
Bejamin Griveaux, porte-parole du gouvernement français, a fait savoir que le Conseil des ministres avait «brièvement» abordé mercredi matin la prochaine élection présidentielle algérienne.
Le porte-parole du gouvernement français a tenu à souligner qu’on avait «pris note de la décision du président Bouteflika de se porter candidat à l’élection présidentielle qui se tient en Algérie le 18 avril prochain»:
«On souhaite que cette élection se déroule dans les bonnes conditions en assurant la transparence de la campagne», a-t-il dit, qualifiant l’Algérie de «pays ami» et de «partenaire important auquel nous rattachent des liens d’une exceptionnelle densité».
«C’est au peuple algérien et à lui seul qu’il revient de choisir ses dirigeants, de décider de son avenir, et cela dans la paix et la sécurité », a-t-il ajouté, formant «le vœu que cette élection donne à l’Algérie l’impulsion nécessaire pour faire face aux défis qui sont les siens et pour répondre aux aspirations profondes de sa population».
De son côté, le journal Le Parisien, qui cite le journaliste et essayiste algérien Mohamed Sifaoui, révèle qu’Emmanuel Macron en personne aurait donné son accord pour un cinquième mandat de Bouteflika.
algeriemondeinfos.com
La fièvre des tablettes s’empare de l’Algérie
Depuis quelques semaines, le marché algérien des tablettes numériques semble connaître une expansion sans précédent. Qu’en est-il vraiment de cette “fièvre des tablettes”, et quelle est le lien entre l’augmentation des ventes et l’arrivée de la 3G ?
Il est à peine 9 H et déjà la foule se presse devant le magasin Ooredoo de l’avenue Didouche-Mourad, située à Alger-centre. Comme tous les jours depuis plus d’une semaine, des centaines de personnes attendent patiemment de pouvoir rentrer dans la boutique de l’opérateur téléphonique. Le mot « tablette » est sur toutes les bouches. La raison de ce soudain engouement ? Une promotion exceptionnelle proposée par Ooredoo jusqu’au 2 juillet prochain : une tablette offerte pour l’achat d’une offre 3G prépayée.
Des passants, étonnés, interrogent les acheteurs. À l’annonce de l’offre, certains s’arrêtent et viennent grossir la foule. D’autres, plus dubitatifs, passent leur chemin. Un homme s’exclame, atterré : « C’est sérieux ?! » Oui, très sérieux : la fièvre des tablettes s’est emparée des Algérois.
Un marché en pleine expansion
Depuis le lancement de la 3G en Algérie, le marché des tablettes a connu une expansion sans précédent. Le phénomène est trop récent pour être documenté statistiquement, mais il est constaté par tous les vendeurs. Redouane, vendeur au show-room Condor, le confirme : « depuis l’apparition de la 3G, il y a eu un boom des ventes de tablettes. C’est un marché extrêmement prolifique en ce moment. »
Mais quel rapport peut-il bien exister entre la 3G et l’augmentation des ventes de tablettes. Une étudiante rencontrée devant le magasin Ooredoo semble détenir la réponse. Si elle souhaite acquérir une tablette, « c’est pour la connexion internet» confie-t-elle. « Pour aller sur Facebook, » ajoute-t-elle avec un sourire. Comme la plupart des Algérois, elle possède un ordinateur. « Mais avec la 3G, la tablette acquière un avantage supplémentaire, » précise-t-elle. « On peut désormais se connecter partout, tout le temps», se réjouit notre interlocutrice.
La possibilité de se connecter facilement à Internet est également mise en avant par Saïd, vendeur chez Djezzy. « Les clients achètent des tablettes principalement pour se connecter à Internet, mais aussi pour regarder des films et prendre des photos, » explique-t-il.
