Rencontre / Kaouther ADIMI à l'institut français 25 Janvier 2020 Société Algérienne § Culture § économie
[éditions barzakh] organise une RENCONTRE avec Kaouther ADIMI à l'institut fraçais d'Alger
le Jeudi 30 janvier à partir de 18.00.
Vente-signature de son roman "Les Petits de Décembre" à la fin des de la rencontre.
Les Petits de Décembre ( résumé ) :
C’est un terrain vague, au milieu d’un lotissement de maisons pour l’essentiel réservées à des militaires. Au fil des ans, les enfants du quartier en ont fait leur fief. Ils y jouent au football, la tête pleine de leurs rêves de gloire. Nous sommes en 2016, à Dely Brahim, une petite commune de l’ouest d’Alger, dans la cité dite du 11-Décembre. La vie est harmonieuse, malgré les jours de pluie qui transforment le terrain en surface boueuse, à peine praticable. Mais tout se dérègle quand deux généraux débarquent un matin, plans de construction à la main. Ils veulent venir s’installer là, dans de belles villas déjà dessinées. La parcelle leur appartient. C’est du moins ce que disent des papiers « officiels ».
Avec l’innocence de leurs convictions et la certitude de leurs droits, les enfants s’en prennent directement aux deux généraux, qu’ils molestent. Bientôt, une résistance s’organise, menée par Inès, Jamyl et Mahdi.
Au contraire des parents, craintifs et résignés, cette jeunesse s’insurge et refuse de plier. La tension monte, et la machine du régime se grippe.
A travers l'histoire d’un terrain vague, Kaouther Adimi explore la société algérienne d'aujourd'hui, avec ses duperies, sa corruption, ses abus de pouvoir, mais aussi ses espérances.
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L’enquête en question a touché 250.000 adultes et 28.000 foyers. 17.000 questionnaires ont été distribués aux enfants avec un taux de réponses de 80%. Un résultat qui a permis, selon Mme Souakri, de constater l’ampleur du danger qui guette les enfants.
Plus de 86% d’enfants ont révélé avoir été victimes de violences verbales ou corporelles, selon une enquête réalisée par le bureau de l’Unicef en Algérie en collaboration avec le ministère de la Santé, durant le premier semestre de l’exercice 2015. C’est ce qu’a annoncé Mme Salima Souakri, ambassadrice de bonne volonté de l’Unicef à l’occasion de la célébration du 26e anniversaire de la signature de l’accord relatif à la protection des droits des enfants.
Lors d’une rencontre animée hier au forum de la Direction générale de la sûreté nationale (DGSN), à l’occasion de la Journée internationale des droits del’enfant, l’intervenante a fait savoir que l’enquête en question a touché 250.000 adultes et 28.000 foyers. 17.000 questionnaires ont été distribués aux enfants avec un taux de réponses de 80%. Un résultat qui a permis, selon Mme Souakri, de constater l’ampleur du danger qui guette les enfants. D’où la nécessité, selon elle, d’engager une lutte contre la violence dans le milieu familial et à l’école, et contre la violence sexuelle, ainsi qu’à l’égard des personnes aux besoins spécifiques (enfants handicapés). Pour tenter d’endiguer ce phénomène, un spot publicitaire sur la violence parentale réalisé par le bureau de l’Unicef en Algérie a été diffusé. « Il faut dénoncer cette violence pour permettre aux enfants d’évoluer dans un environnement sain », a estimé l’ambassadrice de l’Unicef.
Prise en charge victimes : NADA insatisfait
La violence contre les enfants a été également observée par le réseau Nada pour la défense et la promotion des droits de l’enfant. Selon les chiffres de cette association, 7.000 enfants issus des zones rurales et urbaines ont subi une violence. « La lutte contre la violence à l’égard des enfants notamment des mineurs ne doit pas être basée sur la répression », a rappelé le président de Nada, Abderrahmane Arrar. En clair, « les gendarmes et les policiers sont là pour maintenir l’ordre mais la prise en charge des enfants violents et ceux victimes de violence va au-delà de la condamnation », a-t-il souligné. Dans cette optique, il s’est interrogé sur le rôle des maisons de jeunes et des centres culturels « qui sont pratiquement vides et dépourvus de loisirs ». Selon lui, il faut mettre en place un mécanisme et des moyens concrets qui permettraient à cette frange de participer à l’édification de sa société, en la responsabilisant et lui faisant sentir qu’elle est utile. De ce fait, il a estimé que l’implication du mouvement associatif et la société civile est plus que fondamentale. « Cela nécessite un encadrement de la part de spécialistes dont le rôle est de valoriser l’enfant et lui inculquer l’estime de soi », a-t-il précisé.
