Annaba : l'humouriste Amine Radi de retour en Algérie ! 03 Août 2019 Divers § Sport § Activités originales
Après son énorme succès à Alger où 10.000 personnes ont assisté a son spectacle, et juste après à Oran avec un autre guichet fermé. Amine Radi sera à Annaba le 15 Août 2019, pour sa toute première apparition dans l'Est Algérien.
prix du ticket : 1500 Da
VIP : 2500 Da
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- Bouchez les passages des fourmis (troues, fissures dans le mur …)
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- un verre de vinaigre blanc
- Mettez vos vêtements dans votre machine, puis versez votre lessive habituelle.
- Ajoutez-y le vinaigre blanc dans le bac d’adoucissant de votre machine à laver.
- Commencez votre programme !
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Innovation algérienne d’antivol de véhicules cherche partenariat d’investissement01 Juillet 2016
La wilaya de Tipaza abritera cette année les festivités officielles et nationales de Yennayer, marquant le début du nouvel an Amazigh 2970, a annoncé mardi le Haut Commissariat à l’Amazighité (HCA) qui prévoit un programme « riche » et « instructif », alliant les aspects socio-éducatifs et l’aspect académique.
« Cette année le HCA, pour abriter les festivités officielles et nationales, a choisi la wilaya de Tipaza mais avec un rayonnement sur l’ensemble de ses communes, ainsi que l’intervention habituelle au niveau des autres wilayas », a indiqué le HCA dans un communiqué.
Selon son secrétaire général, Si El Hachemi Assad, le nouvel an amazigh Yennayer 2970 sera célébré cette année « avec un programme riche, instructif, alliant les aspects socio-éducatifs (des expositions d’artisanat et des manifestations artistiques et environnementales, comme la plantation d’arbres) et l’aspect académique, à travers un colloque qui réunit des historiens, des archéologues, et des anthropologues et autres universitaires ».
La célébration du nouvel an amazigh se distingue, cette année, par « publication, en une seule édition, de cinq titres traitant de Yennayer en tant que sujet d’étude et axe de réflexion menés par des universitaires aguerris », a-t-il ajouté.
L’objectif visé, a-t-il poursuivi, est de « mettre en exergue la portée philosophique, historique, socio-culturelle et symbolique de cette fête ancestrale ».
Le HCA rappelle, à ce titre, que cette fête est « célébrée avec faste dans les foyers des différentes régions du pays mais aussi sur les places publiques par les associations et les institutions de l’Etat, notamment depuis la consécration du premier jour de l’an amazigh, correspondant au 12 janvier de chaque année, comme une journée chômée et payée, en vertu de la modification en 2018 de la loi n 63-278 du 26 juillet 1963 fixant la liste des fêtes légales en Algérie ».
Le HCA, les autres institutions de l’Etat ainsi que la société civile « célèbrent cet événement dans sa dimension nationale, caractérisée par la richesse et la diversité de ses expressions culturelles et ses manifestations festives les plus authentiques », a-t-il souligné.
Il a estimé que l’évènement « se veut un solide ferment dans la symbiose populaire et un ciment inaltérable pour la cohésion sociale et l’unité du peuple algérien ».
« Autant Yennayer est une fête traditionnelle, marquant le début de l’année agraire, autant c’est une tradition millénaire de notre société », a-t-il fait remarquer, soulignant que cette fête « nous rappelle que la dimension amazighe, comme les autres composantes consacrées par la Constitution algérienne, édifie l’unité de la nation, sa pérennité et la cohésion sociale de notre pays ».
Pour le HCA, « cette fête constitue le socle commun des valeurs ancestrales de convivialité, de partage, de générosité, de solidarité et du vivre ensemble ».
« Yennayer doit être lié au sens véhiculé par la tradition, celui centré sur le respect de la terre et orienté vers la connaissance scientifique en rapport avec la dimension historique », a-t-il soutenu, considérant Yennayer comme « un repère à la fois spatial et temporel, qui marque la profondeur de notre histoire et de notre patrimoine culturel ».
Il a expliqué, à ce titre, que sur le plan patrimonial, cette fête célèbre la terre nourricière et le respect qui lui est dû en valorisant ce rapport « charnel » entre l’homme et la terre dans ses différents aspects « qui doivent être réinvestis dans des perspectives éducatives et de formation à travers l’école ».
APS
BOUMERDES - Le suspect dans l’affaire du meurtre de la jeune Chaïma a avoué avoir battu la victime, avant de l’asperger d’essence puis de mettre le feu à son corps, dans un endroit désert de la sortie ouest de la commune de Thenia, à l’est de Boumerdes, a affirmé, lundi le procureur de la République prés le tribunal de Boumerdes.
