Salon International De L'environnement à la Safex 08 Mars 2020 Salons § Foires
SAFEX -Société Algérienne des Foires et Exportations- organise le salon International De L'environnement du 9 au 11 mars 2020
NB : Nous nous excusons de ne pouvoir donner plus amples informations sur le salon.
Article recommandé
- Remplissez une grande casserole d’eau.
- Ajoutez des légumes (oignons, carottes, céleri), des os de poulet, de bœuf ou de poisson, du poivre et des herbes.
- Portez à ébullition, puis laissez mijoter.
- Retirez l’écume qui s’accumule à la surface du bouillon.
- Passez le bouillon au tamis pour retirer les os, les légumes et les herbes.
- Laissez le bouillon refroidir au réfrigérateur et retirez-en les matières grasses solides. Vous pourrez utiliser ce savoureux bouillon pour faire de la soupe.
- Coupez les légumes frais de la même taille pour qu’ils cuisent uniformément. Si vous avez des légumes frais ou congelés, mettez-les dans le bouillon dès le début de la recette.
- Si en revanche vous avez des légumes-feuilles ou en conserve ou encore des restes de légumes cuits, mettez-les dans le bouillon en fin de cuisson pour éviter de trop les faire cuire.
- Lorsque les légumes sont tendres, réduisez-les en purée. Vous pouvez aussi les laisser tels quels si vous préférez les soupes avec de gros morceaux de légumes.
- Si votre viande n’est pas cuite, mettez-la dans le bouillon dès le début de la recette. Si vous avez des restes de viande cuite, attendez plutôt en fin de cuisson.
- Les lentilles sèches cuisent rapidement : elles peuvent donc être ajoutées en fin de cuisson.
- Les pois chiches et les haricots secs prennent plus de temps à cuire. Préparez-les d’avance et ajoutez-les au bouillon en fin de cuisson.
- Ajoutez les haricots, les lentilles et les pois chiches hyposodiques en conserve en fin de cuisson.
- Les œufs et le tofu cuisent rapidement : vous pouvez donc les ajouter au bouillon à la fin de la recette.
- Ajoutez des produits à grains entiers comme de l’orge, du quinoa ou du riz brun, ou encore des pâtes à grains entiers en forme de petites coquilles.
- Ajoutez les produits céréaliers non cuits dès le début de la recette. Si vous avez des restes de produits céréaliers cuits, attendez plutôt en fin de cuisson.
- Étant donné que les produits céréaliers comme les pâtes, l’orge et le riz absorbent beaucoup de liquide, pensez à rajouter du bouillon dans la casserole.
- Mettez plus de légumes dans votre soupe que de viande ou de produits céréaliers.
- Ajoutez les herbes fraîches à la toute fin de la cuisson.
- Pour obtenir une soupe crémeuse, ajoutez du lait à votre bouillon. Versez-le après la cuisson des légumes, lorsque ceux-ci sont tendres, puis baissez le feu : il ne faut pas que le lait bouille.
- Garnissez vos soupes de tranches d’avocat, d’herbes fraîches hachées, d’une touche de pesto ou de croûtons à l’ail maison.
- Limitez la quantité de sodium. La sauce de poisson et la sauce soya sont riches en sodium : utilisez-en moins que ce qu’indique la recette. De même, utilisez des oignons et de l’ail plutôt que du sel d’oignon et du sel d’ail.
- Limitez la quantité de matières grasses. Préférez le lait évaporé en conserve ou le lait entier à la crème 35 %. Pour obtenir une texture crémeuse, réduisez, au moins partiellement, vos légumes en purée.
- Gagnez du temps. Préparez plus de soupe que nécessaire et congelez le surplus.
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Il n’y a rien de plus réconfortant que l’odeur et le goût d’une bonne soupe chaude. La soupe est un mets consommé dans le monde entier, et ce n’est pas pour rien! Il est moins coûteux de faire sa propre soupe que d’acheter celle du commerce, d’autant plus que la soupe maison est généralement meilleure au goût et pour la santé. Lorsque vous saurez comment cuisiner une soupe santé, vous pourrez déployer votre créativité en essayant divers ingrédients et épices.
Faire de la soupe, c’est facile!
1. Préparer le bouillon
Astuce : La fin de semaine, préparez une grande casserole de bouillon maison et congelez le surplus.
2. Ajouter beaucoup de légumes
Utilisez des légumes frais, congelés ou en conserve, ou encore des restes de légumes.
3. Ajouter des protéines
Ajoutez des morceaux de viande maigre, de poisson ou de volaille sans la peau. Vous pouvez aussi opter pour d’autres sources de protéines, comme des haricots, des lentilles, des pois chiches, du tofu ou des œufs crus préalablement battus.