Les témoignages des enfants filmés lors des interrogatoires
Du côté de la police judiciaire, les chiffres de cette violence sont tout aussi alarmants. Le bilan dressé par le commissaire Abdelhamid Taleb, au titre du premier semestre 2015, fait ressortir 6 enfants victimes de meurtre prémédité, 22 mineurs agressés alors que 36 autres ont été victimes de coups et blessures volontaires. Durant cette période, 2.812 enfants et adolescents ont subi des violences dont 2.802 garçons et 10 filles. S’y ajoutent 2.712 mineurs impliqués dans diverses affaires alors que 1.040 autres sont en danger moral dont 385 filles, 831 autres ont été victimes de pédophilie et 273 ont subi des maltraitances.
Selon l’officier supérieur, la Sûreté nationale compte 50 équipes spécialisées dans la prise en charge des enfants victimes de violence. Aussi, 10.000 policières ont été formées pour travailler en étroite collaboration avec les juges des mineurs en termes d’encadrement et de protection et défense des droits des enfants violentés et les mineurs en danger. Selon le même responsable, la police de proximité est également impliquée dans la lutte contre la délinquance juvénile. Le commissaire Taleb a rappelé que les nouvelles mesures contenues dans la loi 93 du 13 juillet 2015 qui stipulent que les enfants victimes de violence seront mis sur écoute et filmés pendant l’interrogatoire en présence d’un psychologue. Selon lui, la loi interdit l’arrestation des mineurs âgés de moins de 13 ans.
source : 360algerie.com
Le salon de yennayer organisé pour la première fois par la galerie d art couleurs et patrimoine afin de célébrer la nouvelle année berbère ensemble sera l'occasion de découvrir notre riche patrimoine culturelle.
Date : du 10 au 12 janvier 2019
Lieu : Galerie D Art Couleurs Et Patrimoine Rue Mazouni yahia, 16603 El Biar, Alger
Pour plus d'informations surleprogramme : Galerie D Art Couleurs Et Patrimoine
Savez-vous que le cancer du sein est la première cause de décès chez la femme ?
Comme l’a déclarée Dr Amina Mohamed Belkebir lors d’une intéressante intervention au
sein du Siége de Brandt Algérie, organisateur de l’événement dans le cadre d’Octobre
Rose, quelque soit votre âge, il est important de connaître et d’observer l'aspect et la
forme de vos seins, afin de remarquer des symptômes tels que des grosseurs, des
douleurs ou des changements de taille qui peuvent être préoccupants.
L'autopalpation et les contrôles réguliers chez le médecin sont essentiels et devraient
devenir une routine pour toutes les femmes.
La détection précoce du cancer du sein peut contribuer à sauver des vies. La prévention
est primordiale, un cancer détecté à ses débuts est guérissable à 100 pour cent.
Huit cancers du sein sur dix se déclaraient après 50 ans, mais de nos jours de plus en plus de
jeunes femmes de moins de 40 ans sont concernées par la maladie.
Voici les trois gestes qu’il est bon d’adopter pour réussir votre auto palpation :
Geste1 / Avec les trois doigts de votre main gauche, palper votre sein droit, en commençant par la
partie extérieur de votre sein ; Effectuez de petits cercles aves les bouts des doigts jusqu’à
l’intérieur.
Geste 2 / Vérifiez sous votre bras l’absence de toute grosseur ou toute zone dure anormale sous la
peau.
Geste 3/ Pressez délicatement le mamelon et vérifiez qu’aucun écoulement ne se produit.
Quelles sont les symptomes, à part une masse palpable, qui peuvent vous alerter ?
Une augmentation du volume des ganglions lymphatiques, creux (rétraction de la peau) ou vossure
(bombement), écoulement du mamelon, eczéma persistant ou ulcération du mamelon,
durcissement de la peau du sein, une rétraction du mamelon ou une rougeur récente de la peau et
des veines plus visibles.
