Exposition - Patrimoine de Tlemcen à l’ère du numérique - à Bab el oued 25 Juin 2019 Art § Culture § Artisanat
Tlemcen plus que millénaire au cours de sa longue histoire du Maghreb. Pomaria l’antique Tlemcen. Agadir début de la conquête musulmane.
Tagrart sur les traces des almoravides et les almohades et Tlemcen capitale du royaume des Ziyyanides ainsi que Mansourah, un nouveau foyer urbain sous les mérinides, une ville qui a toujours suscité un intérêt certain.
L’exposition « Patrimoine de Tlemcen à l’ère du numérique ou تراث تلمسان في عصر الرقمنة », dévoile un reportage photos des sites et monuments historiques emblématiques de Tlemcen et sa région.
Du 20 juin au 20 juillet 2019.
Palais des Raïs, 23 boulevard Amara rachid. Bab el oued, Alger.
Pour contacter le CAREX : 043 36 58 01
ou carextlemcen@gmail.com
Pour le Palais des Raïs appeler le : 021 43 96 44
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Projection du film de Luc besson "Malavita" à l'Institut français d'Alger :
mercredi 03 décembre de 15h00 à 18h30 à l'Institut français d'Alger
Résumé :
Fred Blake alias Giovanni Manzoni, repenti de la mafia new-yorkaise sous protection du FBI, s’installe avec sa famille dans un petit village de Normandie.
Malgré d’incontestables efforts d’intégration, les bonnes vieilles habitudes vont vite reprendre le dessus quand il s’agira de régler les petits soucis du quotidien…
Coup d’envoi de la 2e édition, hier, à l’hôtel El-Aurassi
Fikra : une certaine idée de communion intellectuelle
Par : journal liberté
Philosophe-penseur, chef d’entreprise, ethnologue, physicien, journaliste et informaticien se sont succédé à la tribune pour partager une experience et une vision de vie optimiste
“C’est une experience pour créer du commun. Ceci place Fikra dans un processus pragmatique qui évoluera avec le temps”, dira Tewfik Lerari, responsable du groupe Allégorie, à l’initiative de l’événement. Aux côtés de son associé Marhoum Rougab, pour donner le coup de starter, Lerari reviendra sur la pertinence de partager avec beaucoup de générosité les idées et les expériences à même de faire avancer la société. “En effet, l’activité économique requiert davantage de valeur ajoutée en termes de connaissance. Les systèmes du renouveau scientifique et la création au niveau technologique se présentent, désormais, comme étant la base fondamentale et indispensable pour l’excellence et le développement”, a déclaré, pour sa part, Mohamed Benmeradi, ministre du Travail, de l’Emploi et de la Sécurité sociale, venu représenter Abdelmalek Sellal, Premier ministre, qui a parrainé l’événement. À ce titre, le ministre n’a pas manqué de rappeler le programme du gouvernement (2010-2014) “à lancer des programmes de recherche pour le développement et mettre en place des dispositifs d’incitation pour faire adhérer le maximum d’entreprises économiques à la recherche”.
Il faut faire de la route pour trouver sa voie, et Xavier Van Der Stappen n’a pas eu de mal à trouver le chemin de l’Algérie. Ethnologue et président de l’Association culture et communication de son état, il a vanté les mérites de la diversité ethnique qui peut exister dans un seul et même pays. Celui qui compte à son actif une grande experience dans l’humanitaire poursuit ses péripéties en reliant Dakar à Bruxelles dans un véhicule électrique qu’il a conçu lui-même. Le meilleur moyen de faire passer un message d’optimisme prônant une symbiose entre l’homme et la nature en abordant les enjeux de demain et des nouvelles technologies moins impactantes. Suivra alors Slim Othmani, président du conseil d’administration de NCA-Rouiba, pour partager “ce rêve” d’une Algérie “en phase avec nos aspirations”. Connu pour son engagement dans l’amélioration de l’environnement entrepreneurial, Slim Othmani insiste sur l’engagement dans d’autres initiatives citoyennes. Il abordera, alors, la responsabilité sociale, et appelle à ne pas confondre “Optimisme, naïveté et candeur” en soulignant la nécessité de s’inscrire dans un rêve collectif.
