
Le projet de la ligne ferroviaire transmaghrébine reliant le Maroc, l’Algérie et la Tunisie sera relancé, a indiqué un communiqué du secrétariat général de l’Union du Maghreb arabe (UMA) publié sur son site officiel.
« Le secrétariat général de l’Union du Maghreb arabe a obtenu un don de la Banque africaine de développement (…) en vue de financer le coût des activités préparatoires du projet de la réhabilitation et de la modernisation de la ligne de chemin de fer transmaghrébine reliant l’Algérie, le Maroc et la Tunisie», y lit-on.
Sans préciser le montant du don, le projet consiste à revaloriser et à moderniser une ligne ferroviaire de 363 km, qui existait déjà entre le Maroc et l’Algérie. Ainsi qu’une autre ligne de 503 km entre l’Algérie et la Tunisie, tout en effectuant la connexion entre les deux lignes afin de relier les trois pays.
reflexiondz.net

Mounia Meddour réalisatrice de “Papicha” à “liberté”: “Le film arrive à un moment-clé de l’histoire de l’Algérie”
Lors de sa projection au 72e Festival de Cannes dans la section “Un certain regard”, Papicha a eu droit à une standing ovation émouvante. Rencontrée sur place, Mounia Meddour revient dans cet entretien sur ses impressions suite à la présentation de son premier long-métrage, sur le contenu et l’esthétique de cette œuvre ainsi que sa relation avec son père auquel a été dédié ce film.
Liberté : Le projet du film a commencé d’une manière modeste pour aboutir à une fin en apothéose. J’imagine que quelques doutes vous ont habitée pendant et après la sélection. À Cannes, vous avez eu droit à une standing ovation. Quelles sont vos impressions ?
Mounia Meddour : C’est extraordinaire d’être déjà sélectionné surtout que le montage financier du film n’a pas été une chose facile. Avec ce projet, j’ai appris à ne jamais lâcher. Il faut se montrer fidèle à ses convictions et avoir toujours foi en soi.
Cette sélection nous a sorti de nos doutes. La standing ovation est très émouvante. On ne l’attendait pas. Mes comédiennes et moi étions en larmes. Nous avions livré un film que j’ai porté pendant 6 ans. Comme je suis assez pragmatique, je prends cela comme un encouragement à travailler plus.
Vous avez opéré des choix formels et esthétiques comme l’effacement du plan large au profit des serrés, de la forte présence de la bande-son et un montage rapide. Vous avez pris le risque de perturber le spectateur. Qu’est-ce qui a présidé à ce choix ?
Évidemment, quand on fait un film, on a un point de vue. Le mien a été très précis dès le début. Je voulais quelque chose d’organique sur la pulsion de vie. Donc je voulais créer à l’écran une sensation d’étouffement, d’oppression et aussi d’urgence. Les filles vivent dans un milieu fermé et hostile. Le plan rapproché est la meilleure option pour traduire cette émotion.
Je voulais aussi faire un film du point de vue de Nedjma et ne jamais la quitter. Le spectateur épouse toutes ces émotions, réflexions et actes. Je voulais quelque chose de vivant et de dynamique. Ce montage où les séquences sont coupées d’une manière brutale et dynamique restitue cette urgence et incertitude de la vie dans un contexte d’extrême violence.
Vous avez aligné plusieurs clichés concernant l’Algérie : le haïk, le hammam et notamment l’homme violent. Comment expliquez-vous ce choix ?
Je ne me suis pas posé la question au moment de l’écriture, puisque l’histoire est inspirée de faits réels. Les personnages que j’ai mis en scène sont représentatifs des personnes que j’ai connues. Pour l’image négative des hommes, c’est vrai que dans le film, il y a beaucoup de personnages masculins négatifs. Mais je pense avoir montré aussi des hommes qui sont positifs. C’est le cas de celui joué par Khaled Benaïssa qui sauve Nedjma des griffes de Mokhtar.