N.Bessaha
On peut dire que l’ambiance n’est pas au beau fixe ! Le coronavirus envahit le monde et crée d’importantes angoisses dans tous les domaines de la vie de chacun d’entre nous. Dans ce contexte anxiogène il est indispensable de se prémunir contre le virus en préservant son système immunitaire. Confinement oblige, notre organisme risque de plus d’être en pénurie de tonus par le manque d’activité physique et de vitamine D. Alors si nous décidions de ne pas laisser place à l’angoisse, et profiter de cette période de repli pour booster notre énergie ? Voici trois plantes parfaitement adaptées pour aider notre organisme à s’enrichir d’un système immunitaire hors-pair. aromatherapie-huiles-essentielles.com
Le ginseng, une plante adaptogène qui agit contre le stress
Remède universel depuis des millénaires, le ginseng est une plante reconnue dans le monde entier pour ses nombreuses vertus, et notamment celle de lutter contre tout type stress. Par le terme « adaptogène », cette plante a la particularité de « s’adapter » aux besoins de l’organisme. Elle améliore sa résistance aux agressions environnementales (pollution, intempéries et catastrophes naturelles, violence et ambiance anxiogène, promiscuité, bruit, peurs, etc.) et le protège contre la maladie. Cette plante stimulante et tonifiante, agit également contre la fatigue morale et l’asthénie. Une petite cure s’impose !
Le gingembre, une plante stimulante qui booste l’immunité
Utilisé depuis la nuit des temps, à une époque lointaine pour faire face à la peste, la réputation du gingembre n’est plus à prouver. Reconnu pour ses nombreuses vertus, notamment stimulantes et aphrodisiaques, cette racine millénaire a plus d’un tour dans son sac. Le gingembre est un puissant antioxydant, agissant sur toute la sphère du fonctionnement de l’organisme. Hypotenseur, il protège tout d’abord le système cardiovasculaire. Hépato-protecteur et anti-nauséeux, il régule le système digestif. Immuno-régulateur, il renforce l’immunité. Le gingembre est également antalgique et anti-inflammatoire, et soulage les douleurs d’arthrite et rhumatismales. Consommé un peu tous les jours, il apporte force et vitalité !
Le ginkgo biloba, l’arbre de vie
On peut dire que cette plante a vaincu le temps ! Le ginkgo biloba, nommé au Tibet « l’arbre de vie », est une plante réputée en médecine chinoise et indienne depuis des millénaires, et ce bien avant l’arrivée de J.C ! Reconnue en tout premier lieu comme puissant vasodilatateur (action de dilater les veines), l’efficacité du ginkgo biloba est réputé pour le soin des varices et des hémorroïdes. Mais ce n’est pas tout ! On l’emploie également pour lutter contre les troubles liés à l’âge. Neuro-protecteur, il booste la capacité cérébrale en limitant la détérioration de ses tissus. D’autre part, il aurait la capacité de limiter les troubles des acouphènes.
Ces plantes ne peuvent bien sûr pas prétendre à soigner le coronavirus, mais elles permettre à l’organisme de faire le plein de bons éléments pour optimiser le système immunitaire. A vous de jouer !
Le laboratoire MSD, prépare l’arrivée en Algérie de nouveaux traitements en oncologie basés sur l’immunothérapie, une avancée formidable dans la lutte contre le cancer.
Ainsi, les malades algériens vont pouvoir bénéficier prochainement de cette nouvelle thérapie, notamment dans les indications proposées à l’enregistrement au ministère de la Santé, de la population et de la Réforme Hospitalière, MSPRH. Ces thérapies nées des derniers progrès de la recherche en oncologie sont approuvées dans leurs indications notamment par l’agence américaine du médicament (FDA), l’Agence Européenne du Médicament (EMA) voire plus récemment aux Emirats Arabes Unis.
Pour le Professeur Kamel Bouzid, Chef de service d’oncologie médicale au centre Pierre et Marie Curie d’Alger (CPMC) et Président de la Société Algérienne d’Oncologie Médicale (SAOM), « Cette nouveauté thérapeutique a été vite proposée à l’enregistrement par les experts algériens afin d’en faire bénéficier rapidement nos patients atteints de cancer ».
L’immunothérapie a jusque-là permis d’augmenter la survie des patients de façon significative comparées aux thérapies existantes, notamment dans les cancers les plus agressifs comme le cancer du poumon, le mélanome (cancer de la peau), et du rein et d’améliorer leur qualité de vie par rapport aux autres traitements standards qui induisent de nombreux effets secondaires (nausées, vomissements…)
Lors du premier Sommet Nord-Africain d’Immuno-Oncologie organisé le 29 Nov. par MSD-Algérie, animé par des spécialistes d’Algérie, du Maroc, de Tunisie, de Suisse, d’Italie, de Grande-Bretagne, des USA, ainsi que par des représentants du Comité de pilotage du plan national anti-cancer, il a été démontré toute l’étendue des avancées thérapeutiques de l’immuno-oncologie dans le traitement de nombreux cancers.
