
L’affaire Ramadan n’en finit pas de faire couler de l’encre, au cœur de la polémique durant un temps, elle passe aux oubliettes ces derniers mois.
Qu’est ce qui explique ce soudain désintérêt ?
Une actualité plus croustillante à se mettre sous la dent ? Pas vraiment ! Selon les derniers éléments de l’enquête, les choses ne se déroulent pas tout-à-fait comme certains l’espéraient.
Le site médiapart nous apprend dans un article publié sur son site ce 30 juin, que les expertises menées par la Brigades Criminelle (BC) montrent clairement que les témoignages des deux principales plaignantes ne sont fiables.
L’enquête de la BC a été diligentée à la demande de plusieurs juges d’instruction, pourtant ces derniers ne semblent pas vouloir prendre en considération les conclusions de la BC.
L’affaire Ramadan est, depuis le début des investigations, passée de main en main.
Après la police du douzième arrondissement de Paris (2e DPJ), première à avoir été chargée de l’enquête, les juges d’instruction ont transmis le dossier à la Brigade Criminelle de Paris (DRPJ), jugée plus compétente et plus fiable.
L’enquête de la DRPJ a été longue et minutieuse et elle conclut formellement à l’innocence de Tariq Ramadan.
Les conclusions des enquêteurs sont sans équivoques, elles mettent en doute la version des deux plaignantes. La BC relève de nombreuses invraisemblances, ainsi que des mensonges flagrants concernant les échanges que les deux présumées victimes auraient eu avec le principal suspect.
De plus, la Brigade Criminelle admet avoir recueilli plusieurs témoignages d’hommes qui disent avoir été harcelés par l’une des deux protagonistes. Plusieurs textos prouvent que Tariq Ramadan a fait l’objet de harcèlements sexuels de l’une des plaignantes. Cette dernière lui aurait envoyé durant plusieurs mois des messages à connotation sexuel après leur unique rencontre.
Lors de la retranscription des écoutes téléphoniques, on entend la plaignante dire que «si son portable est volé» par des «pro-Ramadan», cela risque d’être «extrêmement compromettant pour elle et pour le dossier».
Un comportement qui remet en question toute l’affaire mais qui ne le disculpe pas pour autant aux yeux de ses juges.
En effet, les trois magistrats instructeurs ne retiennent aucune des conclusions de la BC dans la gestion de la procédure, préférant se tenir à la version officielle.
Pourtant d’après les informations récoltées lors de l’enquête, il semble évident que la version des plaignantes ne correspond pas aux faits, contrairement à la version de Tariq Ramadan.
Malgré l’évidence, la justice s’acharne à faire de Ramadan le parfait coupable. L’affaire Weinstein est arrivée à point nommé pour envoyer l’islamologue derrière les barreaux.
Tariq Ramadan, une personnalité adulée ou détestée mais qui ne laisse personne indifférent. Habitué des polémiques, il dérange par ses écrits et ses prises de position, liés à l’Islam.
Musulman intelligent et charismatique et dont l’influence au sein de la communauté musulmane progresse rapidement, un cocktail explosif aux yeux de certains.
Depuis, l’islamologue est accusé par la classe médiatico-politique d’être un fondamentaliste.
Le diaboliser aux yeux de ses coreligionnaires était autrement plus difficile et plus risqué.
Qu’à cela ne tienne, le théologien est soudain dépeint comme un homme aux mœurs perverses qui se complaît à violer des femmes.
Source : Mediapart / Auteur : Zoubida Salhoume

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Les amendes aux infractions à l’origine des accidents, notamment ceux classés au 4e degré vont augmenter, en vertu du projet de révision du code de la route récemment adopté au conseil du gouvernement, a indiqué, jeudi, le ministre de l’intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Bedoui. Elles oscilleront entre 5 000 DA et 7 000 DA.
Cette mesure intervient en même temps que l’adoption du système de permis à points qui permettra, d’une part, de réduire l’intervention de l’élément humain dans le processus de constat des infractions et, d’autre part, de mettre un terme à toute forme d’indulgence à l’égard des contrevenants. Le système informatique du permis à points conférera davantage de rigueur aux dispositions du code de la route. Lors d’une séance de questions orales au Conseil de la nation, M. Bedoui a annoncé des chiffres effarants qui placent notre pays sur le podium mondial des accidents de la route. L’illustration donne froid dans le dos : les accidents de la route occasionnent annuellement une moyenne de 4 000 morts et coûtent à l’État 100 milliards de dinars.