4. Ajouter des produits céréaliers
Sept conseils futés du site : unlockfood.ca
Les avis des partis de l’opposition sont partagés sur la proposition faite, hier, par le vice-ministre de la Défense nationale et chef d’état-major de l’ANP, Ahmed Gaïd Salah, quant à l’application de l’article 102 de la Constitution pour faire partir le président Bouteflika. Si certains d’entre eux qualifient cela d’avancée tout en réclamant des mesures complémentaires, d’autres crient carrément au coup d’état.
RCD : “Un coup d’État contre le peuple”
Le Rassemblement pour la culture et la démocratie a qualifié hier de “coup d’État” la suggestion du chef d’état-major des forces armées, Ahmed Gaïd Salah, d’appliquer l’article 102 de la Constitution pour dénouer la crise profonde qui secoue le pays. Pour cette formation, l’appel de Gaïd Salah, qui a jugé “nécessaire, voire impératif d’adopter une solution (…) stipulée dans la Constitution dans son article 102”, prend les relents d’un coup d’État. “Gaïd Salah tente un coup d’État contre la volonté populaire. Cet homme est partie prenante de nos malheurs, il ne peut aucunement être la solution”, souligne Yacine Aissiouane dans une déclaration publiée sur sa page facebook. Selon lui, le recours à l’article 102 vise à “sauver le régiment”. “Il ne s’agit plus pour eux de sauver le soldat Bouteflika, mais d’organiser le sauvetage du régiment.” “Ceux qui se sont rendus complices, par leur trahison légendaire, auront à répondre de leurs actes ignobles devant le tribunal de l’histoire. Ils veulent une passation de consignes à l’intérieur du même système”, soutient-il encore, avant de rappeler l’exigence du parti qui fait écho aux aspirations du peuple algérien qui manifeste en masse depuis le 22 février dernier. “Nous exigeons une transition démocratique qui pose les fondations de l’Algérie nouvelle”, rappelle-t-il. À noter que le président du parti, Mohcine Belabbas, organise, aujourd’hui mercredi, une conférence de presse au siège du parti à El-Biar.
K. K.
Soufiane Djilali, président de Jil Jadid : “C’est un acquis, mais ce n’est pas la fin du parcours”
Réagissant à la proposition du chef d’état-major, vice-ministre de la Défense nationale, le général de corps d’armée Ahmed Gaïd Salah, Soufiane Djilali, président de Jil Jadid, a estimé qu’avec l’appel à l’application de l’article 102 de la Constitution, “nous sommes dans une nouvelle phase de la crise que nous vivons”. Il a rappelé que “les revendications du peuple étaient non au 5e mandat, pour le départ du système, mais aussi pour une Algérie libre et démocratique, soit une 2e République qui reconnaîtra la souveraineté du peuple”. “Le 5e mandat a été abandonné, le gouvernement d’Ouyahia est tombé, et de ce fait, les cercles du système sont tombés dans une crise. Aujourd’hui, c’est l’isolement du Président. C’est un pas, mais ce n’est pas la fin du parcours”, a encore dit M. Djilali, ajoutant que “les Algériens commencent à arracher des acquis” parce qu’ils “sont unis”. “La pression exercée sur le pouvoir commence à porter ses fruits”, a-t-il encore soutenu, indiquant qu’aujourd’hui, “nous sommes dans une nouvelle phase”. “Si la Constitution est appliquée à travers son article 102, c’est le président du Sénat qui prendra les rênes, avec le maintien du gouvernement et les institutions actuelles, et ils vont tenir des élections présidentielles sous leur houlette”, a dénoncé M. Djilali, estimant que ni le peuple et, encore moins, l’opposition n’accepteront cet état de fait. “Nous avançons pas à pas et nous devons maintenir la mobilisation et la pression sur le système”, appelle-t-il, soutenant que “vendredi sera un autre jour de mobilisation, donc soyons au rendez-vous pour assurer d’autres victoires”.
