
Des psychanalystes venus de France vont évoquer leur passion, celle de déchiffrer l’inconscient et parler de « l’insistance de l’écriture de l’inconscient », comme l’écrit
Lacan. Cette écriture, c’est la part de créativité qui nous anime et qui puise sa source dans l’enfance et l’adolescence. Elle peut donner à l’individu le sentiment que la vie vaut la peine d’être vécue comme le souligne Winnicott.
C’est à ces échanges, que la conférence « Psychanalyse et créativité» organisée en partenariat avec l’association « Bruits des mots », vous invite.
Avec Annie Topalov, Rachel Frouard, Claude Guy, psychanalystes. Modérateur : Gilbert Grandguillaune, anthropologue
Samedi 06 juin à 16h30à l'Institut français d'Alger

ALGER- Un album résolument inscrit dans la world music, oscillant entre le Desert Blues, style de musique targui très en vogue, le reggae, le rock et le folk a été édité commercialisé récemment en Europe par le groupe "Tikoubaouine" sous le titre "Ahney" (vision).
Ce nouvel opus de douze titres majoritairement chantés en Tamasheq (variante de Tamazight parlée par les touareg algériens et de toute la région du Sahel) a été produit en Algérie par "Ostowana Music" avant d'être distribué en France, en Belgique, en Suisse et au Maroc ainsi que sur les plateformes de téléchargement sur Internet par le label français "Labalme music".
Ce deuxième album du groupe devrait être disponible en Algérie après la levée des mesures de prévention de la propagation du coronavirus, le groupe souhaitant présenter son travail au public lors d'un grand concert.
Single à succès, "Tiniri" (désert) donne la La de cet album par un voyage dans l'aire de vie des nomades du grand sud porté par des sonorisations typiques de l'Assouf, un jeu de guitare particulier devenu la marque de fabrique du genre, une basse aux influences reggae et une percussion alliant la batterie aux instruments et rythmes traditionnels targui.
Ce titre accompagné d'un clip tourné dans les grands espaces du sud algérien, est un cri du coeur qui chante le quotidien difficile des populations nomades les plus vulnérables.Des titres comme "Aksanagh Tarha" (amours inaboutis), "Elalem" et "Amidinin" (mes amis) confirme l'orientation du groupe vers une fusion entre musique et textes tergui et une grande influence reggae également audible dans le chant.
Des balades proches de la folk avec un timbre targui dominant sont également proposées par les Tikoubaouine dans des titres comme "Dounia Wassl", ou encore "Irilan Aman" (celui qui a de l'eau), un véritable voyage musical dans les grands espaces porté par des percussions traditionnelles et des sons de guitare assez métalliques et proche de l'unplugged.
La touche des "Tinariwen", maîtres incontestés et précurseurs du blues du désert, se retrouve dans le titre "Aytma" (mes frères) qui reproduit la même configuration instrumentale de ce groupe mythique qui a influencé toute la création musicale contemporaine des régions du Tassili et de l'Ahaggar.
Créé en 2010, ce groupe issu du grand sud algérien est composé des chanteurs et guitaristes Said Benkhira et Hocine Deggar, du bassiste Abdelhafidh Oumari et du percussionniste Djaber Asserir. Ils ont animé de nombreuses scènes dans différentes villes du pays avant de sortir en 2016 son premier album intitulé "Dirhan" (le souhait).Cette opus a permis aux Tikoubaouine de se produire en France et au Canada.
APS

