Les Centres commerciaux de Bab Ezzouar d’Alger et d’Essania d’Oran ferment leurs portes 17 Mars 2020 Société Algérienne § Culture § économie
Les Centres commerciaux de Bab Ezzouar d’Alger et d’Essania ferment leurs portes devant leurs clients en raison du Coronavirus à partir de ce lundi 16 mars 2020.
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«La protection de l’enfance, une question cruciale qui concerne l’ensemble des citoyens, des institutions et les médias ont un important rôle à jouer», a indiqué, la déléguée nationale à la Protection de l’enfance, Mme Meriem Cheurfi.
S’exprimant jeudi en marge de la cérémonie de clôture d’une session de formation organisé au profit des membres du Réseau des journalistes pour le renforcement des droits de l’enfant, Mme Cheurfi a relevé l’importance de conjuguer les efforts en vue d’assurer une meilleure protection aux enfants contre la violence, l’exploitation et contre toute autre forme d’abus.
La présidente de l’organe national pour la protection des enfants a, dans ce contexte, annoncé la mise en service du numéro vert 1111 pour le signalement de toute forme de violence ou de maltraitance faites aux enfants. Elle a fait savoir que l’ONPPE a déjà commencé à recevoir les signalements sur son numéro vert sur la ligne mobile «Mobilis» dans le cadre d’un accord signé entre les deux parties, en attendant l’élargissement de l’opération à d’autres opérateurs de téléphonie mobile. «Une cellule composée d’équipes pluridisciplinaires formés de psychologues et de sociologues, veille à la réception des signalements concernant les atteintes aux droits de l’enfant» a-t-elle noté. Soulignant l’intérêt des pouvoir publics pour la protection de l’enfance, Mme Cheurfi a exprimé sa satisfaction quant à l’engagement des membres du Réseau de journalistes algériens à apporter leur précieuse contribution, à l’effet, d’assurer une meilleure protection aux enfants de l’Algérie. «Des progrès notables en matière de protection de l’enfance ont été accomplis en Algérie, tant sur le plan législatif que sur le plan institutionnel» a-t-elle expliqué, ajoutant que la loi sur la protection de l’enfance, promulguée en 2015 en est une preuve concrète.
La présidente de l’Organe qui a mis l’accent sur la nécessité de préserver cet acquis, a indiqué que le développement et l’épanouissement des enfants ne peuvent être assurés sans la garantie de leur protection contre toute forme de violence.
Organisée à l’initiative de l’Organe national de la protection et de la promotion de l’enfance (ONPPE), la formation de trois jours a été initiée en collaboration avec le bureau de l’Organisation internationale de la réforme pénale (PRI), pour la région Moyen-Orient et Afrique du Nord (MENA) et en coordination avec le ministère de la Communication. Encadrée par des experts algériens et étrangers, la formation a pour objectif de renforcer davantage les connaissances des journalistes, membres du réseau «ami de l’enfance», issus de différents supports médiatiques (presse écrite et de l’audiovisuel), sur les questions relatives aux droits de l’enfant. C’est également, une occasion de s’imprégner sur les modalités susceptibles d’assurer à cette frange de la société une protection effective, en se dotant des compétences en la matière.
Pour sa part, le directeur des projets au bureau de la PRI pour la région MENA, Mohamed Chabana, a indiqué que cette session de formation s’inscrivait dans le cadre de la convention de coopération conclue avec l’ONPPE à Alger en 2017, portant sur l’échange des expériences et l’accompagnement technique, notamment à travers les cycles de formation. M. Chabana a également salué les réalisations accomplies par l’Algérie dans le domaine de la promotion et de la protection des droits de l’enfant en se dotant d’importants moyens pour garantir à ses enfants cette protection. Selon le responsable, l’Algérie est le premier pays dans le monde arabe à avoir instauré une loi relative à la protection des droits de l’enfant (la loi 12-15), précisant que cette loi s’aligne parfaitement avec les principes de la convention internationale des doits des enfants. Et d’ajouter que la création de l’Organe national pour la protection et la promotion des enfants qui est placée sous la tutelle du premier ministre, est premier du genre dans le monde Arabe est une preuve concrète de l’intérêt qu’accorde l’Algérie pour l’enfance en général et ceux en situation de détresse en particulier.
De son côté, M. Madjid Hamdane, expert et membre de l’Organisation internationale de la réforme pénale, a mis l’accent sur la nécessité de former une presse spécialisée dans les questions liées à l’enfance, en s’orientant sur le préventif au lieu du curatif. «Les médias doivent avoir un rôle de prévention contre les dangers auxquelles sont confrontés les enfants», a-t-il signalé.
Pour sa part, Mme M’Barka Sakhri, expert juridique et conseillère à l’ONPPE a mis la lumière sur les modalités de prise en charge des enfants en situation de danger, en évoquant la protection judiciaire et sociale de ces derniers représenté par les services du milieu ouvert (SMO) implantés dans les 48 wilayas.