Mohamed Mouloudj
Hakim Belahcel, Premier secrétaire du FFS : “Un coup de force contre la volonté populaire”
Le tout nouveau premier secrétaire du Front des forces socialistes (FFS), le Dr Hakim Belahcel, a qualifié l’appel lancé par le chef d’état-major de l’ANP, Ahmed Gaïd Salah, à l’application de l’article 102 de la Constitution contre le président Bouteflika, de “grave atteinte à la dignité du citoyen” et de “coup de force contre la volonté populaire”. “C’est encore un coup de force contre la volonté populaire, sur la légitimité des revendications du peuple, à savoir le départ du système et de ses hommes, et pas seulement du chef de l’État”, dénonce le Dr Belahcel dans un communiqué. Et d’enchaîner : “L’option de l’application de l’article 102 de la Constitution n’est pas la solution demandée par le peuple algérien, l’armée vise à étouffer le mouvement populaire et à permettre au système de se pérenniser. L’article 102 ne répond plus aux revendications du peuple algérien, le peuple veut contrôler son destin, prendre en charge son avenir, un avenir de libertés, de justice sociale, de dignité.” Pour le premier secrétaire du FFS, la décision de Gaïd Salah est la preuve que “l’institution militaire ne s’est pas retirée du politique” et “s’ingère, encore une fois, dans le processus constitutionnel, et ne répond pas aux revendications du peuple algérien qui demande le changement du système, et non un changement dans le système”. Un changement qui, de l’avis du Dr Belahcel, “ne peut se faire en maintenant les instruments et les hommes qui incarnent le système”.
A. CHIH
Ali Benflis, président de Talaie el-Houriat : “Pour la satisfaction de toutes les revendications légitimes du peuple”
Premièrement, je saisis cette occasion pour saluer le peuple algérien dont la révolution pacifique a permis que souffle sur le pays le vent de la liberté et que l’Algérie prenne le chemin de l’édification d’une République démocratique et moderne et d’un État de droit respectueux de la souveraineté populaire, de la citoyenneté, des droits et des libertés. Deuxièmement, je retiens l’intention de l’ANP d’assumer son devoir patriotique en apportant sa contribution à une sortie de la crise actuelle, devenue d’une urgence extrême et de nature à épargner au pays une instabilité croissante porteuse de tous les dangers. Troisièmement, je prends note de l’engagement de l’ANP — selon sa propre déclaration — à apporter son soutien à un règlement “qui garantisse la satisfaction de toutes les revendications légitimes” du peuple algérien et “acceptable” pour tous. Quatrièmement, compte tenu de la situation exceptionnelle que vit notre pays, la mise en œuvre de l’article 102 de la Constitution n’est pas susceptible de constituer à elle seule une base — toute la base — pour le règlement de la crise. De ce point de vue, l’application de l’article 102 devra impérativement être adaptée de manière que soient respectées les conditions de transparence, de régularité et d’intégrité que le peuple réclame, afin de pouvoir exprimer son choix librement et sans contrainte et sans tutelle. Cinquièmement, je forme, de toutes mes forces, le vœu que le règlement de la crise actuelle fournira des bases saines et solides à la refondation future de notre système politique que notre peuple demande.
R. N.
Mouvement de la société pour la paix : “D’autres mesures doivent intervenir”
à l’issue de la réunion de son bureau exécutif, le Mouvement de la société pour la paix (MSP) a estimé que l’application de l’article 102 de la Constitution est une “proposition de solution”, mais celle-ci ne garantit pas “la réalisation des réformes, la transition politique et l’organisation d’un scrutin présidentiel honnête”. Pour la formation d’Abderrezak Makri, le rôle de l’Armée nationale doit être circonscrit à celui “d’accompagnateur, afin d’arriver à une solution politique et à un consensus national et de préserver le caractère civil de l’État”. Le MSP est d’avis que l’appel du chef de l’état-major de l’armée et vice-ministre de la Défense, Gaïd Salah, doit immédiatement être suivi de mesures qui répondraient aux autres revendications du peuple en prenant aussi en compte les propositions de sortie de crise de l’opposition, et ce, avant la confirmation de l’état d’empêchement par le Conseil constitutionnel. Le MSP cite la nomination d’un chef de gouvernement consensuel, la mise en place d’une commission indépendante d’organisations des élections, la révision de la loi électorale et l’élaboration et la promulgation de décrets garantissant l’indépendance de la justice, la protection des richesses nationales et l’ouverture du champ médiatique. En guise de pression pour atteindre ces objectifs, ce parti appelle à la poursuite de la contestation populaire, tout en préservant son caractère pacifique.
Nissa H.
