
A l'occasion de la célébration de la journée du savoir coïncidant avec le 16 avril de chaque année et avec l'approche du mois de ramadhan 2019, l'établissement Arts et Culture de la Wilaya d'Alger organise une journée de sensibilisation sur « le diabète et le ramadhan » en collaboration avec l'hôpital Lamine DABAGHINE beb el oued. Alger
Et cela le mardi 16 avril 2019 à partir de 13h00
Au niveau d'espace des activités culturelles Rachid Kouache B.E.O. ALGER

Améliorer les délais d’étude des dossiers bancaires: Accord BNA-FCE réservés aux femmes d’affaires
ALGER- Un protocole d’accord a été signé lundi à Alger entre la Banque nationale d’Algérie (BNA) et le Forum de chefs d’entreprises (FCE) pour réserver des guichets aux femmes chefs d’entreprises exclusivement.
La cérémonie de signature de cet accord, paraphé par le P-dg de la BNA, Achour Aboud, et le président du FCE, Ali Haddad, s’est déroulée en marge d’une rencontre organisée par cette organisation patronale sur le thème « l’entrepreneuriat féminin: un vecteur pour une croissance économique durable ».
Les ministres, respectivement, de la Communication, Hamid Grine, de la Formation professionnelle, Mohamed Mebarki, de la Solidarité, de la famille et de la condition de la femme, Mounia Meslem, la ministre délégué chargée de l’Artisanat, Aicha Tagabou, ainsi que le secrétaire général de l’UGTA, Abdelmadjid Sidi Saïd, ont pris part à cette rencontre.
Selon le P-dg de la BNA, à travers ce protocole d’accord, il s’agit d’améliorer les délais d’étude des dossiers d’investissements et d’attribution des crédits bancaires aux femmes d’affaires afin de mieux les accompagner dans leurs projets.
Pour sa part, M. Haddad a souligné que cet accord était destiné aux femmes d’affaires pour les libérer des contraintes administratives: « Nous sommes là pour aider la femme entrepreneuse à développer ses affaires.
La femme ne doit pas rester marginalisée. Le FCE oeuvre pour valoriser la femme et faciliter son implication dans la sphère économique ».
Il a également avancé que cet accord serait généralisé prochainement avec d’autres banques.
Un autre accord de coopération a également été signé entre le FCE et le ministère de la Solidarité, de la famille et de la condition de la femme afin de renforcer l’entrepreneuriat féminin et de promouvoir les activités de loisirs pour les enfants dans les crèches.
Intervenant, par ailleurs, à cette rencontre portant sur « l’entrepreneuriat féminin: un vecteur pour une croissance économique durable », le président du FCE a soutenu que cette initiative marquait l’intérêt que porte cette organisation patronale pour la cause féminine et sa volonté d’accompagner les femmes d’affaires, tout en mettant l’accent sur les potentialités de l’entrepreneuriat féminin.
Les femmes représentent le plus grand contingent de la population estudiantine et que 70% des nouveaux diplômés sont de la gent féminine, a observé M. Haddad en notant que la problématique est leur insertion dans le monde professionnel et de l’entrepreneuriat.
« Nous comptons actuellement 136.000 femmes chefs d’entreprises. C’est insignifiant devant le potentiel existant », a-t-il considéré.
Pour sa part, le ministre de la Communication a rappelé les avancées enregistrées pour l’émancipation de la femme dans les différents secteurs dans le pays.
Il a indiqué lors de son intervention que la présence de la femme dans le secteur de la communication et à travers les médias s’était nettement améliorée.
« Dans notre secteur, la femme occupe une place plus qu’honorable… Il y a un nombre important de femmes-cadres par rapport aux hommes-cadres », a-t-il soutenu en soulignant le sens de « l’engagement », de la « patience » et de l' »éloquence » des femmes.
Dans ce sens, M. Grine a affirmé que le Prix du Président de la République du journaliste professionnel, qui porte cette année sur le thème de « la femme, acteur majeur du développement socioéconomique », reflétait l’intérêt qu’accorde le Président Abdelaziz Bouteflika à la question de la femme et à sa place dans la société.
Durant cette rencontre, les participants ont noté, néanmoins, que les femmes étaient plus touchées par le chômage que les hommes (16% contre 9,9% chez les hommes) alors que la participation des femmes dans la création d’entreprises ne dépasse pas 13% contre 87% pour les hommes.
Les intervenants ont aussi évoqué le rôle des politiques et des médias pour renforcer l’entrepreneuriat féminin, notamment dans les régions rurales, le rôle de formation pour le développement durable de l’entrepreneuriat féminin et la valorisation des dispositifs d’aide à la création d’entreprises.
elitepresse.com