Il faut noter que le Réseau de journalistes algériens s’est fixé comme objectif de placer l’intérêt supérieur de l’enfant au-dessus de toute considération et à véhiculer la culture des droits de l’enfant dans la société.
source : elmoudjahid.com
Algérie : Quelle est la bonne attitude à adopter en cas de séisme ?
source : algerie-focus.com
Alors que le bilan s’alourdit après le violent séisme qui a secoué Alger tôt ce vendredi 1er août – 6 morts, 420 blessés et de nombreux dégâts matériels répertoriés à la mi-journée – voici quelques explications sur le phénomène géologique à l’origine de la catastrophe et quelques consignes à suivre s’il se reproduit.
Est-ce qu’un séisme comme celui de ce matin peut se reproduire?
Dans l’état actuel des connaissances scientifiques, il est impossible de prévoir le moment exact où va se produire un séisme. Le risque est plus élevé au nord de l’Algérie, même si des frottements intraplaques importants ne sont pas à exclure dans le reste du pays. De 80 à 90 secousses sont enregistrées en moyenne chaque mois par le Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG), la plupart de faible magnitude et non ressenties par l’homme.
Elles sont provoquées par des frottements entre les plaques eurasiatique et africaine au large des côtes algériennes. L’énergie s’accumule à l’endroit de leur confrontation, et se libère continuellement avec plus ou moins de violence. Un risque de tsunami semble toutefois à exclure, la faille étant située trop près du littoral et les magnitudes des séismes n’étant souvent pas assez élevées - épicentre à 19 kilomètres à l’est d’Alger et magnitude de 5,6 pour le séisme de ce vendredi 1er août.
Quelle est la bonne attitude à adopter en cas de séisme?
Les règles à respecter en cas de séisme sont simples. Si l’on est à l’extérieur, s’arrêter de conduire et s’éloigner des bâtiments. Si l’on se trouve à l’intérieur, se réfugier sous une table ou un bureau, éviter de s’approcher des fenêtres, et ne surtout pas sortir sur son balcon ou dans la cage d’escalier de son immeuble – la plupart des blessés du séisme de vendredi matin se trouvaient dans cette situation. Une fois les secousses terminées, il est essentiel de rassurer ses proches et de suivre les instructions de sécurité données par les autorités.
“On ne peut pas reprocher aux gens de n’avoir pas appliqué ces consignes ce matin”, estime le Dr Mohamed Hamdache, chercheur au CRAAG. “Le travail de prévention doit être effectué en amont pour ne pas qu’ils paniquent, mais la peur demeure une réaction naturelle de l’être humain.”
Pourquoi les dégâts ont été beaucoup moins importants qu’en 2003?
Pour ce scientifique, la catastrophe du séisme de 2003 à Boumerdès – qui avait fait plus de 2.200 victimes, 10.000 blessés et 119.000 sinistrés à Alger- a provoqué une vraie prise de conscience des autorités concernant les dangers liés au risque sismique. La capitale et ses environs ont été reclassés de zone 2 (activité moyenne) à zone 3 (activité forte), et le respect des normes anti-sismiques est devenu obligatoire pour toute nouvelle construction.
“On ne peut pas comparer la catastrophe de 2003 avec celle d’aujourd’hui car la magnitude du séisme était nettement plus importante [7,1 contre 5,6 ndlr], mais les premiers bilans montrent bien que d’importants progrès ont été réalisés pour limiter au maximum les dégâts”, conclut le Dr Hamdache.
L’Agence Algérienne pour le Rayonnement Culturel, en partenariat avec l’Institut Français d’Alger, organisent la seconde édition « Tipaza des Poètes », avec le soutien de la Direction de la Culture de la wilaya de Tipaza et de l’Office National de Gestion et d’Exploitation des Biens Culturels protégés (OGEBC).
« Tipaza des poètes » une rencontre entre poètes Algériens, Palestiniens et Français dans le cadre d’un échange entre les deux rives de la méditerranée.
Au programme, déclamation de poèmes sur fond musical et autres animations, tout cela dans un cadre agréable ; sur la place du Théâtre Antique, Site Archéologique de Tipaza.
- Habiba Djahnine (Poétesse Algérienne)
- Ahcen Mohammed Mariche (Poéte Algérien)
- Fouzia Laradi (Poétesse Algérienne)
- Mohamed Ali Deeb (Poéte Palestinien)
- Nadia A .M. Alhassanat (Poétesse Palestinienne)
- Liliane Giraudon (Poétesse Française)
- Maram âl Masri (Poétesse Franco-Syrienne)
Samedi 11 avril 2015 – 09h30
Place du Théâtre
Site Archéologique de Tipaza
Ouvert au public
crédit photo : mode-tendance-by-helline.fr
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