Lakhdar Benkhellaf, député du FJD-El-Adala : “L’application du seul article 102 de la Constitution n’a pas de sens”
Le parti d’Abdallah Djaballah, le Front de la justice et du développement (FJD)-El-Adala, n’est pas satisfait de l’annonce faite hier par le chef d’état-major, Ahmed Gaïd Salah, appelant à l’application de l’article 102 de la Constitution visant à écarter le président Bouteflika du pouvoir. “C’est un non-sens. Nous ne sommes pas satisfaits car nous ne voulons pas qu’une personne, qui a géré et participé à l’exercice du pouvoir, puisse gérer la période de transition”, lance le député d’El-Adala, Lakhdar Benkhellaf. Pour lui, l’actuel président du Conseil de la nation, Abdelkader Bensalah, ne peut assurer l’intérim présidentiel pour deux raisons : la première est d’ordre juridique. “Le président de la 2e Chambre du Parlement n’a pu obtenir sa nationalité algérienne qu’en 1965.” La deuxième raison tient au fait que “le peuple refuse que les gens qui nous ont menés à l’impasse dans laquelle se trouve le pays aujourd’hui puissent gérer la période de transition”. La solution ? “Il faut appliquer les articles 102 et 07 de la Constitution qui donneront de larges prérogatives au peuple algérien pour choisir librement ses dirigeants”, propose M. Benkhellaf, qui a mis sur la table une autre proposition : la mise en place d’une instance constituée de personnalités propres pour gérer la période de transition.
source : Liberte-algerie.com
ALGER - Les candidats ayant obtenu une moyenne égale ou supérieure à 9/20 à l’examen du Baccalauréat, session 2020, seront admis "à titre exceptionnel", a annoncé dimanche le ministre de l’Education nationale, Mohamed Ouadjaout.
Dans une déclaration à la presse au siège de son département ministériel, M. Ouadjaout a précisé qu'il a été "décidé, en complément des dispositions de l'arrêté numéro 25 du 2 octobre 2007 fixant les modalités d’organisation de l’examen du Baccalauréat, modifié par l’article 23 bis, que tout candidat ayant obtenu une moyenne égale ou supérieure à 9/20 est considéré admis, à titre exceptionnel, à l'examen du Baccalauréat session 2020".
Cette décision intervient, selon le ministre, "en application des dispositifs et mesures exceptionnels relatives à l’organisation des examens scolaires session 2020, dans le contexte de la propagation de la pandémie de la Covid-19".
Les dispositifs consistaient, poursuit le ministre, en la suppression de l’examen de fin de cycle de l’enseignement primaire, le report des examens du brevet de l’enseignement moyen (BEM) et du baccalauréat, respectivement à la 2e semaine et à la 3e semaine du mois de septembre 2020, tout en limitant les sujets des épreuves aux cours présentés en présentiel lors du 1er et 2e trimestre.
Les mesures exceptionnelles portaient également, rappelle le ministre, sur le passage des élèves de la 4e année moyenne à la 1e année secondaire, tel que le stipule la circulaire ministérielle numéro 619 du 27 juin 2020 ainsi que les autres circulaires y afférentes, et ce, a-t-ajouté, afin d’accorder à nos enfants une chance de réussir dans leur parcours scolaire au vu de ce qu'ils ont enduré, plus de 8 mois durant, de pression psychologique sans précédent induite par le confinement à domicile, la rupture de la scolarité et par les conditions sanitaires difficiles que nous avons tous vécues, suite à la propagation du Coronavirus, a indiqué M. Ouadjaout.
Le ministre a fait savoir que "les résultats de l'examen du Bac session 2020 seront proclamés incessamment juste après les délibérations", souhaitant succès et épanouissement aux candidats de notre cher pays".
A cette occasion, le ministre a exprimé ses vifs remerciements à ceux qui ont contribué à la réussite des examens scolaires en cette conjoncture exceptionnelle, tous secteurs et institutions de l'Etat confondus, citant notamment les membres de la famille éducative et les partenaires sociaux, en l'occurrence les parents d'élèves, les associations et les syndicats, pour le rôle efficace, la performance singulière et les efforts déployés en ce sens.
Le nombre de candidats inscrits à l'examen du Bac, session 2020, s'est élèvé à 637.538 dont 413.870 candidats scolarisés et 223.668 candidats libres, répartis sur 2261 centres d'examen et encadrés par 192.300 enseignants. Le nombre de centres de compostage s'élève à 18 centres, contre 81 centres de correction où 48.000 correcteurs ont accompli leur devoir. aps
L'Astuce Toute Simple Pour recycle les pots de petits Suisse ! et bein c'est simple à défaut d'acheter un moule pour les glaçons, pensez à utiliser les pots de petits Suisse pour faire de gros glaçons.
Comment faire ?
1. Récupérez et bien laver les pots de petis suisse
. 2. Remplissez-les d'eau.
3. Mettez-les au congélateur.
4. Une fois congelé, démoulez le gros glaçon.
La planète vous dira merci :-)
Merci, votre commentaire a été ajouté avec succés.