Salon TEXSTYLE-EXPO au CIC 22 Février 2020 Salons § Foires
L’événement incontournable pour créer et renforcer vos relations Commerciales et pour investir dans le textile et le Cuir en Algérie.
Du 25 au 27 février 2020, au nouveau centre des expositions C.I.C d’Alger la capitale, les métiers majeurs à destination de développement du secteur du Textile, cuir, habillement, équipements et la Mode se donnent rendez-vous au TEXSTYLE-EXPO en Algérie , un pays qui se situe sur la Méditerranée et représentant la porte de l’Afrique avec ses potentialités en matière de flux d’investissements et de commerce, d’innovation croissante dans la mode et la forte consommation dans le secteur .
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Le couscous à la lavande sauvage est une spécialité puisée du centre d’Alger et de ses environs, comme Blida, Cherchell et Médéa. C’est une façon de fêter le printemps avec ce mets tant apprécié par tous les Maghrébins quelle que soit leur région. La particularité de ce couscous, c’est qu’il est préparé avec cette fleur sauvage qu’est la lavande au parfum fort mais très agréable (el helhal), un plaisir doux et amer, et comme dit lla Fifi, cette Algéroise de 82 ans, «li maâdjbouch el hal ychem el helhal (celui qui n’est pas satisfait, qu’il sente la lavande).
C’est avec nostalgie que lla Fifi nous évoque cette spécialité qui tend à devenir désuète. Sans vouloir dénigrer les femmes modernes, elle nous explique : «Il faut dire aussi que sa préparation demande un peu plus de temps qu’un rôti qu’on jetterait dans une cocotte-minute ou dans un cuiseur et qui est prêt en 20 minutes. Et puis il y a tout un rituel autour.
A l’époque, les familles de La Casbah ou d’autres quartiers où était concentrée la population arabe, comme Belcourt par exemple, vivaient dans un système communautariste ; l’entraide était de mise. De plus, c’était une occasion pour toutes les femmes de célébrer un évènement : le printemps après un long et rigoureux hiver.
C’était aussi une manière de couper avec la monotonie. Il y régnait une ambiance particulière comme pour fabriquer la rechta qui, faut-il le souligner, se faisait au rouleau. Les femmes se réunissaient dans la cour (ouest eddar) et s’adonnaient à la besogne dans la joie et la bonne humeur. Revenons à notre couscous, il faut d’abord se procurer les bouquets de lavande.
A l’époque, c’étaient des vieux en général qui les vendaient au marché, fraîchement cueillis des montagnes de Chréa, dans l’Atlas blidéen, et ceux qui avaient la chance de cultiver la lavande sur leur terre, vous ne pouvez imaginer leur plaisir de choisir eux-mêmes les bouquets.
«Une fois les bouquets réunis, les femmes ôtaient soigneusement les fleurs bleues, et dans le pilon, elles les écrasent avec un peu d’eau. On peut aussi les frotter entre les mains pour en dégager les pétales.»
Je me souviens pour la petite histoire : j’avais environ 10 ans, quand une amie de ma mère, tata Baya, une dame généreuse, belle, aux yeux bleus azur, venait de Boufarik nous rendre visite. C’était elle qui nous annonçait le printemps.
Elle portait dans son couffin, en plus des friandises pour les enfants qu’elle n’oubliait jamais, cette lavande au parfum enivrant qu’on sentait avant même de la voir. Je savais que ce jour-là, il y aurait au menu du couscous bel helhal. C’était un rituel, chaque début de printemps on avait droit à nos bouquets qu’elle cueillait elle-même, et cela a duré jusqu’à sa mort. Ma mère en conservait quelques-uns qu’elle gardait au frais pour tenir toute la durée du printemps. Elle disait à ma mère : «Je t’ai apporté ta part de helhal, je voudrais manger de ta main un bon couscous, tu es la spécialiste.» En l’évoquant, lla Fifi n’a pu s’empêcher d’essuyer une petite larme au coin de l’œil.
