
Il faut savoir qu’il existe deux types de diabète.
Le diabète de type 1, résultant d’une anomalie de sécrétion d’insuline par le pancréas touche essentiellement des sujets jeunes et le diabète de type 1 touche environ 10% des diabétiques.
Le diabète de type 2 bien plus fréquent, est dû à une mauvaise utilisation de l’insuline par les cellules de l’organisme.
Il représente 90 % des diabètes.
Le traitement du diabète (type 1 ou 2) conjugue plusieurs facteurs, bien sûr l’alimentation, l’exercice physique et divers traitements médicaux : médicaments par voie orale ou injectable (insuline).
Le médecin choisira et adaptera le traitement en fonction du patient et à l’évolution de la maladie.
Il n’y a pas de traitement “unique” contre le diabète mais des traitements conjugués.
Afin de limiter les effets secondaires du diabète et de choisir les bonnes mesures pour lutter contre le diabète, les diabétiques doivent constamment contrôler leur glycémie afin de la garder au plus près de chiffres normaux.
Ainsi, la glycémie à jeun doit se situer aux alentours entre 0,70 gramme et 1,10 gramme et la glycémie post prandiale, c’est-à-dire 2 heures après le repas la glycémie doit être inférieure à 1,40 gramme.
Or, une récente étude effectuée par les chercheurs du Weill Cornell Medical College (Etats-Unis) et publiée dans la revue médicale Diabetes Care de l’American Diabetes Association démontre que les diabétiques auraient intérêt à consommer leurs glucides 15 minutes après la fin de leur repas, donc nettement après l’ingestion des protéines et des lipides.
En effet, il semble que le moment où les diabétiques consomment les glucides ait finalement une répercution sur la glycémie et sur le taux d’insuline. Il serait préférable qu’ils ingèrent ces glucides 15 minutes après la fin du repas.
L’étude a été réalisée en donnant un repas à des patients atteints de diabète de type 2 mais les participants ont dû consommer un repas similaire mais dans un ordre différent.
Dans un premier temps, ils ont consommé 628 calories composé de 55 grammes de protéines, 16 grammes de lipides et 68 grammes de glucides mangés avant le début du repas.
Dans un second temps, ils ont mangé la même chose mais les 68 grammes de glucides ont été pris 15 minutes après la fin du repas.
À chaque fois, la glycémie a été mesurée avant le repas puis 30 minutes, une heure et 2 heures après le repas.
Cette étude a montré que la glycémie mesurée 2 heures après le repas est moins élevée quand les glucides sont consommés après les protéines et les lipides.
Alpana Shukla endocrinologue au Weill Cornell Medical College et co-auteur de l’étude a déclaré :
«Le repas pris dans cet ordre a permis de réduire la moyenne de la glycémie post-prandiale mesurée 30 minutes après le repas de 28,6%, de 36,7% après une heure et de 16,8% 2 heures après le repas».
Les taux d’insuline ont aussi diminué lorsqu’ils ont été mesurés 1 heure et 2 heures après le repas.
Cette découverte est importante pour les millions de diabétiques, de plus en plus nombreux, car cela va permettre de mieux gérer la glycémie après chaque repas.
Astuce cuisson du jour : pour un poulet tendre et moelleux
Dans un bol, mettez les Petits Suisses avec des herbes hachées, du sel, du poivre et un filet d'huile d'olive. Puis mélangez.
Incisez la volaille, et farcissez-la de la farce. Gardez deux cuillères à soupe de farce de côté. Refermez-la.
Badigeonnez la volaille du reste de farce, et enfournez !
Source : marmiton.org

Le ministère de l’Education nationale a publié une note sur sa page facebook officielle, dans laquelle il dévoile un nouveau calendrier des examens pour le troisième trimestre de l’année scolaire en cours, et ce, pour les trois paliers de l'éducation.
Ainsi, concernant le palier du niveau primaire, il y est noté que les épreuves d’examens auront lieu à partir du dimanche 19 mai 2019 pour les élèves des 1ère, 2ème, 3ème et 4ème année. Pour les élèves de 5ème année, les examens sont désormais programmés pour les 14, 15 et 16 mai.
Pour ce qui concerne le niveau du moyen (collège), les épreuves sont prévues à partir du 14 mai pour les élèves de 1ère, 2ème et 3ème année, et les 14, 15 et 16 mai pour les élèves de la 4ème année.
Les lycéens, pour leur, part seront examinés à partir du 19 mai pour les 1ère et 2ème années, et les terminales du 12 au 16 mai en cours.