De nombreuses maladies héréditaires (ou génétiques), à l’origine de graves déficiences intellectuelles chez l’enfant, résultent de mariages consanguins. C’est ce que l’on retient de la journée d’étude organisée hier à l’Ecole supérieure de la Sécurité sociale par le ministère de la Solidarité, de la Famille et de la Condition de la femme, sur le thème : «Problèmes liés aux mariages consanguins en Algérie».
Nedjma Merabet - Alger (Le Soir) - Dans son discours d’introduction, Mme Eddalia expose la démarche des autorités avec un historique revenant sur les pratiques dites endogames.
Le mariage étant un pilier de la société, la nécessité de le penser et de le régir s’impose donc pour les pouvoirs publics, afin d’assurer la sécurité sanitaire des citoyens. Dans ce cadre, l’allocution de la ministre insiste sur l’importance du certificat médical prénuptial et invite toutes les parties de la société (écoles, mosquées, société civile, praticiens de la santé …) à s’investir dans la campagne de sensibilisation à ladite mesure, afin de prévenir et/ou traiter à temps certaines maladies. Le discours de la ministre rappelle que la recrudescence des enfants souffrant de handicaps et issus de mariages consanguins est une preuve de la faiblesse de la conscience individuelle et collective. C’est en appui de cette idée que les divers scientifiques intervenant lors de la journée d’étude axent plus sur les retards mentaux résultant de maladies génétiques, potentiellement en rapport avec la consanguinité, que sur d’autres formes de handicaps (moteurs, physiologiques, etc.).
Il est constaté une présence inquiétante en Algérie de maladies telles que la trisomie 21, diverses maladies hématologiques, ou encore la phénylcétonurie, l’hypothyroïdie congénitale… Toutes étant des maladies génétiques et impliquant le plus souvent des déficiences mentales ou intellectuelles, ou encore des cas aigus d’autisme.
On recense un taux de 22 à 26% de mariages consanguins dans la communication du Pr Arrada, tandis qu’il est de 33% selon le discours de la ministre, qui reprend les chiffres de la Forem (Fondation nationale pour la promotion de la santé et la recherche médicale).
Pourtant, les chiffres présentés par un document scientifique, émanant de l’OMS, contrarient quelque peu cette approche. En effet, 47% des cas de retard mental sont dus à des facteurs génétiques dans les pays dits développés, contre 15% dans les pays dits en développement, selon ce document. Tandis que les chiffres concernant les facteurs environnementaux s’inversent. Pour la trisomie 21, le même document fait état d’un taux légèrement plus élevé dans les pays développés que dans les pays en développement. La journée d’étude tire la sonnette d’alarme concernant la problématique soulevée, attirant l’attention de l’auditoire sur son implication dans le retard de développement. C’est pour cette raison que la ministre insiste dans son allocution sur l’importance du certificat médical prénuptial, consacré par le code de la famille, mais aussi par le récent code de la santé, dans l’espoir de dépasser les refus de cette démarche, qu’ils soient principiels ou dédaigneux.
Il y a quelques années, un débat avait été institué pour inciter les autorités chinoises à établir une telle mesure légale pour les mariages, liant les maladies consanguines au taux d’enfants abandonnés.
.lesoirdalgerie.com

2 œufs
100g de champigons de paris
2 cuisses de poulet
Sel,poivre
Estragon
Étape 1 :
Inciser la peau en bas du pilon. ôter délicatement la peau sans la déchirer et la mettre de coté. Couper le plus gros de
chair de la cuisse. Mettre les os à cuire dans une casserole d'eau bouillante.
Étape 2 :
Mixer la chair avec les champignons. Ajouter la chair cuite des os et 2 œufs, mélanger. Ajouter l'estragon, saler, poivrer. Mélanger.
Étape 3 :
Farcir la peau en remplissant bien au niveau du pilon. Replier la peau sur la farce.
Étape 4 :
Dans une poêle beurrée, cuire à feu moyen environ 10 minutes de chaque coté pour que cela soit bien doré et croustillant.

La radio voix de femme en collaboration avec l'association femme en communication organise une rencontre débat sur les féminicides en Algérie d'un point de vue juridique, sociologique, psychologique et militantisme, avec comme intervenant :
Maître Souhila Mhamdi avocate
Mme Khadidja Bousaïd sociologue
Mme Wassila Hamdi psychologue
Mme Amel Hadjadje militante des droits des femmes.
L'événement aura lieu le mercredi 03 mars 2021 , à 10h au SIÈGE de la radio voix de femme, à la maison de la presse Tahar Djaout, 1 mai Bachir Attar, Alger centre.
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