Cette déclaration fait partie du communiqué sur l’affaire du meurtre de la jeune Chaïma, originaire de la commune de Reghaia (Alger), extrait de l’enquête préliminaire lu à la presse, par Hamache Khaled, procureur de la République prés le tribunal de Boumerdes, qui était accompagné du chef du groupement territorial de la gendarmerie nationale de la wilaya.
Toujours selon le même communiqué, cette affaire remonte au 2 octobre 2020, quand le suspect Dh.A (19 ans) s’est présenté aux services judiciaires de la gendarmerie nationale à Thenia, pour signaler que son amie Chaïma (19 ans) a été victime de brûlures au niveau d’une station d’essence désertée.
Le suspect a, aussi, déclaré dans cette même plainte, qu’il était sur les lieux, avec la victime le 1 octobre courant, et être resté avec elle sept minutes, avant d’aller chercher de la nourriture. Après avoir parcouru prés de cinq mètres, il a vu de la fumée monter du lieu où se trouvait son amie, et il s’est enfui, a-t-il dit, avant de se présenter le lendemain pour signaler ces faits aux gendarmes.
Selon le procureur de la République, le suspect est revenu sur ses dires, suite à l’exploitation de différentes informations relatives à l’affaire.
Ainsi le suspect a avoué que la victime, qu’il connaît depuis 2017, l’a contacté le 1 octobre courant, et ils se sont mis d’accord pour se rencontrer. Suite à quoi il a loué une moto, a-t-il dit, et il est allé la chercher depuis la ville de Reghaia.
Le communiqué ajoute que les deux concernés sont arrivés vers 15h00 à la station d’essence désertée de l’entrée ouest de la ville de Thenia. Apres avoir eu un rapport intime avec elle, le suspecta battu la victime, qui a perdu connaissance. C’est alors qu’il se rendit à une station d’essence mitoyenne, d’où il a ramené une bouteille de plastique remplie d’essence, dont il a aspergé le corps de la fille, avant d’y mettre le feu, puis de quitter les lieux.
L’examen du cadavre de la victime découverte brûlée et allongée face à la terre, a permis de faire le constat, selon la même source, de "la présence de coups et blessures à l’arrière de la tête, outre une importante plaie en haut de sa cuisse gauche".
Apres investigations, les parties en cause dans cette affaire ont été transférées, lundi, devant le parquet de Boumerdes, a indiqué le procureur de la République, signalant l’interrogatoire du suspect, avant sa présentation devant le juge d’instruction, comme stipulé par l’article 67 du code de procédure pénal concernant la demande d’ouverture d’enquête.
Selon le même communiqué, le juge d’instruction a retenu contre le suspect les charges suivantes "viol, et homicide volontaire avec préméditation et guet apens, en utilisant la torture", et "actes sauvages". Le juge d’instruction a ordonné sa mise en détention à l’établissement pénitentiaire, jusqu’au parachèvement de l’enquête, puis son jugement. APS
Comment se débarrasser des fourmis dans la maison ?
Avec des solutions naturelles et écologiques, il est possible de se débarrasser des fourmis de la maison sans les tuer. Ces insectes intelligents sont capables de coloniser votre intérieur brusquement et discrètement. Grâce aux astuces de grand-mère, évitez l’invasion de fourmis dans votre demeure !
La lavande
L’odeur de la lavande repousse les fourmis. Placez des bouquets de lavande à proximité des portes et fenêtres ou fabriquez un répulsif à la lavande.
Le vinaigre
Pulvérisez du vinaigre blanc (pur ou dilué avec de l’eau) sur le passage des fourmis et sur les bords des fenêtres.
Le poivre de Cayenne
L’odeur forte du poivre de Cayenne permet de lutter contre les fourmis. Mettez-en aux petites entrées où arrivent les fourmis.
Le bicarbonate de soude
Saupoudrez le passage des fourmis avec du bicarbonate de soude. Cette méthode ne fonctionne malheureusement pas avec toutes les espèces de fourmis…
Les feuilles de menthe et de basilic
Disposez des feuilles de basilic ou de menthe aux lieux où se sont installées les fourmis.
La craie
Tracez un traie avec de la craie servira de barrage aux fourmis. Elles ne passeront pas par dessus la ligne car elles n’apprécient guère cette texture.
La levure chimique
Saupoudrez de la levure chimique sur le trajet des fourmis.
