Angoisses, TOC, phobies, difficile de les soigner si nous ne sommes pas encadré par un bon médecin traitant. Lors de l'émission Docteur M nous allons vous parler de deux types de thérapies à savoir la TCC et la TERV, ces dernières sont utilisées par les médecins psychiatres pour soigner les angoisses, les phobies, et les TOC, mais si la première thérapie nommée TCC « Thérapie comportementale cognitive » est fréquemment utilisée par les psychiatres et relativement connue, la seconde « la thérapie par exposition à la réalité virtuelle » ( TERV ) est malencontreusement moins connue car très récente.
Suivez l'émission Docteur M pour mieux découvrir la TCC et la TERV et pourquoi elles sont complémentaires dans certains cas.
Docteur M est émission de la chaine radio M en partenariat avec zeinelle.com.Emission presentée par la fondatrice du web magazine zeinelle.
Vous avez remarqué depuis quelques semaines une perturbation de votre cycle menstruel ? Pas de panique, vous n’êtes pas la seule. C’est l’un des nombreux effets secondaires néfastes du confinement sur l’ organisme. Alors que de nombreuses internautes ont fait part d’un dérèglement sur les réseaux sociaux, les experts expliquent le lien entre stress, sédentarité et horloge hormonale. Le site pourquoidocteur.fr vous en dit plus.
“Il faut savoir que les hormones de stress sont sécrétées par les mêmes glandes que celles sécrétant les hormones dont dépendent les règles (…) C’est aussi connu qu’en captivité, par exemple dans le cas des détenues, on observe chez des femmes une disparition des règles voire un alignement de leur cycle, de sorte qu’elles aient leurs règles ensemble. C’est un effet hormonal pour les rendre fertiles au même moment, dans le sens où, de manière très animale, il y a une sorte de concurrence au sein d’un même foyer”, explique le gynécologue M. Marcelli.
Il Ajoute " en cas de stress, le cerveau ouvre un nouveau dossier. Il commande la production d’hormones du stress, le cortisol ou l’adrénaline. Si le stress dure trop longtemps, le cerveau met en parenthèse la production d'hormones sexuelles. C'est pourquoi un évènement stressant comme un burn-out ou un deuil peuvent perturber un cycle. Or, la période que nous vivons actuellement est bien évidemment particulièrement anxiogène."
Si aucun lien scientifique n'est encore avéré entre confinement et dérèglement, force est de constater que sur les réseaux sociaux, les témoignages de femmes allant dans ce sens se multiplient. Sur Twitter, la réalisatrice Ovide a réalisé un sondage pour essayer de déterminer le taux de femmes concernées. Sur 997 sondées, 23,7% des femmes évoquent des règles décalées tandis que 16,3% rapportent qu’elles ont “carrément disparu”. “Mes règles ont eu énormément de retard, j’ai dû faire un test car je commençais à flipper”, commente une internaute. “Je l’ai aies eu la semaine dernière avec trois quatre jours de retard alors qu’elles sont normalement très régulières”, “Pour le moment j’ai six jours de retard, ça ne m’était jamais arrivé” , s’inquiètent d’autres femmes.
Des règles plus douloureuses en l’absence d’Ibuprofène
De nombreuses internautes décrivent par ailleurs des règles “beaucoup plus douloureuses qu’à l’ordinaire”, notamment car l’Ibuprofène, médicament largement utilisé pour soulager les douleurs menstruelles, est actuellement fortement déconseillé par les autorités sanitaires.
Outre le stress lié à la peur de tomber malade, l'inquiétude pour ses proches et l'angoisse de l'après, une possible grossesse peut être derrière une absence de règles. En effet, cette période étrange peut être synonyme d’une activité sexuelle plus forte que d’ordinaire, pour celles confinées en couple. Qui plus est, le confinement modifiant de multiples habitudes, de nombreuses femmes se retrouvent à prendre la pilule à des heures décalées, ce qui peut entraîner un dérèglement. Le manque de lumière pourrait également jouer et perturber l'horloge interne des femmes à la façon d'un voyage à l'autre bout du monde avec décalage horaire à la clé.
