Atelier de fabrication de jeux éducatifs 08 Mars 2020 Sorties pour enfants
Un atelier de fabrication de jeux éducatifs est lancé pour deux jours (16 mars et 17 mars 2020 de 8h à 16h ) en direction des éducatrices ,éducateurs,parents , nourrices et toute personnes impliquées dans la petite enfance.
Lieu :22 chemin d'hydra el biar Alger (maison diocésaine).
Coût : 3000DA ( pause café inclue)
inscription et renseignement :021 79 08 07/0778171932
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Un chercheur algérien, Said Bouhalal, de l’université de Sétif a mis au point une technique qui consiste à régénérer les déchets en plastique à leur état initial en grains de polymères, a indiqué mercredi 17 mai 2017 le directeur général du Centre national de développement des énergies renouvelables (CDER), Noureddine Yassa.
Il 'agit d’une opération de transformation et non pas de recyclage, permettant de régénérer des tonnes des déchets en plastique à la phase initiale de la matière première, à savoir la polymère, une matière essentielle dans l’industrie de plastique, a-t-il précisé sur les ondes de la radio nationale.
Cette solution permettra également de préserver l’environnement et les ressources conventionnelles, a-t-il précisé.
Selon lui, 95% des déchets en plastique dans le pays finissent par êtres incinérés, ce que dégage des émissions "très nocives" pour la santé, l’environnement et notamment la couche d’ozone, et provoque des dégâts sur les écosystèmes. "Mais avec cette technologie innovatrice, les déchets en polymère peuvent être régénérés sans externaliser du pétrole", a-t-il fait savoir
Pour rappel, le directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l`Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Hafid Aourag, avait considéré cette innovation comme solution qui va révolutionner le monde des énergies renouvelables, avançant que cela offrirait une alternative fiable et rentable sur les volet économique et environnemental.
source : huffpostmaghreb.com
Les ingrédients pour 4 convives :
Riz basmati : 400 grammes
Carottes : 3
Courgette : 1
Poivron rouge : 1
Oignon jaune : 1
Bouillon de légume : ½ litres
Eau : 600 millilitres
Huile d’olive
Sel et poivre du moulin : à votre guise
La préparation :
1/ Émincez très finement votre oignon et réservez.
2/ Lavez votre courgette et coupez-la en très petits dés en conservant la peau.
3/ Épluchez carotte et poivron, puis coupez-les en petits dés. Plus les morceaux sont petits et mieux ce sera, à la fois pour la sensation en bouche mais aussi pour l’homogénéité de la cuisson.
4/ Préparez votre bouillon dans une casserole à part en mélangeant l’eau et votre ½ cube.
5/ Dans une grande poêle sauteuse, versez de l’huile d’olive et faites blondir l’oignon quelques minutes à feu moyen.
6/ Ajoutez ensuite les carottes, mélangez bien. Laissez cuire 2 minutes, puis ajoutez le poivron et les courgettes. Mélangez de nouveau et laissez revenir 2 minutes.
7/ Incorporez le riz en mélangeant bien. Les grains doivent devenir translucides.
8/ Versez alors votre bouillon, et couvrez en remuant régulièrement jusqu’à absorption totale du liquide par le riz et les légumes. Goûtez, et ajoutez de l’eau si nécessaire pour finaliser la cuisson.
Le Fayet club organise une soirée familiale spécial enfants le vendredi 21 juillet 2017 à partir de 19 h jusqu'à 00:00 .
Programme :
Jeux a volonté aux enfants .
Clown
Karaoké enfants .
Projection film pour enfants Au menus :
1: Rechta poulet avec navet et pois chiche .
2: Pack pour enfant : chee's.boisson .fritte.
3: brochettes : poulet mariné .merguez .
4: pizza .
Pour toutes réservations veuillez nous contacter au :
0542 778 057
0770912338
Les pesticides sont un réel danger pour notre alimention, les légumes et fruits BIO n’étant pas produits en Algérie, se pose alors un vrai problème de santé publique.
Car contrairement aux idées reçues, nos agriculteurs utilisent bien des pesticides pour protéger leurs terres , leurs fruits et légumes, nous entendons souvent dans les marchés, des vendeurs de légumes clamer haut et fort, « c’est du bio Madame » malheureusement, pas si sûr, car certains marchand ne savent pas faire la différence entre un produit bio et produit non bio.
Rappelons qu’un aliment peut-être naturel sans forcément être bio, prenons l’exemple de l’huile d’argan, certes c’est un produit naturel mais pas nécessairement bio, il aura la certification BIO si l’agriculteur qui possède l’arganier n’a pas versé des pesticides, ou herbicides chimiques, afin d’éloigner les pucerons, les mauvaises herbes et les insectes pour protéger son champs et ses arbres.
Là ou le marchand de légumes peut avoir raison c’est qu’effectivement lorsque les légumes qu’il produit, achète ou vend n’ont pas été exposés à des fertilisants artificiels ou hormones de croissance, car le prix n’aurait jamais été le même, la forme et la couleur des fruits et légumes également.
Observez bien les fruits et légumes importés, ils ont tous le même calibre, la même forme, mais malheureusement sans aucun goût.
Rappelons-le, nos fruits et légumes sont délicieux, gorgés d’eau et de soleil, pas étonnant que des émigrés venant d’Europe emportent avec eux dans leurs valises, des tomates, des oignons, et des poivrons ;-).