Le marc de café
Gardez votre précieux marc de café pour faire fuir les fourmis. Déposez le marc de café dans une coupelle où sont logés les insectes. Ils ne tarderont pas à déguerpir.
Les conseils de nos grands-mères
merci au site astucegrand-mere.com
Astuce : Comment préserver et raviver les couleurs des vêtements ?
Pour garder et fixer les couleurs de vos vêtements, il existe une astuce de grand-mère bien connue. Le vinaigre blanc est excellent pour raviver l’éclat de vos tissus et éliminer les résidus de calcaire de votre machine à laver !
Ingrédients
Recette de Grand-mère



Une solution de sécurité automobile, développée par une start-up algérienne, pouvant arrêter en 30 secondes un véhicule volé, est présentée au salon des startups VivaTechnolgy de Paris dans le but de trouver un partenariat d’investissement.
VivaTechnology Paris, ouvert jeudi, est un salon, regroupant 5.000 start-up dont 10 algériennes, des investisseurs et des bailleurs de fonds, qui veut consolider l’apport des startups dans les secteurs économiques.
La solution Paravol, mise au point par KindTech Center, une start-up algérienne dont le siège est au Cyber-parc de Sidi Abdellah (Alger), est un système électronique embarqué (autonome et spécialisé dans une tâche bien précise), à réaction « imminente et automatique », non connecté au réseau du véhicule et au réseau privatif.
Son promoteur, Hamid Kacha, rencontré au deuxième jour du salon, a expliqué dans un entretien à l’APS que sa mission principale est de « faire échouer toute tentative de vol au moins de 30 secondes », relevant que pour les différents types de vol, « il n’existe pas vraiment actuellement une solution approuvée sur le marché ».
Paravol fonctionne avec un identifiant secondaire par rapport à celui d’origine du véhicule qui est généralement soit la clé ou la carte de démarrage.
La reconnaissance automatique de l’identifiant peut être un badge RFID (Radio Frequency IDentification) ou tout simplement un téléphone portable en communication avec le dispositif.
« S’il y absence de l’identifiant ou tentative de vol, le dispositif réagit en 30 secondes », a expliqué le gérant de KindTech, une des 10 startups sélectionnées par un comité de parrainage composé de représentants du ministère de l’Industrie et des Mines, du cluster numérique ADC (Algerian Digital Cluster), du cabinet de consulting EY (ex. Ernst and Young) et de chefs d’entreprises.
C’est un dispositif qui se déclenche trois secondes après le démarrage du véhicule s’il détecte l’absence de l’identifiant. Il émet des bips sonores toutes les 3 secondes durant 18 secondes.
« Si le propriétaire du véhicule a oublié son identifiant, il doit s’arrêter en quelques secondes pour aller le chercher », a-t-il expliqué indiquant qu’en cas de déficience de l’identifiant, Paravol dispose également de clavier pour donner la possibilité au propriétaire d’introduire un code secret.
« Si ce n’est pas le cas, à la 5e seconde, le dispositif limite la vitesse du véhicule à 20 km/heure et l’occupant du véhicule ne peut ni accélérer ni aller très loin », a-t-il ajouté, précisant que le dispositif incite l’occupant à arrêter le véhicule.
A la 10e seconde, lorsque le véhicule n’est pas arrêté, Paravol envoie un SMS au propriétaire lui indiquant que son véhicule a été volé, suivi d’un message vocal invitant l’occupant à arrêter le véhicule. A la 15e seconde, s’il n’y a pas de répondant de la part de l’occupant, le dispositif commande la protection périmétrique (feux de détresse et alarme) et limite la vitesse à 10 km/heure pour préparer le véhicule à l’arrêt, suivi d’une prise d’une photo de profil de l’occupant puis l’arrêt systématique du moteur avec l’impossibilité d’un autre démarrage.
Paravol prévient également le propriétaire du véhicule si ce dernier a été volé par soulèvement ou remorquage.
« Nous proposons trois versions de Paravol. La troisième version (Paravol++) est dotée d’un système de GPS et en cas de kidnapping du chauffeur, par exemple, le dispositif envoie des SMS à plusieurs personnes dont les numéros de téléphone portable ont été préalablement enregistrés », a encore expliqué Hamid Kacha, soulignant cette version donne la possibilité de « traquer le véhicule, le déclarer à temps et l’arrêter à distance ».
Pour cette solution innovante, fonctionnelle depuis plus de 18 mois et dont les tests sont réussis à 70 %, le concepteur espère trouver, au salon VivaTechnology de Paris qui fermera ses portes samedi, un partenariat d’investissement « fort et durable ».
aps.com
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