S’agissant des examens de rattrapage, ils auront lieu durant les deux jours des 23 et 24 juin prochain, et ce, pour tous les 2ème, 3ème et 4ème année du cycle primaire, pour les 1ère, 2ème et 3ème année du cycle moyen, et les 1ère et 2ème années du cycle secondaire.
Le communiqué ajoute que les tranches d’horaires ainsi permises seront exploitées dans les corrections collectives des examens, et la préparation aux examens nationaux et ceux de rattrapage, les révisions et les cours de soutien.


Avec sa peau délicate et fine, votre bébé aiguise l’appétit des «vampires estivaux», notamment celui des moustiques qui pullulent en période de grandes chaleurs. Outre les démangeaisons, points rouges et allergies, les piqûres peuvent s’avérer dangereuses pour la santé des nouveau-nés.
Découvrez les pièges à éviter pour assurer la protection de votre enfant :
1-Les bras nus
Pensez manches longues ! Même si la plupart des piqûres de moustiques traversent le tissu des vêtements, privilégiez les bodys ou tuniques à manches longues et légères. Il existe de nombreux tops et ensembles aux matières fluides qui protègent de la chaleur.
Autre précaution à prendre : bannir les couleurs vives et foncées, véritable excitant pour les moustiques.
2-Les moustiquaires imprégnées
La protection indispensable contre ces insectes reste la moustiquaire de lit ou de berceau pour les enfants entre 6 et 12 mois. Mais pas n’importe laquelle. L’idéal est d’opter pour un produit naturel sans répulsif. Les produits chimiques peuvent être nocifs et provoquer des allergies ou réactions toxiques en cas de contact avec la peau de l’enfant et par inhalation. Les produits répulsifs ne doivent pas être utilisés pour les enfants de moins de 3 mois, voire 6 mois.
A savoir : les répulsifs cutanés – privilégier le DEET à faible concentration (10%) ne sont conseillés pour les bébés à partir de 6 mois et qu’en cas de risque élevé de maladies graves à transmission vectorielle.
3-Les huiles essentielles
Reconnues pour être des répulsifs compétents, la citronnelle, la menthe poivrée, et autres huiles essentielles ne sont pourtant pas conseillées sur les bébés. Très puissantes, ces anti-moustiques ne doivent pas être mis en contact avec la peau du nouveau-né.
L’astuce serait de badigeonner un tissu de ce produit et de le déposer près des fenêtres afin de repousser les insectes indésirables.
4-Les insecticides d’ambiance
Tout comme les huiles essentielles, les vaporisateurs d’ambiance sont à prendre avec précaution. Leur utilité étant mal évaluée, leur durée d’action et les volumes de produits diffusés dans les pièces restent inconnus. Une exposition à long terme pour le bébé peut comporter des risques, notamment de cancers car ils contiennent des produits chimiques sur lesquels le doute reste de vigueur.
Source : Société de Médecine de Voyage-Protection personnelle antivectorielle
crédit photo : enfant.com
Des rayons à perte de vue, des promesses toutes plus alléchantes les unes que les autres, des prix qui vont du simple au double… choisir le meilleur dentifrice est compliqué et peut vite vous faire perdre votre sourire ! Voici nos conseils :
Vous pouvez commencer par demander conseil à votre dentiste. Il est la personne qui connaît le mieux vos problèmes dentaires si vous en avez, et est donc le mieux placé pour vous conseiller un produit plutôt qu’un autre. Mais en général, il ne donne pas de marques mais va plutôt vous dire de prendre un tube anti-caries, pour gencives sensibles etc.
Si vous avez, par exemple, tendance à avoir des caries, optez pour un produit qui soit anti-caries et enrichi en fluor. Celui-ci va protéger vos dents des bactéries et donc des caries. Prenez-en un qui possède un taux de fluor compris entre 1 200 et 1250 ppm minimum.
Vos gencives saignent souvent pendant le brossage ? Prenez un dentifrice spécial gencives sensibles. Il évitera de les agresser davantage. Si vous ne constatez pas d’effet positif, nous vous conseillons de demander des conseils à votre dentiste. Il pourra vous en conseiller un spécifique avec des composés anti-inflammatoires et des actifs astringents.
Le prix est également un critère à prendre en compte dans un tel choix. Il est très variable d’une marque à l’autre. Internet vous permet d’en trouver à des prix très avantageux et c’est également le cas pour des marques très connues comme Colgate ou encore Oral B.
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.