Pour les patients atteints de cancer, c’est donc un véritable espoir que suscitent les nouvelles thérapies, nées de ces recherches toujours en cours, comme l’explique le professeur Kamel Bouzid : « A côté des armes classiques de traitement médicamenteux, la chimiothérapie, l'hormonothérapie et les thérapies ciblées, est apparue depuis cinq ans environ une nouvelle classe thérapeutique: les thérapeutiques immunologiques représentées par les anticorps monoclonaux et validées depuis 2014 dans des cancers réputés résistants. Ces cancers sont les mélanomes malins métastatiques, les cancers du poumon, les cancers du rein. Dans ces trois cancers redoutables, les essais cliniques effectués montrent qu'un patient sur trois soumis à ces traitements répond, alors qu'ils étaient en échec thérapeutique avec les thérapies classiques. De plus les patients qui répondent ont un "plateau de survie" qui donne des espoirs de longue rémission voire de guérison, ce qui était encore inespéré il y a deux ans à peine. Toujours en immuno-oncologie, est apparu également un vaccin thérapeutique dans les cancers du poumon dont les résultats sont prometteurs »
L'ancien président américain Jimmy Carter a déclaré : "le cancer dans mon cerveau a disparu". Selon des médias américains, Jimmy Carter a annoncé en Août qu'il a été diagnostiqué avec un mélanome malin métastatique plus connu comme "cancer de la peau" qui s'est propagé à d'autres organes de son corps, y compris le foie et le cerveau. Depuis, l'activiste politique âgé de 91 ans a subi des traitements par radiothérapie et une immunothérapie oncologique à base d'anti PD1; le Pembrolizumab de MSD. En Novembre le Centre Carter a déclaré que le cancer "répondait bien au traitement.". Dans une brève déclaration le 6 décembre le président Carter a déclaré: «Ma plus récente IRM cérébrale a mis en évidence la disparition des taches cancéreuses d'origine, sans visualisation de nouvelles lésions. Je vais continuer à recevoir des traitements d'immunothérapie à base de Pembrolizumab de manière régulière toute les 3 semaines ".
Rappelons encore que l’immunothérapie est une méthode de traitement qui consiste à utiliser certaines substances du système immunitaire, pour lutter contre le cancer, en stimulant le système immunitaire, et en l’amenant à travailler de façon plus forte et plus intelligente, pour attaquer les cellules cancéreuses.
Et encore ! La recherche et le développement de en immuno-oncologie n’est qu’à ses premiers pas, étant donné que, comme l’ont rappelé les spécialistes présents, pas moins de 900 essais cliniques ont été menés ou sont en cours dans le monde pour différents types de cancers, notamment les plus fréquents. MSD qui consacre beaucoup d’efforts pour l’innovation et la recherche en immuno-oncologie, compte à son actif de nombreux essais cliniques dont 85 sont toujours en cours.
Véritable problème de santé publique, le cancer touche un nombre croissant de patients dans le monde et en Algérie (50 000 cas en 2015, selon les chiffres du Ministère de la Santé).Chaque année,14 millions de personnes dans le monde sont diagnostiquées avec un cancer dont 8 millions décèdent.
A propos de MSD
Connue sous le nom de Merck aux Etats-Unis et au Canada, MSD (Merck Sharp &Dohme),est une entreprise qui opère depuis 1851 sur le marché des médicaments, vaccins, produits biologiques et de la santé animale.
MSD a réalisé un chiffre d’affaires de 42 milliards de dollars en 2014, dont 6,5 milliards consacrés à la recherche et au développement de nouveaux médicaments dont 25 molécules couvrant diverses aires thérapeutiques (oncologie, maladies cardiovasculaires et respiratoires, vaccins…) ont atteint le dernier stade de leur développement.
A propos de MSD Algérie
En Algérie, MSD se positionne parmi les leaders du médicament avec une gamme de produits dans les domaines de la contraception, la fertilité, la diabétologie, l’ophtalmologie, l’allergologie, l’anesthésie, les vaccins... MSD Algérie travaille en étroite collaboration avec les professionnels de santé, pour favoriser et accompagner leur expertise scientifique médicale au service de leurs patients.
Pour plus d’informations, consulter : www.merck.com
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