“L’élément humain, notamment en ce
qui concerne le non-respect des règles de conduite, est le dénominateur commun dans 95% des accidents de la route”, a estimé le ministre de l’Intérieur, soulignant que “l’excès de vitesse et les dépassements dangereux étaient à l’origine de 50% du nombre global des accidents de la circulation”.
Outre les mesures dissuasives, l’amélioration de l’état du réseau routier, l’exigence d’une
qualité spéciale d’équipements de sécurité pour les véhicules importés, la généralisation du contrôle technique obligatoire des véhicules, ainsi que la dotation des services de sécurité d’appareils sophistiqués sont autant de “mesures rigoureuses visant à réduire les accidents de la route”. Le ministre a, en outre, rappelé les mesures prises dans le cadre de la révision des conditions de travail et de contrôle des auto-écoles pour assurer “une amélioration qualitative” en termes de formation des candidats désireux d’obtenir le permis de conduire, rappelant la récente adoption d’un texte réglementaire y afférent au niveau du Conseil du gouvernement.
À cet effet, les expériences des entreprises en charge de la sécurité routière dans certains pays, à l’instar de l’Espagne et de la France, ont été mises à profit pour accompagner les réformes initiées par l’Algérie dans ce domaine, et ce, à travers un projet de jumelage et d’une convention de coopération d’une durée de cinq ans. S’agissant de la pose anarchique des ralentisseurs, M. Bedoui a indiqué que le ministère de l’Intérieur avait émis en février dernier, en collaboration avec le ministère des Travaux publics, une directive visant à rappeler aux citoyens le règlement en vigueur et à prendre les mesures visant à “réadapter les ralentisseurs non conformes aux critères techniques et à supprimer progressivement celles réalisées sans autorisation”.
La directive vise également à mettre en place de plaques de signalisation horizontales et verticales pour indiquer la présence de ces ralentisseurs, avec l’association des services techniques des travaux publiques à la réalisation de ces dos d’âne, outre l’interdiction de leur pose au niveau des routes à grande circulation.
liberte-algerie.com
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Question : svp l’adresse d’une salle de sport où je pourrais prendre des cours d'arts martiaux ?
Réponse : une école d’art martiaux située au niveau du quartier Didouche Mourad (Alger centre) a une bonne réputation, vous y trouverez des cours de arts martiaux, Kung Fu, Kick boxing…la salle s’appelle SANGOUGA, elle se situe juste en face du siège du RDC à Didouche Mourad.
Si vous souhaitez nous poser des questions : contact@zeinelle.com
Facebook : zeinelle magazine
Instagrame : @zeinelle_magazine
Twitter : @Zeinellemag
#art_martiaux_femme_Algérie
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Atelier créatif gratuit sur le thème de l'automne :
Chaque atelier se déroule 100% en anglais. Les intervenants sont anglophone de langue maternelles. Cette approche ludique favorise l'apprentissage naturel par lequel les enfants intègrent l'anglais sans effort conscient et avec une grande efficacité.
Atelier OUVERT entre 2h et 5h : vous arrivez et repartez quand vous voulez.
Atelier créatif pour les 4-12 ans
Date : vendredi 24 Novembre 2017 de 14h à17h
Lieu : Artylingua 1 Cooperative EL MENZEL, Bousmaha, Bouzareah, Alger
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Pizza tomate mozzarella
Ingrédients (pour 6 personnes) :
- 1 pâte à pizza achetée dans le commerce
- 450 g de tomates pelées
- 300 g de mozzarella
- sel et poivre
- 75 g de parmesan râpé
- 2 cuillères à soupe d'huile d'olive
Préparation de la recette :
Préchauffer le four à 180°C (thermostat 6).
Emincer finement les tomates concassées. Détailler la mozzarella en fines tranches.
Mettez la pâte à pizza dans un plat allant au four.
Ajouter les tomates, puis les tranches de mozzarella, et enfin du parmesan.
Saler (peu), poivrer et arroser d'un filet d'huile d'olive.
Enfourner pour 30 minutes de cuisson.
source : marmiton.org
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