
L'inauguration des ateliers Art'monie a eu lieu le 29 septembre 2018, une occasion de présenter les différentes formations et activités que propose l'école.
Les gérants des ateliers Art'monie promettent des formateurs doués et surtout passionnés par leurs métiers, qui vous permettront de vous révéler et d'apprendre dans une ambiance conviviale et chaleureuse.
Au programme :
Atelier d'initiation aux arts, pour les grands et les petits. Peinture sur tous supports, musique, mosaïque, poteries, bijoux, calligraphie...
Adresse : 44 chemin sidi Yahia Hydra

La première fois que j’ai entendu parler des énergies c’était grâce au célèbre livre « le secret » de Rhonda Byrne, ou une phrase qui m’avait particulièrement interpellée disait : « Chaque pensée et chaque émotion émettent une fréquence. Les pensées et les émotions envoient une énergie magnétique »
Cette citation m’avait tellement marquée que j’ai commencé à approfondir mes connaissances dans le domaine des énergies, du magnétisme humain, des vibrations et de la loi de l’attraction, mais j’étais loin d’imaginer que ce domaine était aussi vaste et que ses enseignements remontés à
plusieurs siècles avant JC !
Un domaine passionnant qui nous donne à réfléchir sur ce qu’est la réalité, ou plutôt la perception que nous avons de la réalité, car ce que j’ai appris à travers les livres est que nous ne sommes pas que ce corps physique, nous avons en réalité de nombreux corps énergétiques.
Passionnant non !!
J’ai eu l’occasion également d’approfondir mes connaissances dans le domaine des énergies, ou plus particulièrement dans la bio énergie grâce à l’entrevue avec Dr Derrahi Mounia, diplômée dans les soins de la bioénergie et spécialiste en KWANTOM TASH, docteur en psychologie et formatrice dans le domaine de la bioénergie à l’école de formation « Oxy jeunes »
Une entrevue fort intéressante où nous avons longuement parlé des mystères de l’énergie humaine, de l’aura, mais surtout de la bioénergie.
Qu’est-ce que la bio énergie ?
La bio énergie est une méthode de rééquilibrage des différentes énergies qui se trouvent dans notre corps, les énergies que les médecins traditionnels Indiens nomment les Chakras !
Durant l’entrevue, Dr Derrahi Mounia nous a expliqué que le corps humain possède plusieurs chakras, situés le long d’une ligne qui suit le trajet de la colonne vertébrale, ces derniers sont des centres invisibles situés dans certains points précis du corps qui en comprend de très nombreux dont sept considérés comme principaux, ce sont les chakras majeurs.
1- Le chakra racine
2- Le chakra sacré
3- Le chakra du plexus solaire
4- Le cakra du cœur
5- Le chakra de la gorge
6- Le chakra du troisième œil
7- Le chakra de la couronne
Le mot chakra signifie « roue d’énergie » en Sanskrit, les chakras ne peuvent ni être touchés ni être vus, mais si l’un de nos sept chakras est perturbé, tout notre équilibre physique et psychique se trouve bouleversé.
L’énergie doit pouvoir passer librement dans les chakras, sans excès, sans manque ni stagnation. Or, un mal-être, une émotion aiguë, des problèmes anciens non résolus, une mauvaise hygiène de vie où le stress pourrait les dérégler : les chakras se fermeraient, empêchant l’énergie de circuler, et en cas de blocage de ces énergies dans votre corps, des nœuds se forment et des maladies peuvent apparaitre.
Car en effet chaque chakra correspond, à une zone du corps, des organes et des systèmes glandulaires, mais aussi des émotions, des troubles physiques et psychiques.
Autant dire qu’on ne joue pas avec les chakras !
Si vous souhaitez approfondir vos connaissances dans le domaine de la bioénergie via un atelier, faire une séance de rééquilibrage énergétique ou encore suivre une formation en bioénergie, acupuncture, PNL… je vous invite vivement à contacter l’école de formation « Oxy jeunes » !
Pour plus d’informations cliquez sur les liens suivants :
Dr Derrahi Mounia ( séance de rééquilibrage énergétique )
Ecole : Oxy jeunes
Esma Djigouadi
Article associé :
Atelier : A la découverte de la Bio énergie

L'été est là, et nous allons vous présenter toute une gamme cosmétique naturelle et 100% bio afin de sublimer votre visage, cheveux, et corps à la préparation au bain de soleil.
La rose sera à l'honneur durant cette exposition vente: eau de rose, sel de bain, démaquillant, ghassoul à la rose...
Des coffrets marocains en bois et sémi cuir indémodables pour y mettre vos produits ou bijoux seront également disponibles à l'expo vente...pour toutes les bourses en quantité limitée.
samedi 8 juillet 2017
ADRESSE LIEU EXPO & VENTE : Villa N0 12 , rue de la petite Province - Hydra ( pas loin du site Cosider)
Soyez au rendez-vous. GSM: 0555531156