Une gamme de produits diversifiée
L’avènement de la tablette en Algérie n’est donc pas le signe d’une révolution informatique majeure. Tout simplement, elle permet un accès facilité à des technologies existantes. Mais si l’utilisation est globalement identique chez tous les heureux détenteurs de tablettes, les choix d’achat varient en fonction du profil. « Les connaisseurs achètent la tablette Samsung, les débutants la tablette Condor, » explique-t-il. « Les premiers veulent un système d’exploitation rapide et performant, alors que les seconds décident surtout en fonction du prix ».
Or, les prix des tablettes varient du simple au double. Une tablette 10’’ de la marque Condor coûte 13900 DA. Pour un produit similaire, il faut débourser 44000DA chez Samsung. Redouane a une explication simple pour cette énorme différence. « La variation du prix n’a rien à voir avec la qualité, » assure-t-il, « elle est surtout liée à la marque. La preuve, les tablettes Condor et Samsung utilisent le même système d’exploitation, Androïd. Et c’est la même chose avec l’I-Pad, son prix n’est que le reflet de la valeur de la marque Apple ».
Mais tout le monde n’est pas du même avis. Une Algéroise parlait récemment d’une de ses amies qui avait acheté un I-Pad pour elle et une tablette Condor pour sa petite fille : « La qualité n’est vraiment pas la même. On peut comparer une tablette Condor et une tablette Samsung, mais toutes les deux n’ont rien à voir avec la rapidité, la facilité d’usage et la résolution d’un I-Pad», explique-t-elle.
En attendant, ce sont aujourd’hui les tablettes Ooredoo qui font un tabac. Les nouveaux propriétaires, le sourire aux lèvres, peinent à se frayer un chemin jusqu’au trottoir. À leur sortie, ils font l’objet de nombreux regards envieux. La frénésie ne fait que commencer.
source : focus-algerie.com

Nous partageons la même Terre et nous respirons le même oxygène.
Nous sommes l'humanité...mais l'humanité est scindée en deux...
L'office Riadh el Feth accueille le spectacle de danse J'écris ton Nom le 29 juin 2019 à la salle Ibn Zaydoun réalisé par ANTONNA chorégraphie signé : Samar BENDAOUD avec Tinhinane OUAR, Hanane BENGUERNANE, Wissem BOUDERIES, Mahfoud LEKHAL et Katia HADJ MESSAOUD.
A partir de 19h
Prix : 300 Da
D'aprés le site ALGÉRIEMONDEINFOS, Deux inconnus ont tenté de s’introduire aujourd’hui à l’intérieur de la cité universitaire de jeunes filles, Boukeffa Abdelhamid, dans la wilaya de Tébessa. Ils poursuivaient une résidente qui a échappé de justesse à une tentative d’assassinat.
Selon le journal El Bilad, l’un des assaillants a été arrêté par les agents de sécurité de la cité. Son complice, lui, a réussi à s’échapper, avant d’être interpellé par la police à quelques centaines de mètres de la cité.
Après cet incident, les résidentes ont organisé un rassemblement pour protester contre l’insécurité qui règne aux alentours de leur cité universitaire.

L’humanité occupe aujourd’hui à peine un tiers du globe terrestre. La population augmente et les ressources se raréfient, et la tentation est grande de se tourner vers l’Océan, ses vastes espaces et ses ressources biologiques, minérales et énergétiques, et de développer ce qu’on appelle désormais " l’économie bleue ".
Mais peut-on raisonnablement exploiter ces ressources sans dégrader irrémédiablement ces écosystèmes exceptionnels ?
Comment répartir ces richesses?
Comment gérer de manière responsable et durable ce bien commun irremplaçable ?
Voici les questions que les ecolo responsables se posent, et que Samir Grimes, maître de Conférences à l’École Nationale Supérieure des Sciences de la Mer et de l’Aménagement du Littoral (ENSSMAL-Alger) et Christophe Le Visage, ingénieur, consultant vont tenter de répondre le 23 avril 2018 au niveau de l’institut français d’Alger
Entrée libre
A partir de 18h
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