
Les membres du collectif syndical ont expliqué qu’un débrayage s’impose, compte tenu du fait de la «non-prise en charge des revendications soumises à la tutelle».
L’intersyndicale s’est prononcée jeudi dernier sur sa prochaine action de protestation.Les six syndicats autonomes de l’éducation observeront ainsi, une grève nationale le 26 février prochain, suivie le lendemain de sit-in de protestation régionaux, au niveau des wilayas de Batna, Laghouat, Relizane et Blida.
Les membres du collectif syndical ont expliqué qu’un débrayage s’impose, compte tenu du fait de la «non-prise en charge des revendications soumises à la tutelle». Ces derniers estiment qu’on ne peut parler d’ouverture du dialogue alors que les responsables du ministère de l’Education «persistent à ne pas prendre au sérieux les doléances des travailleurs du secteur».
L’intersyndicale a dans ce contexte, remis en question les projets de PV issus des discussions avec la ministre de l’Education, dont le contenu serait selon eux «en totale contradiction avec ce qui a été dit dans les réunions avec les responsables en ce qui concerne la majorité des dossiers».
Les six syndicats du Cla, Satef, Snapest, Unpef, Snte avaient organisé à la date du 21 janvier dernier une grève mettant en avant leurs principales exigences. Il s’agit pour rappel du «maintien du travail à travers la commission mixte», «le maintien de la retraite proportionnelle et de la retraite sans condition d’âge», mais encore «l’abrogation définitive de l’article 87 bis (de la loi de finances de 2015) et la création d’une prime spécifique aux corps communs et ouvriers qualifiés». Ces derniers tiennent aussi à «l’instauration de nouveaux mécanismes pour rééquilibrer le pouvoir d’achat». A côté, ils demandent de ne pas «toucher aux droits du personnel éducatif aux week-ends ainsi qu’à leurs congés de maladie».
Par ailleurs, après avoir enchaîné les réunions, l’insatisfaction des syndicats s’affichait de plus en plus. Cela s’est traduit par leur décision de poursuivre leur mouvement de protestation, en entamant régulièrement des actions sur le terrain.
Notons aussi que l’impact de cette prochaine grève au sein des établissements scolaires peut éventuellement être plus important, étant donné la participation du Conseil national autonome du personnel enseignant du secteur ternaire de l’éducation (Cnapeste).
D’autre part, il faut dire que les syndicats autonomes tentent de faire pression sur les autorités afin qu’ils obtiennent satisfaction. On peut dans ce sens, établir le lien entre l’enchaînement des actions de protestation dans ce secteur et l’approche de l’élection présidentielle, soit le 18 avril prochain. Voyant en ceci, le seul moyen de résoudre les multiples problèmes dont ne cesse de se plaindre une bonne partie du personnel de l’éducation.
Pour le reste des revendications pédagogiques du collectif des six syndicats autonomes, les points cités sont «la révision des programmes scolaires en fonction du niveau des élèves, notamment au cycle primaire», ou encore «la réduction du volume horaire des enseignants dans les trois paliers» appelant également à la «protection du statut pédagogique de l’enseignant». Concernant les relations avec leur tutelle, le malaise semble évident entre la première responsable du secteur, Nouria Benghebrit et les six entités syndicales.
Cette dernière a insisté à chacune de ses sorties médiatiques sur le caractère «permanent» du débat avec tous ses partenaires sociaux.
Lexpressiondz.com