À Alger comme à Djelfa, les prix cette année sont loin d’être à la portée des personnes à petites bourses. Alors que le rush a déjà commencé pour acquérir le fameux mouton de l’aïd, la spéculation, les intermédiaires et la cherté des aliments du bétail surgissent, ces jours-ci, pour expliquer, comme à chaque fois, une flambée de plus en plus ressentie.
C’est confirmé, l’aïd est fixé pour le 24 de ce mois et l’affluence se fait remarquer dans les marchés à bestiaux, mais la demande est vite confrontée aux prix exorbitants. La fête du sacrifice, un symbole de piété et de générosité, semble acquérir depuis plusieurs années la tendance commerciale très lucrative. Le mouton, dans ces circonstances, n’est plus qu’un rêve pour les citoyens à petite bourse.
Il en existe de tous les choix. Des moutons qui attirent par leur poids et leurs grosses cornes. Ces derniers se valent au prix d’or, et pour l’acheter, le portefeuille doit être extensible et peser lourd.
Une situation qui s’explique par les prix qui n’ont pas seulement doublé, mais parfois triplé, voire quadruplé. À Alger, comme il fait très chaud, les prix aussi ont eu chaud et sont même brûlants. Ils atteignent facilement les 60 000 à 120 000, voire 140 000 dinars.
Récemment, le porte-parole de l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA) a déclaré à la presse que cette année, la flambée des prix ne sera pas importante à la veille de l’Aïd el Adha, alors qu’en réalité, les prix sont loin d’être à la portée de tout le monde. Les citoyens se trouvent alors face à un dilemme entre le devoir religieux et l’argent à dépenser pour ce faire.
Pourquoi ces chiffres ?
Djelfa est une région où l’élevage est l’activité commerciale dominante, grâce aux grands espaces dédiés au pâturage. Nous avons visité cette wilaya où le métier du mouwal, autrement dit, éleveurs de bétail, est transmis de père en fils. Ici, durant l’Aïd el Adha, les Hauts Plateaux se transforment rapidement en une Mecque pour les personnes désireuses d’acheter un mouton au prix abordable.
Nous l’avons visité, à quelques jours de cette occasion religieuse, pour témoigner des bruits qui circulent dans ces lieux de vente du fameux symbole de la fête du sacrifice. La flambée des prix n’est toujours pas exclue, un mouton qui se vendait l’année dernière à 30 000 dinars, est actuellement cédé à 40 000, soit une marge de 10 000 dinars. La meilleure qualité est cédée à 90 000 dinars et après de longues négociations, le mouwal descend le prix à 80 000 DA.
Pour comprendre ces prix qui demeurent chers, nous avons parlé à quelques éleveurs, qui ne nous ont pas caché leurs inquiétudes de ce commerce. Le prix des aliments de bétail qui restent chers, les surfaces de pâturage parfois épuisées sans parler des sécheresses, ainsi qu’un autre souci majeur, celui des intermédiaires qui imposent leur diktat pour gagner par la spéculation. «Tout ça fait grimper le prix», ont-t-ils expliqué.
Durant ces jours, l’activité s’intensifie, et les acheteurs en gros se précipitent pour sélectionner la meilleure marchandise. Ici, beaucoup de revendeurs viennent d’Alger.
«Parfois nous ne nous déplaçons même pas en ville, ici et dans ce marché, toute la marchandise se vend à quelques jours de l’Aïd, tellement l’affluence est importante», nous a raconté un éleveur. «Des personnes achètent en moyenne 5 à 10 moutons pour les revendre en ville, en particulier la capitale», a-t-il rajouté. En réalité, ce sont des spéculateurs qui s’enrichissent durant ces jours. Ils revendent leurs marchandises au prix double, dans les quartiers huppés d’Alger.
Pour témoigner, nous avons fait connaissance d’un résident d’Alger, qui habite aux Eucalyptus à l’est de la ville. Ce dernier, habitué de ce marché, et à chaque fois et à l’approche de cette occasion religieuse, il vient conclure des affaires.
Dans toute cette histoire, il semble que le simple citoyen est toujours livré aux lois des spéculateurs et des intermédiaires. Ces mêmes personnes «déplument» des citoyens de plus en plus noyés dans des dépenses sans fin.
source : le jour d'Algérie
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