Une large campagne a été lancée depuis une semaine sur les réseaux sociaux afin de sensibiliser le publique contre le phénomène du « féminicide ».
Depuis une semaine, la photo de la jeune défunte Ikram Aïssat, âgée de 19 ans, circule en masse sur les réseaux sociaux. La mère de la victime plaide le féminicide qui a été commis contre sa jeune fille, enceinte et mère d’un garçon, par son mari en présence de quelques membres de sa belle-famille au domicile familial dans la wilaya de Blida.
Suite à la déclaration par vidéo de la mère d’Ikram, demandant que justice soit faite, une campagne de sensibilisation, initiée par jeunes militantes féministes, Narimène Mouaci et Wiame Awres, a été lancée sur les réseaux sociaux. « Ces femmes assassinées sont des citoyennes algériennes, ce ne sont pas juste des chiffres, ce sont des femmes qui avaient une vie, des rêves, une famille, des amis et des enfants parfois. Donc, cet hashtag est aussi un moyen de sensibiliser contre les féminicides qui ont longtemps été étouffés ou ignorés », ont confié les deux initiatrices de cette campagne.
Toutefois, les deux militantes ont également pris l’exemple d’Asma, âgée de 30 ans, qui a trouvé la mort égorgée, le 8 août dernier à Beni Messous, à Alger, par son mari alors qu’elle était enceinte. Juste avant elle, à Guelma, un militaire retraité a tué sa femme avec un fusil de chasse, tandis qu’une autre femme âgée de 28 ans, enceinte et mère de deux petites filles, a été tabassée par son conjoint jusqu’à la mort à Boukricha dans la même wilaya.
Ces quelques cas ne sont qu’une partie des 36 féminicides recensés depuis le début de l’année, malheureusement, très peu rapportés. La DGSN, quant à elle, a évoqué quatre affaires, de janvier à juin, concernant des cas de coups et blessures volontaires ayant entraîné la mort des victimes. Néanmoins, depuis le confinement à ce jour, les mêmes services n’ont mentionné aucune affaire de féminicide.
Par ailleurs, 11 affaires d’homicides volontaires ont été traitées en 2020, dont 6 depuis avril, durant la période de confinement, où une augmentation des cas de violences domestiques a été observée.
« C’est pour que ces femmes ne tombent pas dans l’anonymat et l’oubli », ont soutenus Narimène Mouaci, et Wiame Awres. Les deux Algériennes recensent bénévolement les cas de féminicide en passant au peigne fin l’actualité nationale relative aux féminicides, qu’ils soient relatés par les médias ou par des pages influentes dans le but d’attirer l’attention des médias, des pouvoirs publics et de l’opinion publique sur l’étendue de ce fléau. L’idée de lancer cette campagne leur est venue après avoir remarqué la courbe ascendante des actes de violences contre les femmes.
« Cela fait des années que les féministes algériennes alertent contre le harcèlement sexuel, contre les violences conjugales et toute forme de violence à l’encontre des femmes. Ces violences sont devenues dans notre société non pas banalisées, mais plus grave, légitimées, défendues alors qu’elles mènent au meurtre », a témoigné l’une des deux jeunes femmes.Algérie360

El fayet club organise le grand marché du ramadan : Vide grenier déco et vaisselle.
Vendredi 10 avril et samedi 11 avril 2021
Les inscription sur
0770912338/0770908888

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