
Vous avez certainement remarqué les longues files d’attentes dans les stations-services. Vous avez même souffert d’une longue attente pour faire le plein ! Vous pensez, comme la plupart des algérois, qu’il s’agit d’une pénurie, comme la presse en a fait état ces derniers jours pour les régions de l’ouest du pays ?
Vous avez tort, selon l’entreprise Naftal, même si vous avez attendu longtemps et pesté, comme de coutume, sur la bizarrerie d’un pays qui a du pétrole et qui s’offre des pénuries régulière.
Les responsables de Naftal sont catégoriques: il n’y a pas de pénurie. Ces « chaines », ces files d’attente, ces crises de nerfs observées au niveau des stations d’essences ne sont qu’un simple « effet de la rumeur ».
Les stations de service d’Alger et des wilayas avoisinantes ne connaissent aucune pénurie de carburants, a soutenu ce dimanche 12 avril dans une déclaration à l’agence APS, le P-dg de Naftal, Saïd Akretche .
Selon lui, les longues files d’attente des automobilistes devant ces stations sont nées à la suite d’une rupture temporaire de carburants à Blida que la rumeur a démesurément amplifiée. De fait, une course aux stations d’essence a été observée dans l’ensemble de la région d’Alger.
« Rien ne justifie la crainte des automobilistes à se précipiter vers les stations. Le carburant est disponible suffisamment et le système de distribution fonctionne correctement », affirme-t-il.
Face à ces files d’attente de véhicules et pour répondre à cette brusque hausse de la demande, Naftal a dû doubler le volume des carburants destinés à ces stations envahies par les automobilistes. Ainsi, 7 millions de litres de carburants ont été distribués samedi dernier au niveau des stations de la capitale, alors que la moyenne habituelle est de 3,5 millions de litres par jour.
« Les automobilistes viennent et font le plein. C’est la preuve qu’il n’y a aucun manque de carburants », soutient M. Akretche.
Néanmoins, ajoute-t-il, les petites stations, dotées d’une faible capacité de stockage, se vident rapidement. Ce qui a encouragé, selon le même responsable, la propagation de la rumeur de pénurie.
« Les approvisionnements se font normalement, la production au niveau des raffineries fonctionne correctement, le mouvement de transport par camions, bateaux, pipelines et trains est normal. Le personnel est mobilisé. Il n’y a, donc, pas lieu de craindre de ne pas trouver de carburant », assure-t-il.
Selon le premier responsable de Naftal, le phénomène d’afflux vers les stations est dû plutôt à ces rumeurs circulant sur une éventuelle pénurie suite à une rupture temporaire constatée, jeudi dernier, au niveau des stations de Blida et de l’Ouest d’Alger.
Les stations de ces zones ont mis du temps pour se réapprovisionner, déclenchant, ainsi, cette rumeurs de pénurie, explique M. Akretche qui précise, toutefois, que la distribution des produits pétroliers est, parfois, soumise à des aléas causant des retards d’approvisionnement pouvant durer jusqu’à une demi-journée.
« Aucun système ne peut fonctionner de manière parfaite. Il peut arriver que des problèmes surviennent au niveau de l’exploitation, des ports, des pipelines ou des routes. Mais dans ces cas, il ne s’agit pas de pénurie ».
Filiale à 100% du groupe Sonatrach, Naftal a pour mission principale de distribuer et commercialiser des produits pétroliers et dérivés sur le marché national, rappelle-t-on.
Les automobilistes – et les spécialistes – observent que la « pénurie » n’est pas depuis longtemps une vue de l’esprit. « C’est une réalité structurelle, Naftal n’arrive pas à suivre la demande, elle fonctionne à flux tendu, il suffit d’un petit incident pour que le problème s’amplifie ». La « rumeur », observe les spécialistes, n’est pas, dans le cas d’espèce, « sans fondement ».
L’Algérie produit près de 12 millions de tonnes de produits pétroliers finis alors que la demande s’élève à 13,5 millions annuellement, soit un déficit de 1,5 million compensé par l’importation.
L’augmentation de la demande est, essentiellement, engendrée par les exigences du développement économique et par la croissance continue du parc automobile en Algérie.
Pour faire face au déficit des carburants, Sonatrach prévoit l’augmentation à hauteur de 30% des capacités des raffineries en activité (Skikda, Alger et Arzew), de la reconstruction de celle de Hassi Messaoud et de la création de trois nouvelles raffineries (Biskra, Ghardaïa et Tiaret) dotées d’une capacité de 5 millions de tonnes chacune et dont la mise en service est prévue entre 2018 et 2019.
source : huffpostmaghreb

A partir de demain et ce jusqu’au 1er Novembre, l’Hôtel Hyatt Regency Algiers Airport aura le plaisir de vous faire découvrir des produits 100% algériens représentés par #HandmadeArt qui s’inscrit dans une démarche écoresponsable, écocitoyenne et met en avant le savoir-faire de nombreux artisans qui constituent le patrimoine Algérien.
A cette occasion, profitez de notre offre spécial Mawlid Enabawi Charif.
RDV du 29 Octobre au 1er Novembre.
Adresse : ’Hôtel Hyatt Regency Algiers Airport ( devant Aéroport international Houari Boumediene )