«Il faut dire aussi que sa préparation demande un peu plus de temps qu’un rôti qu’on jetterait dans une cocotte-minute ou dans un cuiseur, et qui est prêt en 20 minutes.»
«Une fois les bouquets réunis, les femmes ôtaient soigneusement les fleurs bleues et dans le pilon, elles les écrasaient avec un peu d’eau. On peut aussi les frotter entre les mains pour en dégager les pétales. Aujourd’hui, à l’ère de l’automatisme, on peut utiliser le mixeur.» C’était une joie à l’époque, par une journée printanière et ensoleillée, de déguster ce couscous fumant accompagné de petit-lait, nous raconte lla Fifi. En général, quand il est préparé pour la première fois et pour marquer l’évènement, les voisines sont invitées à la fête.
La maisonnée embaume alors l’odeur de la lavande et chatouille les papilles de ses habitants. «Et c’est autour de la sahfa que les femmes, profitant du midi où les hommes sont affairés dehors, apprécient en toute liberté leur couscous à l’extérieur des ghrouf (chambres). La lavande étant amère, et malgré son mélange avec le sucre, est peu ou pas appréciée par les enfants, c’est un plat destiné plutôt aux adultes. On ne peut parler de cette petite plante sans évoquer ses vertus. Elle est antispasmodique, diurétique et aide aussi à nettoyer l’organisme d’une manière naturelle.»
RECETTE :
Prenez les bouquets de lavande, lavez-les soigneusement, puis ôtez délicatement les pétales car ils sont fragiles. Passez-les au mixeur, ou à défaut, frottez-les entre les mains pour les libérer. Les fleurs mixées peuvent être congelées dans des boîtes hermétiques jusqu’à 12 mois. On utilise environ une mesure de fleurs mixées pour deux mesures de couscous. Mais les mesures ne sont pas figées, on peut les changer selon le goût de chacun ; il y en a qui aiment que dans le mélange il y ait plus de lavande, d’autres pas. Mais à force d’en préparer, on arrive à adopter les bonnes doses. La mesure de sucre qui sera ajoutée juste avant de servir est laissée à l’appréciation de la maîtresse de maison.
Cuisson
* Mélangez les fleurs mixées en prenant le soin de les mouiller après la deuxième étape de la cuisson du couscous, ensuite remettre le mélange à cuire une troisième fois à la vapeur.
* Une fois le couscous bien cuit, le verser dans une sahfa( djefna) ou un plat creux à votre convenance. Arrosez de beurre que vous aurez fait fondre au préalable dans une casserole à feu doux (c’est plus pratique, ça vous évite d’écraser le beurre qui mettra plus de temps à fondre).
* Le beurre peut être remplacé par de la margarine, du smen, ou de l’huile d’olive nouvelle. Saupoudrez enfin de sucre glace ou de sucre cristallisé.
* Servir chaud, accompagné de petit-lait ou de lait caillé.
source : le soir d'Algérie
Pourquoi les aliments riches en fibres peuvent vous aider à maigrir ?
Les fibres alimentaires que l’on retrouve dans les fruits, les légumes, les grains entiers, ainsi que légumineuses, sont connues pour leur capacité à prévenir ou à soulager la constipation, baisser le risque des maladies cardio- vasculaires, et prévenir le risque de diabète.
Et surtout, l’un des avantages majeurs de ces précieuses fibres dans le cadre d’un régime, consiste en leur capacité à favoriser la perte de poids grâce à leur faible teneur en calories, et leur facilité d'absorption et de digestion par le corps.
Comment ça fonctionne ? On vous explique tout :
- Lesaliments riches en fibres prennent un certain temps à être mâchés correctement, on mange plus lentement, donc on mange moins.
