
Une exposition accompagnée d’ateliers de calligraphie japonaise sera organisée dès le 28 septembre par l’Ambassade du Japon en Algérie.
C’est au musée national de l’enluminure, de la miniature et de la Calligraphie Dar Mustapha Pacha (la Casbah) que cet événement sera lancé le 28 septembre à 15h. En plus de l’exposition, des ateliers seront également proposés au public présent.
Considérée comme l’une des plus belles calligraphies au monde, cet art utilisant des caractères Kanji se dévoilera aux Algériens pendant 3 jours. Le musée sera ouvert le vendredi 29 septembre de 10h00 à 12h00 et de 15h30 à 17h00 et le samedi de 10h00 à 12h00 et de 13h30 à 17h00.
Comptez 200 DA pour le ticket d’entrée et 100 DA pour les étudiants
vinyculture.com

L’inauguration de la 7ème édition du salon du mariage a eu lieu le 25 avril 2018, au Médina Center, Ardis, à Alger en présence de l’actrise Algérienne Aida Guechoud.
Sous le label « le Mariage en fête », cette manifestation qui se déroulera jusqu'au 1 mai 2018 s’impose comme un rendez-vous incontournable pour les futurs mariés qui y trouveront un ensemble d’opportunités qui leurs permettra de convoler en juste noces dans les meilleurs conditions possibles.
Le salon du mariage est un carrefour de rencontre de près de 140 exposants et artisans, algériens et étrangers dont la Palestine, la Syrie, la Tunisie, le Maroc, et la Turquie qui proposent des produits d’horizons diverses pour aider les prétendants à l’union sacrée à préparer leurs trousseaux et organiser le jour « J ».
Comme chaque année, et comme de coutume, une belle surprise attend les nombreux visiteurs. Il s’agit du « Pack el Aarouss » la marque déposée du Salon confectionné par la Sarl Celestia Service qui participe au Salon avec deux importantes promotions : le pack « chambre à coucher, salon et cuisine proposés respectivement à 100.000 DA ET 299.990 Da.
Fort du succès enregistré lors des précédentes éditions, le salon du mariage illustre à bien des égards une véritable attraction non seulement culturelle et sociale mais surtout économique. Avec près de 400 000 mariages par an et une estimation de dépense avoisinant les 400 milliards de Dinars, l’institution du mariage est désormais un créneau porteur où le rôle de chaque secteur est pleinement engagé.
Le salon du mariage offre en exclusivité l’opportunité de réunir tous les efforts et canaliser les énergies afin d’encourager la consommation local et contribuer ainsi au bien-être général.
- Mettre en valeur l’artisanat national :
Sur le marché national, l’artisanat contribue actuellement à hauteur de 200 milliards de DA au développement de l’économie nationale, avec une marge d’évolution exponentielle.
L’Algérie compte quelques 900 000 artisans activant essentiellement dans le domaine traditionnel et de l’art. Le savoir-faire et la diversité de l’artisanat algérien sont une véritable richesse qui a besoin davantage de prise en charge.
«Le Mariage en Fête», offre ainsi aux producteurs nationaux l’occasion de révéler au grand public leur créativité.
- Remettre au goût du jour le patrimoine culturel :
Le mariage est l’évènement sacré dont la célébration reflète ce qu’il y a de plus raffiné dans notre culture. Les arts vestimentaires, l’artisanat, l’art de la table, d’esthétiques, la décoration, les ambiances de fête, toutes ces activités qui mettent en relief le patrimoine culturel et le savoir-faire local et national seront célébrées au sein du chapiteau lors de l’évènement.
Plusieurs animations au programme :
Le Salon du Mariage, pour accompagner ces visées sociétale et économique présente un riche programme d’animation pour mettre en valeur le patrimoine immatériel des régions à travers les ambiances des fêtes d’antan. Comme chaque année, un défilé de mode est programmé chaque jour, pour mettre en valeur la diversité vestimentaire et le patrimoine algérien accompagné de grands noms de la scène algérienne musicale à l’instar de Karima Saghira, Amel Radi, Tarek Kolei, Toufik Nedroumi, Samy Zeryeb, Hichem la classe, Samah Akla, Salim Chaoui ainsi que Cheb Wahid. Pour cette 7 ème édition le Salon accueillera Meriem Benasr , la célèbre chanteuse tunisienne qui se produira devant le public algérien le 1 er Mai prochain et sera accompagnée du chef d’orchestre Tunisien Niezar Ben El Nouri Abdelkafi.
