choix aussi divin l’un que l’autre a 7900Da/pers.
MENU :
Entrée :
Tranche de foie gras et sa figue rôtie au miel
Plat :
Pave de filet sous foie gras rôti et sa poêlée de cèpes accompagné de pommes suédoises à l’huile de truffes
Dessert :
Buche du 31
Café gourmand du 31
MENU JOKER :
Entrée :
Déclinaison de saumon aux deux saveurs
Plat :
Ballotine de cailles farce fine réduction au miel et cèpes
Dessert :
Buche du 31
Café gourmand du 31
Vous dégusterez vos plats au son de notre musicien et fêterez les douze coups de minuit avec notre DJ qui mettra le feu !
Toute l’équipe de l’EMPIRE vous souhaite une merveilleuse année 2016 !
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Algeria 2.0 est un événement placé sous le Haut Patronage du Ministère de la Poste et des Technologies de l’Information et de la Communication et en partenariat officiel avec l’Agence Nationale de Promotion et Développement des Parcs Technologiques. prévu du 05 au 09 Décembre 2017 au Cyberparc de Sidi Abdellah d'Alger.
Cet événement est considéré comme le « Carrefour International des Professionnels des TIC et du WEB 2.0 » et s’inscrit dans la stratégie e-Algérie dont l’objectif majeur est d’assurer une mutation de notre société vers un avenir numérique.
En effet, les technologies de l’information et de la communication représentent un puissant levier de développement économique et social et créent des opportunités nouvelles de développement.
Le recours et le renforcement de leur usage engendrent une transformation importante des modes d’organisation et de travail, augmentent la performance et la compétitivité des entreprises en leur offrant des opportunités par un marché plus vaste et dynamique et favorisent l’amélioration des relations avec les clients et partenaires.
Après le succès des cinq éditions de 2012, 2013, 2014,2015 et 2016 d’ALGERIA 2.0, XMEDIA & EVENT organisateurs de l’évènement, remettent ce challenge à l’ordre du jour avec un contenu plus riche à travers des conférences, des formations, des concours et des espaces d’échanges et d’expositions.
Cette édition, se veut être une opportunité de mettre en relation les professionnels des TIC et du web de toute l’Afrique et les pays émergent avec les opérateurs économiques avec une caractéristique qui est d'être africaine, car la portée d’Algeria 2.0 n’est plus à prouver sur l’impact positif de l'écosystème qu’elle crée autours de ses activités non seulement à l'échelle africaine, mais aussi à l'échelle mondial avec la participation de speakers et spécialistes de renommé mondiale et de tous les continents.
En effet, cette édition sera dédiée aux compétences Africaines et aux couleurs africaines ainsi que les pays émergent.
Berceau de l'humanité, l'Afrique sera dans un futur proche le berceau des TIC et du Web, avec cette édition d'Algeria 2.0 2017, qui rassemblera et réunira ; des invités Africains de prestige, des experts nationaux et internationaux d’Afrique et d'autres continents avec les compétences et les success-story des pays émergent, ainsi que des participants passionnés et ambitieux ; autour de sujets d’actualité, relevant des nouvelles technologies de l’information et de la communication, afin de mettre en avant maitrise et savoir-faire, bâtir des partenariats durables et créer des opportunités d’investissement et de networking.
Le village Wizran (commune d’Aït R’zine, à Béjaïa) a aboli “imensi l’henni” (dîner du henné), estimant qu’avec l’abolition de “ce repas futile et qui n’appartient pas à nos coutumes ancestrales, le jeune marié pourra économiser jusqu’à 200 000 DA sur le coût de la fête de mariage”.
Dans un communiqué publié par le président du comité du village de Wizran, Hmimi O’Vrahem, il est précisé que cette ancienne pratique contraignait souvent les jeunes hommes à s’endetter pour se marier et/ou à rester célibataires à cause des dépenses qu’elle génère.
En revanche, ce village a décidé de renforcer l’aide financière au jeune marié pour faire face à ses dépenses. À travers cette abolition, le village voulait également épargner aux femmes les préparatifs et les pressions qu’elles subissaient à chaque cérémonie.
Aussi, il a été décidé de supprimer les gâteaux orientaux sucrés et entassés ridiculement dans des boîtes décorées à l’orientale, dont le coût avoisinait 300 000 DA.
source : Journal liberté
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