- Sa richesse en fibres, réduira la sensation de faim en restant dans votre estomac plus longtemps qu’un autre aliment, ce qui ralentit la vitesse de digestion et vous permet de vous sentir rassasié plus longtemps.
- Les sources de fibres comme les légumes ou les fruits sont réputées pour être les moins riches en calories.
- Une consommation fréquente d’aliments riches en fibres réduit le stockage des calories et facilite l’évacuation par les selles d’une partie des graisses du repas.
En conclusion les fibres aident non seulement à perdre du poids mais aide également à garder la ligne de manière durable.
ED
De prime abord, difficile de distinguer clairement ce qui différencie le son d’avoine du flocon d’avoine. Pourtant, même si les deux produits proviennent effectivement de la même graine, ils ne possèdent pas les mêmes propriétés ni les mêmes caractéristiques.
Un point sur le flocon d’avoine et le son d’avoine
La confusion entre le flocon d’avoine et le son d’avoine est fréquente. Pourtant, la première différence entre les deux produits est simple. Les flocons d’avoine sont obtenus grâce aux grains d’avoine entiers qui sont nettoyés, cuits à la vapeur puis concassés mécaniquement. Le son d’avoine, lui, correspond à l’enveloppe qui entoure le grain d’avoine.
Différence entre le flocon d’avoine et le son d’avoine : les calories.
Le flocon d’avoine est riche en glucides. Il est, par conséquent, naturellement plus calorique que le son d’avoine. Ce dernier sera donc plus spécialement conseillé dans le cadre d’un régime amincissant. Mais ce n’est pas là son seul avantage : il réduit l’assimilation des sucres dans l’organisme, il apporte une sensation de satiété quasi immédiate et il permet également de réduire notablement le taux de mauvais cholestérol.
Le flocon d’avoine, plus pauvre en fibres que le son d’avoine
Le son d’avoine contient plus de fibres que le flocon d’avoine. Il peut donc parfois être difficile à digérer. Aussi, il est conseillé aux personnes souffrant de troubles digestifs (ballonnements et flatulences, entre autres) de limiter la consommation de son d’avoine à de petites quantités occasionnelles.
source : topsante.com
« Le monde de l’art n’est pas fait que de créateurs. Il existe en grande partie aussi grâce au commerce. De même, les œuvres d’art doivent pouvoir être montrées dans un but éducatif mais également, tout simplement, pour exister dans le regard du public. Aujourd’hui, ces deux dimensions sont en pleine expansion. L’art se vend, l’art se montre, et les métiers en rapport, bien que difficiles d’accès, sont passionnants. » Antoine Teillet
Ll’association sauvons la Casbah d’Alger et son appendice artistique l'atelier N.A.S organisent une rencontre intitulée « Les discussions des arts » qui vise à réunir les acteurs du secteur de l’art, en Algérie, au centre des arts et de la culture, Bastion 23, le 19 Avril 2018 à partir de 17h00.
Dans une ambiance détendue, les discussions aborderont cinq thèmes principaux :
− La Formation Artistique,
− Le Commissariat d’exposition,
− La cote d’un artiste ?
− La conservation des œuvres,
− Le marché de l’art en Algérie.
Les objectifs de cette rencontre sont d’ouvrir le débat sur le secteur de l’art en tant que secteur économique à part entière ; Et de questionner les expériences, les attentes et les objectifs des différents acteurs de ce secteur. Ainsi, à la fin de la rencontre, une liste de recommandations citoyennes et concertées seront transmises au Ministres de la Culture, afin d’esquisser une stratégie de création d’un marché de l’art, en Algérie.
Sont invités à cet évènement les enseignants de l’école supérieure des beaux arts d’Alger, les galeristes, les conservateurs de musées publics, les artistes, les collectionneurs d’art, des représentants des ministères de la culture, du Travail, du commerce, du tourisme, et de l’enseignement supérieure.
La rédaction
Astuce en image : comment bien préparer votre organisme à l'arrivée de l'hiver !
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.