En attendant la commercialisation des fruits et légumes BIO, voici comment éliminer les pesticides de légumes et fruits :
L’eau salée :
Le lavage à l’eau salée, éliminerait la plus plupart des résidus de pesticides, mais pour vous faciliter le travail, brosser bien les aliments à l’aide d’une petite brosse souple avant, puis tremper 3 min les fruits ou légumes dans de l’eau salée.
Bicarbonate de soude :
Le bicarbonate de soude est un précieux allié pour venir à bout des pesticides, surtout pour les fruits et légumes de grande tailles tels que : les pommes, les aubergines, les poires, et les poivrons.
Voici la recette : mélangez une cuillère à soupe de bicarbonate avec une cuillère à café d’eau, imprégnez votre brosse avec ce mélange, puis brosser soigneusement vos légumes ou vos fruits.
Pour les petits fruits tels que : les fraises, les raisins, ou les cerises…mélangez dans une casserole, un litre d’eau et une cuillère à café de bicarbonate, et laissez les fruits tremper durant 10 min. Toujours bien rincer les légumes et fruits, puis les sécher.
Le vinaigre :
C’est l’une des astuces les plus connues, et l’une des plus faciles, mettez une mesure de vinaigre, pour deux mesure d’eau dans une casserole. Faites tremper les fruits ou légumes de votre choix dans ce mélange durant 15 min, frottez bien avec une petite brosse pour enlever le reste des impuretés, puis rincez à l’eau froide pendant 15 secondes.
ED
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Le pouvoir d’achat en érosion continue, 32 000 DA le salaire moyen en Algérie
Selon l’économiste Abdelmalek Serrai, le salaire moyen en Algérie est estimé actuellement à 32 000 DA. Alors qu’une famille composée de cinq membres dépense en moyenne près de 60 000 DA.
L’expert en économie, Abdelmalek Serrai, met en exergue l’écart important entre le coût de la vie et les salaires moyens des Algériens. Selon lui, le salaire moyen des Algériens reste trop » faible « .
Pour lui, l’écart avec le salaire actuel « devient exorbitant » lorsqu’on prend en compte les dépenses vitales estimées à plus de 50 000 DA et « indispensable à une famille pour vivre décemment et préserver ainsi la dignité et la santé de ses six membres ». En tout, l’Algérien devrait percevoir, au minimum, un salaire de 55 000 DA pour pouvoir répondre aux besoins élémentaires de sa famille.
» La réduction de cet écart est plus que jamais nécessaire pour réduire la fracture sociale, source d’instabilité et de perturbations », précisera t-il. En revanche, l’augmentation des salaires n’est pas une solution suffisante pour améliorer le pouvoir d’achat, tant que l’économie algérienne est dominée par l’importation et la spéculation qui se fait au plus grand niveau. Selon ses dires, les augmentations n’auront aucun avantage sur le pouvoir d’achat des Algériens tant l’inflation continue à mettre à rude épreuve tout les efforts de l’Etat.
» Malgré l’augmentation du SNMG de 14% entre les années 1990 et 2013, l’inflation et la dévaluation » secrète » du dinar ont » absorbée « , toutes les augmentations et ont consacré l’érosion du pouvoir d’achat, explique-t-il. Selon l’économiste, le gouvernement est tenu de réaliser au plus vite des marchés de proximité et de gros afin de mettre fin au grand problème de distribution et, au même temps, renforcer ses missions de contrôle et de surveillance afin de freiner la spéculation sur tous les produits de consommation. Invité de l’Union générale des commerçants et artisans algériens (UGCAA), Abdelmalek Serrai a en outre dressé un constat de la rentabilité du travail dans notre pays.
La productivité algérienne reste insuffisante pour soutenir la croissance, souligne l’économiste estimant que la productivité moyenne du travail est trop faible au cours des dernières décennies. Cela tient avant tout à une insuffisance de productivité horaire. La rentabilité de multiservice est trop faible. Elle est estimée à 0,2%, souligne l’économiste. L’absentéisme et le non-respect de la réglementation du travail sont un véritable souci de rentabilité comme en témoigne la situation qui prévaut pendant les périodes creuses comme l’été et le ramadan. » L’Algérien ne travaille pas selon les normes internationales.
Pour garantir une rentabilité moyenne, il faut au moins 173 heures de travail par mois à plein temps « , précise M.Serrai, soulignant que le travailleur algérien est mieux payé dans le secteur public que dans le privé. Et qu’il est beaucoup mieux loti quand il travaille dans les industries extractives et les hydrocarbures que dans la construction, et les travaux publics. Selon l’économiste algérien, Abdelmalek Serrai, les dernières statistiques donnaient un décalage très prononcé entre celui du secteur public où il était de 45 000 dinars contre 26 000 dinars dans le secteur privé, soit un écart de 19 000 dinars.
Selon l’expert en économie, le secteur le mieux payé est celui des hydrocarbures avec un salaire moyen de 85 000 da. Et le secteur le sous payé est celui du BTPH (bâtiment, travaux publics et hydraulique) avec un salaire moyen ne dépassant pas les 24 000 da. Pour sa part, Boulnouar Hadjtahar, porte parole de l’Ugcaa relève également que nos opérateurs ne maîtrisent pas le marché de l’importation, d’où les surcoûts sur certains produits stratégiques. Selon lui, 20% de la valeur de l’importation est » fictif « .
» 20% des prix de l’importation des produits constitue de fausses dépenses, que l’Algérie pourra gagner pour son économie « , expliquera t-il. Le plus préoccupant, souligne-t-il, est l’émergence de puissants monopoles qui engendrent la spéculation sur les prix des produits.
Source : lesdebats.com
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.