Astuce mode : sac tendance été 2020 16 Juin 2020 Mode § Tendance en image
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- Cassez le chocolat en petits morceaux et faites le fondre au bain marie jusqu’à ce que vous obteniez un mélange lisse.
- Ensuite, épluchez la courgette et râpez-la finement afin d’en extraire 200 grammes, sans l’égoutter.
- Séparez les blancs des jaunes d’œufs, et fouettez la stévia et les jaunes d’œufs avec un peu d’extrait de vanille.
- Ajoutez le cacao, la maïzena puis la moitié de la courgette râpée.
- Ajoutez le chocolat fondu et gardez-en pour la décoration (environ 3 ou 4 cuillères à soupe) puis ajoutez le reste de la courgette. Cette dernière remplace le beurre pour plus d’effet moelleux.
- Fouettez les blancs en neige puis incorporez-les délicatement au mélange en soulevant la pâte pour une texture aérée.
- Versez dans un moule antiadhésif et mettez au four pendant 30 minutes à 180°C. le gâteau sera enfin prêt et se démoulera facilement.
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20 grammes de cacao bio en poudre non sucré
30 grammes de maïzena bio
40 grammes de stévia
200 grammes de chocolat noir bio à pâtisser (entre 50 et 70% de cacao)
200 grammes de courgettes bio râpées
4 œufs biologiques
Un peu d’extrait de vanille
Préparation :
la librairie l arbre à dires organise une rencontre avec Ahmed TESSA sous le thème : Réformes enseignement français en Algérie: entre nécessité et urgence.
Pédagogues, universitaires, intellectuels et professeurs de langue réfléchiront ensemble sur la question des langues en Algérie et comment en tirer profit pour une meilleure formation de nos élèves et étudiants ?
RDV le 2 février 2019 à 15h (Accès libre )
Lieu :48 Bv Sidi Yahia Hydra
Les Algérois “fiers” et “heureux” d’habiter la capitale
Comme les Parisiens, les Algérois ne boudent pas leur plaisir de vivre dans une métropole, selon un sondage de l’institut français Ipsos.
Pollution, engorgement, logement… On aurait pu croire les Algérois impatients de quitter Alger, fatigués par les difficultés du quotidien. Il n’en est rien. Près de 9 Algériens sur 10 se sentent « heureux » en métropole, selon un sondage Ipsos commandé par Lafarge, leader mondial de la construction. Et ils sont autant à se dire « fiers » d’habiter en ville.
Un bonheur que partagent les habitants de Paris, Chicago, Rio de Janeiro, Bombay et Chongqing, également interrogés par l’institut Ipsos « C’est l’enseignement fondamental de notre enquête et il es sans appel : sur l’ensemble des 6 villes testées, près de 9 habitants sur 10 (87 %) sont heureux de vivre dans leur agglomération et près d’un sur deux (46 %) se dit même très heureux ! », estime Marcel Cabuz , directeur au sein du département innovation chez Lafarge.
Pourquoi les Algérois et les autres citadins sondés aiment tant leur ville ? Parce qu’ils apprécient sa beauté et son patrimoine historique. En second lieu, ils citent la faculté de se déplacer facilement et les opportunités d’emploi. Loin des idées reçues sur le mode de vie en ville, plus de deux tiers des personnes interrogées disent aussi ne pas souffrir de solitude.
Les citadins aiment leur ville et ne veulent pas la quitter. 80% des sondés ont le sentiment d’être dans « une ville choisie et non subie », explique encore Marcel Cabuz. L’attachement à leur ville est tel que, s’ils étaient contraints de déménager, près de 2 urbains sur 3 sondés affirment qu’ils resteraient dans la même agglomération. Il faut dire que l’air urbain rend optimiste. En effet, trois quart des individus interrogés par Ipsos ont l’impression que leur agglomération est en expansion, contre seulement un quart en déclin. Confiants en l’avenir, plus de 3 habitants sur 5 sondés sont persuadés que leur métropole plus « accueillante pour les considèrent nouvelles générations, plus respectueuse de l’environnement mais aussi plus belle ».
Optimistes mais pas naïfs. Les habitants des six villes testées par Ipsos sont conscients des défis que leur métropole doit relever. “La pollution et les nuisances sonores apparaissent parmi les principales améliorations attendues”, indique Marcel Cobuz. Si à Paris la préoccupation principale citée par 42% des habitants est la capacité à se loger, le manque de sécurité est la principale première source d’inquiétude pour les habitants de Rio (à 84%). Quant aux Chinois de Chongqing, ils redoutent surtout la pollution (73%).
source article : algerie-focus.com
source photo : aps.dz/
La Direction générale des impôts (DGI) a fait savoir, dans une note adressée aux services des impôts et fiscaux, que la nouvelle taxe sur les véhicules automobiles et les engins roulants, instituée aux termes de l’article 84 de la loi de finances 2020, sera payable une fois par an quelle que soit la durée du contrat d’assurance.
Cette taxe est « mise à la charge du propriétaire du véhicule ou de l’engin roulant (particuliers ou sociétés) », selon les dispositions de l’article 84 de la loi de finances 2020 ayant institué une taxe sur les véhicules automobiles et les engins roulants, indique la DGI.
La DGI a ajouté que les tarifs de cette taxe sont fixés comme suit : 1.500 da pour les véhicules de tourisme et 3.000 DA pour les autres véhicules et engins roulants, précisant que la taxe « est due à l’encaissement total ou partiel du montant du contrat d’assurance par l’assureur ».
A cet effet, la nouvelle taxe sur les véhicules automobiles et les engins roulants « doit être collectée par les assureurs lors de la souscription d’un contrat d’assurance », affirme la DGI.
S’agissant des contrats d’assurance dont la durée de validité est inférieure à une année, la DGI a expliqué que « le propriétaire du véhicule est tenu de présenter à chaque souscription d’un autre contrat d’assurance, le contrat initial au titre duquel la taxe est acquittée et ce, durant la période de validité de cette taxe ».
Elle a également rappelé que le produit de cette taxe est affecté, en vertu de l’article 84 de la loi de finances 2020, comme suit : 70% au budget de l’Etat et 30% à la caisse de solidarité et de garantie des collectivités locale.
La DGI a, en outre, demandé à ses services « une large diffusion » de sa note, ainsi qu’à « la veille de son application ».
algerie360
Préparation
Ingrédients (6 personnes)
Thym en poudre
Eau tiède
Sel, poivre
1 c à s de lait
1 c à s d'huile d'olive
100g d'olives noires et vertes
250g de farine
ÉTAPE 1 :
Mélanger la farine avec la levure.
Saler, poirer.
Faire une fontaine.
ÉTAPE 2 :
Ajouter le lait, l'huile, puis l'eau tiède et mélanger en tournant afin d'incorporer toute la farine.
Pétrir cette pate qui doit rester très souple.
Former une boule et faire lever sous un torchon plié pendant 1 heure environ.
ÉTAPE 3 :
Hacher les olives en petits morceaux.
Etaler la pate avec la main, répartir les olives, le thym.
Arroser d'un filet d'huile d'olive.
ÉTAPE 4 :
Rouler la pate très souplement pour former un pain.
Laissez encore lever une 1/2 heure.
ÉTAPE 5 :
Enfourner 10 à 15 minutes à four chaud 220°C.
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