Dans le cadre de l'ouverture de notre terrain multisport au FAYET CLUB , nous sommes heureux de vous convier à l'inauguration officielle le 04 Novembre 2016 à partir de 11H00 .
Accès gratuit au terrain multisport avec un PIQUE NIQUE Vendredi et Samedi 05 Novembre 2016
Accès à partir de 11H00 jusqu'à 18h00
500 DA par voiture
600 DA Le plat (Découvrez nos repas et nos boissons chez halimo)
Au programme :
Musique et détente
Tour de poney
Trampoline
Contactez le FAYET CLUB pour réservez
TEL : 0770912338/0542778057

“Quand un dépressif lève la tête, c’est pour chercher des nuages même quand le ciel est tout bleu. Son horizon est toujours sombre parce qu’il est en quête perpétuelle de tout ce qui pourrait justifier son état. C’est en gros ce que m’a expliqué le Dr Smaïl Meziani lors de notre troisième rencontre”. C’est avec ces mots que le journaliste algérien établi à Nancy en France, Saïd Labidi nous parle du docteur Smaïl Meziani, considéré en ce moment parmi les meilleurs spécialistes dans le monde des antioxydants, à savoir des molécules qui diminuent ou empêche l’oxydation d’autres substances chimiques. L’utilisation des antioxydants en pharmacologie est beaucoup étudiée pour traiter notamment les accidents vasculaires cérébraux et les maladies neurodégénératives.
A 32 ans, le jeune scientifique algérien brille d’ores et déjà dans ce domaine de recherche très complexe. Smaïl Meziani a percé dans les milieux scientifiques les plus prestigieux en France. Diplômé de l’université de Bejaïa, il est parti poursuivre ses études universitaires en France en intégrant un Master biotechnologie “sans bénéficier du moindre piston, ni de la moindre bourse et sans le moindre kopek. Mais riche d’un optimisme contagieux, habité par une foi profonde et animé d’une volonté de fer”, confie notre confrère Saïd Labidi lequel a consacré un portrait très touchant à Smaïl Meziani. Un portrait qui sera prochainement diffusé par ElDjazaïr Mag, le nouveau média qui s’intéressera de près à l’actualité de la diaspora algérienne.
Selon Saïd Labidi, qui travaille avec le quotidien régional français L’Est Républicain, “Smaïl Meziani, c’est un peu le Zinedine Zidane des laboratoires”. Et pour cause, le jeune scientifique algérien, ignoré dans son pays natal, a créé l’Institut européen des anti-oxydants, une start-up hébergée dans les murs de l’ENSAIA (Ecole nationale supérieure d’agronomie et des industries alimentaires) à Nancy, à l’est de la France. Il travaille actuellement sur une nouvelle solution qui permettra d’établir “des bilans de stress oxydant depuis les cabinets médicaux grâce à des boîtiers connectés à une base de données”.
algerie-focus.com

Nabila est prof d’anglais au CEM, 5ans auparavant cette universitaire de 32ans a vécu un vrai cauchemar, dégradation de santé, rupture difficile, les malheurs se sont suivis dans sa vie. Heureusement que sa collègue l’a mise sur la voie d’un raqi (musulman exorciste de djinn), «un trentenaire du sud qui a sauvé des dizaines de gens des sorcelleries et malédictions» nous révèle avec une grande conviction avant de rajouter «C’est grâce à lui que ma vie s’est arrangé».
Pourtant la jeune femme toujours célibataire, a raté son concours de travaille les trois fois qu’elle l’a passée, mais lui, le jeune raki qui occupait une chambre à la mosquée de Zemouri a acheté un appartement à Boumerdes il y a quelques mois. Toujours imam dans la mosquée de cette petite ville il continue à aider des femmes comme Nabila.
Rafik, le jeune homme de 25ans dont le commerce est très fleurissant jure de ne plus faire de Ruqia chez autrui, après s’être accroché avec un raqi qui a exigé 10000 dinars pour le délivrer d’une ancienne malédiction, «plus la malédiction est ancienne plus elle est difficile à guérir» lui a expliqué le raki. «Je suis musulman je sais lire le coran et les prières je la ferai chez moi chaque fois que je ne me sens pas bien, parfois j’ai des céphalées horribles qui ne répondent a aucun traitement, même les médecins m’ont conseillé un raqi». Un avis que son ami Nassim ne partage pas, «seul un bon raqi saura te délivrer des malheurs de la mauvaise œil, j’ai fallait mourir en 2010, si ce n’est Sadek le meilleurs raki du quartier ».
Ce que Nassim avait en 2010 était un abcès rénal, délaissé après une intervention chirurgical il devait suivre un traitement à long terme. Sadek lui a donné du miel et de l’huile d’olive bénis, il ne peut plus s’en passé, même son asthme a disparu avec. De l’huile qu’il achète a 1600dinars le litre, cependant le litre du miel lui coûte 6000 Dinars voir le double du prix de chaque produit..
Les histoires semblables se comptent par des milliers dans la vie des algériens qui sont tous convaincus que les malédictions et la sorcelleries sont origine de tous leurs malheurs, même quand la médecine moderne affirme une maladie qui nécessite un traitement bien spécifié, de ces pensées s’enrichissent des dizaines de gens qui ont le don de nourrir la phobie de ces jeunes qui n’ont plus de raisonnements rationnels a leurs problèmes, pour eux tout est devenus diabolique, leurs échecs ne sont que le résultat des démons de la sorcelleries et de mauvaise œil et le raqi demeure leur seul refuge.
source : kabylie-news.com
17 Janvier 2017 à 22:36:01