Et le film a été dédié à un homme, votre père Azzedine Meddour…
Pour moi, c’est ma façon de montrer que mon père m’a été d’un soutien indéfectible. Il est à l’origine de ce que je suis : femme instruite, libre et cinéaste. C’est aussi un hommage à un cinéaste qui a célébré la femme dans son film La montagne de Baya. C’est une sorte d’hommage donc à un père et à un cinéaste. Après Baya, il y a Nedjma.
Votre film laisse entendre que la menace islamiste a pesé lourdement sur l’Algérie. L’actualité algérienne montre ce que cette dernière fut. Quelle est votre vision là-dessus ?
Il est important de préciser que les contextes sont totalement différents. Le film arrive à un moment clé de l’histoire de l’Algérie.
Ce qui se passe dans les rues est fantastique. La génération actuelle est mûre et courageuse. Par contre, les traumatismes existent, et il est important d’en parler.
Liberte-algerie.com

Question :
Est-ce que c’est possible de me donner le numéro de tèl d’une psy de Bejaia qui connaisse le profil du pervers narcissique ?
Réponse :
Effectivement les psychologues qui connaissent ce profil sont rares, et les personnes qui souffrent des ravages des pervers narcissique doivent impérativement se construire avec l’aide d’une spécialiste.
Voici le tél de Mme Sahraoui Intissar : 0774 420 474, son cabinet se trouve à Bejaia, et nous avons eu l’occasion de nous entretenir avec elle, elle connait ce profil.
Si vous souhaitez nous poser des questions : contact@zeinelle.com
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LPP : Que faire pour bénéficier d’un logement neuf et à prix abordable ?
La course pour un logement promotionnel public (LPP) a commencé. Depuis samedi, des milliers de souscripteurs se sont présentés devant le siège de l’Entreprise nationale de promotion immobilière (ENPI) pour le retrait des ordres de versement de la première tranche du montant. Un montant fixé à 500 000 DA qu’il faut verser dans un délai de deux mois.
Par ailleurs, la direction de l’ENPI a indiqué que le prix du M² est fixé à 80 000 DA toutes taxes comprises. Un prix qui demeure avantageux puisque sur le marché national de l’immobilier, la plupart des appartements neufs proposés à la vente, leur M² dépasse les 100 000 Da. Il est à noter également que le prix du logement au titre du programme LPP est d’environ 6,4 millions DA pour un F3 (80m2), 8 millions de DA pour un F4 (100 m2) et 9 millions de DA pour un F5 (125 m2). Et là encore, on constate que ces prix sont nettement plus abordables que ceux des appartements proposées par des coopératives immobilières privées.
Que faire donc pour bénéficier d’un logement LPP ? Il faut d’abord recevoir la convocation pour payer un montant de 500.000 DA comme première tranche du prix du logement dans un délai de deux mois. Le souscripteur recevra après une année, la décision de pré-affectation. Par la suite, une commission sera chargée, durant les mois prochains, de définir les criteres d’accès au logement en tenant compte notamment du nombre des membres de la famille et des capacités financières du souscripteur.
Les responsables de l’ENPI ont indiqué que le lieu de résidence sera pris en compte avec la possibilité d’introduire des recours. D’autre part, les souscripteurs peuvent bénéficier, à la faveur de la décision de pré-affectation, d’un crédit bancaire pour compléter le prix du logement mais il peut toutefois s’acquitter de la totalité du prix du logement avant la reception des clés, s’il en a les moyens financiers.
Signalons enfin que le nombre des souscripteurs au programme LPP est de 46 000 dont plus de 23 000 pour la capitale soit la moitié du nombre des souscripteurs à l’échelle nationale. L’ENPI assure enfin que les futurs logements LPP seront spacieux seront réalisés par des matériaux de qualité et seront dotés de meilleurs moyens de confort nécessaires dont des ascenseurs de marques mondiales, des parkings sous sol et des espaces verts.
Source focus-algerie.com
Avec APS
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