ALGER- Le ministre de l'Intérieur, des Collectivités locales et de l'Aménagement du territoire, Kamel Beldjoud a supervisé, jeudi au siège du ministère, le lancement d’une plateforme numérique pour le retrait à distance des documents d’état civil.
Ce nouveau service, qui s’inscrit dans le cadre du "parachèvement des efforts visant à simplifier les procédures administratives et moderniser le service public" sera opérationnel "tous les jours de la semaine sur le site électronique du ministère et permettra aux citoyens de retirer à distance leurs documents d’état civil ou de leurs proches en temps réel", a indiqué le ministre.
La première étape concerne les actes de naissance, de mariage et de décès, selon M. Beldjoud qui précise que ces documents ont la même valeur juridique que ceux retirés des guichets des services de la commune et sont, donc, "sécurisés et infalsifiables grâce à la signature électronique et au code à réponse rapide (QR) qu’ils portent".
Outre son impact direct sur l’amélioration du service public, la possibilité du retrait et du téléchargement de ces documents en un clic allègera le fardeau des citoyens, notamment dans les régions éloignées et permettra de rationaliser les dépenses publiques et d’économiser plus de 62 millions de feuilles imprimées annuellement au niveau des services d’état civil, soit une moyenne de 260.000 feuilles/ jour, a-t-il ajouté.
Ce service à distance permettra, entre autres, de réorienter les fonctionnaires en poste au niveau des guichets d’état civil dans d’autres services, de manière à adapter la répartition des ressources humaines aux nouvelles orientations de la gestion locale, indique le ministre.
Il a fait savoir également que son département ministériel s’attelait à parachever les dernières dispositions techniques pour élargir ce service au certificat de résidence pour lequel il sera fait référence au Fichier électoral national, et ce en collaboration avec l’Autorité nationale indépendante des élections (ANIE) "seule habilitée à exploiter les données du fichier". APS

Voici une liste d’aliments riches en eau, à consommer sans modération pendant le s’hour :
Concombre contient 97% d’eau
Salade contient 95% d’eau
Tomate contient 95% d’eau
Pastèque contient 91% d’eau
Citron 85 % d’eau
Abricot 86 % d’eau
Pomme 58 % d’eau
Yaourt liquide 79 % d’eau
Les aliments ou plats qui conviennent parfaitement lors du repas du s’hour sont incontestablement une bonne salade de fruits ou une bonne salade variée accompagnée d’un verre de yaourt liquide.
NB :
Evitez les sodas et autres boissons sucrées qui désaltèrent temporairement mais qui n’hydratent en aucun cas, pire encore, ils augmentent la sensation de soif pendant la journée si vous les consommez pendant le repas du s’hour.
ED

LPP : Que faire pour bénéficier d’un logement neuf et à prix abordable ?
La course pour un logement promotionnel public (LPP) a commencé. Depuis samedi, des milliers de souscripteurs se sont présentés devant le siège de l’Entreprise nationale de promotion immobilière (ENPI) pour le retrait des ordres de versement de la première tranche du montant. Un montant fixé à 500 000 DA qu’il faut verser dans un délai de deux mois.
Par ailleurs, la direction de l’ENPI a indiqué que le prix du M² est fixé à 80 000 DA toutes taxes comprises. Un prix qui demeure avantageux puisque sur le marché national de l’immobilier, la plupart des appartements neufs proposés à la vente, leur M² dépasse les 100 000 Da. Il est à noter également que le prix du logement au titre du programme LPP est d’environ 6,4 millions DA pour un F3 (80m2), 8 millions de DA pour un F4 (100 m2) et 9 millions de DA pour un F5 (125 m2). Et là encore, on constate que ces prix sont nettement plus abordables que ceux des appartements proposées par des coopératives immobilières privées.
Que faire donc pour bénéficier d’un logement LPP ? Il faut d’abord recevoir la convocation pour payer un montant de 500.000 DA comme première tranche du prix du logement dans un délai de deux mois. Le souscripteur recevra après une année, la décision de pré-affectation. Par la suite, une commission sera chargée, durant les mois prochains, de définir les criteres d’accès au logement en tenant compte notamment du nombre des membres de la famille et des capacités financières du souscripteur.
Les responsables de l’ENPI ont indiqué que le lieu de résidence sera pris en compte avec la possibilité d’introduire des recours. D’autre part, les souscripteurs peuvent bénéficier, à la faveur de la décision de pré-affectation, d’un crédit bancaire pour compléter le prix du logement mais il peut toutefois s’acquitter de la totalité du prix du logement avant la reception des clés, s’il en a les moyens financiers.
Signalons enfin que le nombre des souscripteurs au programme LPP est de 46 000 dont plus de 23 000 pour la capitale soit la moitié du nombre des souscripteurs à l’échelle nationale. L’ENPI assure enfin que les futurs logements LPP seront spacieux seront réalisés par des matériaux de qualité et seront dotés de meilleurs moyens de confort nécessaires dont des ascenseurs de marques mondiales, des parkings sous sol et des espaces verts.
Source focus-algerie.com
Avec APS
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