“Pour retrouver un cycle normal, je n’ai pas de solution miracle, mais je ne peux que conseiller de se raccrocher à son rythme de vie d’avant-confinement, de faire du sport pour éliminer le stress, de bien dormir. Régulariser ses règles, ça passe par régler sa vie”, explique le docteur M. Marcelli, qui rappelle que la régularité du cycle dépend de la sensibilité de chacune.
Le ministre des Affaires religieuses et des Wakfs, Mohamed Aïssa a annoncé, lundi, la création prochaine d’une instance de lutte contre le jihadisme.
Répondant à une question relative à la stratégie pour immuniser et sécuriser intellectuellement la société algérienne, contre les « idées jihadistes » répandues sur les réseaux sociaux, le ministre a précisé qu’un Observatoire national de lutte contre l’extrémisme religieux sera créé très prochainement.
Le ministre qui animait une conférence de presse en marge de l’ouverture de la 17ème semaine nationale du Saint Coran à Constantine, a expliqué que cet organisme réunira plusieurs départements et instances en mesure d’analyser et de proposer une démarche à suivre pour préserver la société contre toute forme d’extrémisme.
Le ministre a ajouté que le référent religieux national, inspiré du Saint Coran et de la Sunna est « le rassembleur des Algériens », soulignant que le concept du référent religieux national sera renforcé par des directives.
Évoquant le message du président de la République Abdelaziz Bouteflika, aux participants à la 17ème semaine nationale du Saint Coran, le ministre a souligné que le message du président est « une feuille de route et une stratégie de travail » pour les imams, les chouyoukh des zaouias et la société pour œuvrer contre l’extrémisme et privilégier la voie de la modération.
Retour en vidéo sur un record qui devait être inscrit dans le Guiness Book et qui finalement part en fumée. La veille dur ramadhan, tout était prêt pour le record : 8 tonnes de riz, 1009 kg de viande de poulet, 1000 kg de viande ovine, 800 kg de calamar, 800 kg de crevettes, 280 kg de sel, 110 kg de poivre noir, 750 kg de poivre vert, 140 kg d’ail, 20 kg de safran, 1400 litres d’huile, 5 kg de feuilles de laurier, 1200 kg d’oignon, 60 kg d’épices diverses et 800 kg de tomate.
Les hissiers étaient présents pour attester de l’événement. Et, patatras, le feu de bois sur lequel elle cuisait est devenu de plus en plus incontrôlable. Le brasier était tel qu’il constituait une menace pour la foule qui s’était amassée tout autour et aux alentours du jardin de Sidi M’hamed. Il a fallu l’intervention de la protection civile pour l’éteindre.
Acculé de toutes parts, suite à l‘effondrement d’un immeuble lui appartenant à El Achour, l’architecte et promoteur immobilier, M’hamed Sahraoui, a fini par réagir.
Il explique, dans un communiqué envoyé à la presse, que la résidence URB 2000, construite à El-Achour, a bénéficié d’un permis de construire délivré en 1999 par l’APC d’El Achour. Il affirme, en revanche, qu’il a envoyé un dossier de régularisation (mise en conformité) en novembre 2015 à l’APC d’El-Achour qui n’a pas donné suite. Passé 20 jours, «le permis de construire peut –être considéré comme acquis», indique le promoteur, précisant que les études de sol ont été réalisées «selon les normes».
Contrairement à ce qu’affirme le ministère de l’Habitat, M’hamed Sahraoui rappelle que l’effondrement de l’immeuble est dû «aux travaux de terrassement inconsidérés effectués par le promoteur Hattou Eliès». «Ce dernier avait été, au demeurant, mis en demeure un mois auparavant, de cesser les travaux de terrassement, pour le motif qu’ils menaçaient la solidité du bloc des studios mitoyen», indique encore le promoteur.
Le ministère de l’Habitat a imputé l’effondrement de la bâtisse au non respect des normes de construction par M’hamed Sahraoui.
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