“Le rêve est comme une opinion. Il faut le porter et se battre pour le rendre réel”, faisant allusion, sans nul doute, à toutes les entraves bureaucratiques dans le processus d’un projet qui font fléchir, parfois, les plus motivés. Mustapha Cherif, quant à lui, en sa qualité de penseur algérien, philosophe, chercheur en sciences humaines, trouvera les mots, comme à son habitude, pour nous rappeler que “nous sommes responsables de notre avenir et qu’il n’existe pas d’autres alternatives que celle de surmonter les épreuves de l’existence”. L’assistance a eu droit, par ailleurs, à l’intervention de Pierre Coulet, physicien et chercheur au CNRS, et aussi le créateur de l’institut Alhazem dédié à la culture scientifique, sans omettre de citer le passage du sultan Sooud Al-Qassemi, journaliste et fondateur de la fondation Barjeel Art. D’autres personnalités ont également pris part à l’évènement qui a été clôturé par l’apparition d’un invité-surprise, en la personne de Cheb Khaled, et quoi de plus optimiste dans la vie que le sourire, voire le rire du king du raï.
Cinq start-up coachées par Djezzy à l’honneur
Pour sa part, Lamia Rouaz, directrice de marketing et communication au niveau de l’opérateur Djezzy, a présenté la nouvelle vague que l’opérateur va accompagner pour mûrir et mener à terme leurs projets. “Notre initiative dépasse le volet financier”, fera-t-elle remarquer pour dire que le capital expérience est essentiel. Tour à tour, les futurs managers se sont succédé à la tribune en commençant par Eureka 3D spécialisée dans le développement d’application 3D pour le secteur du bâtiment. Il est question aussi d’un projet de création d’un compteur digital. Baptisé “Mer Electronic”, le projet servira à relever les consommations et à distance à travers un système électronique. La troisième startup s’appelle “Tohfa” et concerne une plateforme qui servira d’interface entre les artisans et les consommateurs. L’on citera aussi la 4e entreprise, en l’occurrence Djazaltec, qui fait dans la valorisation des richesses marines à travers la culture d’algue. La cinquième et dernière start-up, “Kokiage”, est spécialisée dans le développement des moteurs de recherche.
source image : slateafrique.com

Le marché parallèle du médicament est 25 fois, voire 45 fois, plus rentable que le trafic de drogue et est à l’origine du décès de 800.000 personnes par an dont la majorité est issue des pays sous-développés. Les faux médicaments sont 25.000 fois plus consommés que les vrais.
Tel est le constat établi, hier, par le vice-président de l’ordre des pharmaciens, Mohamed Sanadiki, à l’occasion du forum Santé Pharma, sous le thème « Pharmacie, psychotropes et les dangers du marché parallèle ». Selon Sanadiki, la fabrication de faux médicaments ne répond pas aux normes édictées par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et leur propagation prend des proportions alarmantes en Algérie avec quelque 27.000 produits importés illégalement. « Des pharmacies voyous, des charlatans guérisseurs et des délinquants proposent des médicaments d’importation mafieuse sans vignettes et sans factures », a-t-il révélé. A cet effet, Sanadiki a précisé que les moyens de lutte reposent essentiellement sur une prise de conscience globale et le suivi de la nomenclature qui comprend 5.000 produits pharmaceutiques. Selon lui, le phénomène est encore à ses débuts en Algérie comparativement à d’autres pays et ce, grâce à la présence de la caisse de sécurité sociale qui prend en charge pratiquement tous les citoyens. Mais il n’y a que la digue de l’assurance sociale pour empêcher l’explosion de l’informel et surtout du trafic de psychotropes. Fahima Lekhal, pharmacienne à l’hôpital de Ben Aknoun, a expliqué que l’approvisionnement des établissements de santé en médicaments doit se faire sur un carnet à souche à 3 volets délivré par la Pharmacie centrale des hôpitaux (PCH). Elle a rappelé qu’en Algérie, 18 produits stupéfiants (morphiniques) existent dans les CHU. En outre, l’arrêté du 29 juin 2013 a apporté un plus quant aux données des traitements de la douleur dans la prise en charge des maladies lourdes. « Deux officines dans la wilaya d’Alger commercialisent ces produits », a-t-elle indiqué.
Psychotropes, produits à surveillerx
Pour Wahiba Gacem, pharmacienne responsable à l’hôpital psychiatrique Drid Hocine, les psychotropes réduisent la souffrance et leur utilisation s’est généralisée. Elle a rappelé, dans ce sens, qu’il y a en Algérie deux décrets portant classification des plantes et substances classées comme stupéfiants psychotropes ou précurseurs. Evoquant le circuit des psychotropes, elle a fait savoir que le pharmacien doit assurer et déclarer les prestations depuis l’arrivée du médicament jusqu’à sa distribution et sa consommation par le malade selon la circulaire du ministère de la Santé du 22 novembre 2005. Elle a précisé que les producteurs doivent aussi disposer d’un registre spécial des entrées et sorties des médicaments. Dans ce contexte, elle a recommandé d’établir un fichier national des malades mentaux, de classifier les substances psychotropes, de favoriser le bon usage par ordonnance, d’encadrer les conditions d’utilisation, de prescription et de délivrance et de réduire le conditionnement de certains psychotropes.