Les organisateurs du salon ‘Le mariage en fête’ peuven se targuer d’avoir réuni près d’une centaine d’exposants issus de différents secteurs d’activités : Naturado, Bédouine, Splendid, Beauty touch, Djoud el cham et Mycomfort dans la production de cosmétique, la partie pâtisserie sera représentée par Pâtisserie l’Elysée ainsi que plusieurs marques de l’orfèvrerie à l’exemple de Amour Bijoux, Cléopatra et Jumain Jawerly ; L’art de la coiffure ne sera pas en reste avec la participation de Saadi Elégance ; pour les décorateurs, les maisons Dar el Bey et Roy Events seront de la partie ; Les organisateurs de mariage seront représentés , notamment , par la Salle des Rêves Wedding time.
N.B





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Lenteur dans la délivrance des visas Schengen/ L’ambassade de France annonce de nouvelles dispositions pour les cas urgents
L’ambassade de France à Alger a indiqué, aujourd’hui, dans un communiqué, que l’indisponibilité de rendez-vous proches pour le dépôt de dossier de visa Schengen, par l’intermédiaire de TLS Contact, est du à la forte affluence enregistrée ces derniers temps. Elle annonce une procédure particulière pour les cas urgents.
«A l’approche de la saison estivale, un nombre très élevé de demandes de visas remplit le planning en ligne du prestataire TLS Contact au maximum de sa capacité sur les six prochains mois. Les créneaux pour les prises de rendez-vous continuent d’être ouverts chaque jour, et se libèrent au fur et à mesure de la progression du calendrier, mais en nombre limité par les capacités de traitement. La prise de rendez-vous reste cependant une étape obligatoire», signale l’ambassade qui affirme, par contre, que «le consulat général à Alger s’emploie à normaliser cette situation».
Sur les réseaux sociaux, des demandeurs soupçonnent l’existence d’un réseau de «vente» de rendez-vous proches à TLS Contact, ce qu’avaient réfuté les services consulaires français il y quelques semaines.
L’ambassade de France à Alger a néanmoins décidé de lancer une procédure pour les demandes urgentes afin de régler le problème des cas qui ne peuvent attendre. A cet effet, «les personnes qui disposent déjà d’un rendez-vous obtenu auprès de TLS Contact, mais qui doivent l’avancer pour raison impérative peuvent adresser une requête, par courrier électronique, à l’adresse suivante : visas.alger-cslt@diplomatie.gouv.fr». Ces demandes «doivent présenter un caractère humanitaire ou médical, professionnel ou relevant des obligations internationales de la France». Des justificatifs sont donc nécessaires.
algerie-focus.com
De tous les gâteaux traditionnels, le baklava continue à exciter les papilles des gourmands. Si le baklava se prenait en dessert, autrefois, il est aujourd’hui le roi des gâteaux de fêtes traditionnelles et/ou religieuses, en Algérie. Ce gâteau riche qui trône les tables festives des pays balkaniques, moyen-orientaux, maghrébins et même chez les géorgiens, les arméniens et les chypriotes, a des origines assez méconnues.
Selon certaines recherches, les origines de cette pâtisserie se situeraient soit en Asie Centrale, soit en Syrie et c’est à l’époque byzantine que son commerce et sa recette ont été répandus. Son berceau se situe à Gaziantep, une préfecture de la province portant le même nom, située au Sud-est de l’Anatolie et au Nord-ouest de la Mésopotamie et pas loin de la Syrie. D’ailleurs, le mot « baklava » serait d’étymologie moghole selon l’Oxford Dictionary of English, ce qui renforce la thèse centrasiatique turque.
Chez les Ottomans, les premières traces écrites du baklava remontent à 1473 c’est-à-dire au conquérant d’Istanbul, Mehmet II.
A l'origine, es couches de pâte qui le forment sont au nombre de 33, en référence aux années de vie de Jésus Christ. Sa forme actuelle a été fixée dans le palais de Topkapi, à Istanbul.
En Roumanie, le baklava est introduit au XVIIIe siècle, en même temps que le nougat et le rahat (la fameuse halqouma) par les phanariotes (des aristocrates de confession chrétienne orthodoxe regroupés dans le quartier du Phanar, à Constantinople). Ce gâteau est préparé pour le jour de l’an et de l’été, en Roumanie.
La préparation de cette pâtisserie varie selon le terroir du pays. En Turquie, par exemple, au vu des milliers des noisetiers qui y prolifèrent, la farce du baklava est faite à base de noisettes, et ainsi change d’ingrédient d’un pays à un autre. En Tunisie, le baklava est parfois fait avec un mélange de fruits secs : noix, noisettes, amandes, noix de cajou … Il arrive de trouver, comme en Algérie, les morceaux de Baklava piqués d’une amande au milieu. Ceci n’est pas spécialement pour décorer, même si ça rajoute au prestige du gâteau, mais cette amande est là, également pour maintenir les feuilles de pâte au dessus de la farce. Aussi, une fois cuit, le baklava est arrosé au miel ou au sirop de sucre, comme en Tunisie et en Grèce.
Sources :
https://babzman.com
www.turquie-news.com/http:/
www.lesjoyauxdesherazade.com/
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