S’agissant de l’usage et de la dépendance du médicament psychotrope, Noria Benyakhlef, professeure au service de psychiatrie de l’hôpital Drid Hocine, a rappelé que le psychotrope n’est pas une drogue mais un médicament qui soigne une maladie bien déterminée. Toutefois, elle a signalé que le médicament est parfois consommé en dehors de tout contexte médical et peut faire l’objet de détournement, voire de trafic, au même titre que les drogues illicites. Raison pour laquelle, elle a recommandé de favoriser la sensibilisation et l’information de la population sur les risques liés à l’usage inapproprié de médicaments, mener des actions dans les établissements scolaires, renforcer l’information dans les cabinets médicaux et les officines pharmaceutiques, informer les patients sur les risques de pharmacodépendance et améliorer les conditions de prise en charge médicale des patients dépendants et maintenir l’accès sur prescription médicale.
Pour une Nouvelle stratégie de santé publique
Représentant l’Office national de lutte contre la drogue et la toxicomanie, Ghania Heddache a souligné que son institution tend à l’élaboration d’une politique publique contre le détournement des psychotropes. L’objectif est de mettre en place une nouvelle stratégie de santé publique. « La répression n’a pas réussi à prévenir l’usage de la drogue et la consommation continue à se propager dans les différentes tranches d’âge », a-t-elle signalé. Selon elle, 13.000 personnes sont suivies au niveau des centres intermédiaires, dont 67% sont âgés entre 19 et 35 ans. « Actuellement, l’Office se penche sur la consommation psychotrope à l’origine d’accidents de la circulation », a-t-elle annoncé. Compte tenu des dangers et dérives, les professionnels du secteur pharmaceutique en collaboration avec les ministères de la Justice, de l’Intérieur et de la Santé se sont entendus pour travailler de concert afin de lutter contre les phénomènes extrêmes que sont les trafics organisés. Raison pour laquelle, cette rencontre a porté sur les conditions nécessaires à la mise en place d’un cadre de concertation et pour engager des réflexions pour l’amélioration de la traçabilité des psychotropes et la mise en place de procédures de contrôle et d’inspection harmonisées.
DGSN : La prévention et la répression pour lutter contre le trafic de stupéfiants
La stratégie de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN) s’appuie sur deux principaux volets. Il s’agit de la prévention et de la répression. C’est ce qu’a indiqué Tahar Tilouin, représentant de la DGSN à l’occasion du forum Santé Pharma. Selon lui, la police de proximité tend à se rapprocher davantage des jeunes et établir un contact direct avec les citoyens. Dans ce contexte, a-t-il rappelé, des cellules d’écoute ont été mises en place en 2004 pour prendre en charge les toxicomanes pour les aider à décrocher. Evoquant le trafic local, il a signalé que la tendance a évolué en 2015 se traduisant par la saisie de 395.229 comprimés psychotropes. L’Ouest du pays est la région de prédilection de ce trafic. « Ce phénomène s’explique par le coût accessible de ces produits et le recours aux ordonnances de complaisance en plus de la complicité de certains représentants hospitaliers », a-t-il souligné. A cet effet, il a souligné que sur le plan répressif, la DGSN a mis en place 48 brigades spécialisées dans la lutte contre ce fléau.
source : horizon-dz.com
Des coupures de l’alimentation en électricité sont programmées du 10 au 16 février dans les communes de Bouzareah et d’Ouled Fayet (Alger Ouest), en raison des travaux d’entretien des postes électriques, a annoncé jeudi dans un communiqué de Sonelgaz.
L’alimentation en électricité sera interrompue le lundi 10 février de 9h à 16h à Bouzareah dans les quartiers El Karia 2, Beau séjour, Association El Amel 2, Rue Mohamed Iqbal, Air de France, lotissement Bachelier, précise la même source.
Une autre coupure est prévue, le lendemain, mardi 11 février, de 9h à 16h dans la même commune au niveau du Centre commercial et de la Rue Ali Remli.
Une perturbation est prévue le même jour dans la commune d’Ouled Fayet de 9h à 16h et touchera la Route de Bouchaoui, le Village Ouest et l’APC d’Ouled Fayet.
La coopérative Essaada et la Cité CNEP situées dans la même commune seront concernées par une coupure le mercredi 12 février de 9h à 16h.
Le jeudi 13 février, une autre coupure est programmée au niveau de la résidence Les Oliviers 72 logements ainsi que les Coopératives El Mordjane et El Marsa de 9h à 16h.
L’alimentation en électricité sera également perturbée le dimanche 16 février de 9h à 16h, dans la Cité 103 logements, la Rue d’école Boubsila et la Coopérative des médecins, selon le communiqué.
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