
Les premiers éléments de l’enquête sur l’assassinat de Terrafi Yasmine, avocate à Ain Bessem (Bouira) ont été révélés ce samedi par le parquet de la circonscription.
En effet les auteurs présumés de l’assassinat auraient tenté de la violer mais elle se serait défendu jusqu’à la mort en compagnie de son compagnon qui était avec elle et qui a été également grièvement blessé.
Le juge d’instruction près le tribunal de Ain Bessam, après avoir entendu les trois criminels, a retenu plusieurs chefs d’inculpation, notamment constitution de bande armée, assassinat avec préméditation, tentative de viol avec violence, blessures avec arme blanche.
Les trois malfrats ont été placés en détention et risquent la peine de mort.
Il faut rappeler que la jeune Terrafi Yasmine, avocate stagiaire à la Cour de Bouira et âgée de 28 ans, a été retrouvée morte à l’intérieur du véhicule qui la transportait lundi vers Ain Bessam, tandis que le conducteur (K.A.) était blessé et en état d’inconscience. Le véhicule a été retrouvé stationné sur les abords de la route nationale n°18 reliant Ain Bessam à Bir Ghbalou.
express-dz.com

Association l'Hirondelle جمعية السنونو للاستكشافات و السياحة الثقافية association située à Oran organise le 30 décembre 2019 des ateliers créatifs pour enfants au siège de l'association. Un beau programme en perspective !
Pour plus d'informations : 0550465611/0672002334
Adresse : 4 rue Capitaine Hadri Oran
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Près de 5 millions de personnes touchées par le diabète en Algérie/Attention aux boissons gazeuses ! Le diabète fait des ravages en Algérie. Près de 5 millions d’Algériens sont affectés par cette maladie révèle ce mercredi le président de la Fondation nationale pour la promotion de la santé et le développement de la recherche (FOREM), Mustapha Khiati. Ce dernier tire la sonnette d’alarme et précise que ce nombre pourra qu’augmenter jusqu’à doubler, a-t-il prévenu sur les ondes de la radio nationale Chaîne III.
Parmi les complications que le diabète est susceptible de provoquer, le professeur cite des possibilités de cécité, la survenue de problèmes cardiaques et d’atteintes rénales (14% des dialysés sont des diabétiques) ainsi que les apparitions de scléroses aux pieds, pouvant donner lieu à des amputations, voire conduire à la mort.
Le Professeur Khiati a averti enfin contre la propension des Algériens à « surconsommer » les boissons gazeuses qui contiennent de grosses quantités de sucre. Le gazouz fait donc mal, très mal. La vigilance est de mise.
algerie-focus.com
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ALGER- Le Président de la République, Abdelmadjid Tebboune a affirmé vendredi que l'Etat prendra en charge les industriels et les commerçants ayant enregistré des pertes en raison de la pandémie du covid-19 ainsi que toute personne ayant perdu sa source de revenu du fait de cette pandémie.
"Nous disposons de moyens d'évaluation et de contrôle. Nous prendrons en charge toute personne ayant perdu sa source de revenu, notamment les journaliers", a fait savoir le Président Tebboune lors de l'entrevue périodique accordée aux responsables des médias nationaux.
Faisant état d'instructions données afin de procéder à "un véritable recensement des personnes touchées", le Président Tebboune a déploré, par ailleurs, l'absence de statistiques précises concernant l'économie nationale.
Il dira, à cet égard, "nous avons des statistiques qui concernent 50% uniquement de l'économie, à savoir les chiffres du circuit passant par le réseau bancaire et les services de douanes".
Le Président de la République a déploré en outre l'absence de statistiques précises concernant le secteur privé qui emploie un total de 1,5 millions de travailleurs.
Concernant les industriels et les commerçants ayant enregistré des pertes importantes du fait de la pandémie, le Président Tebboune a rappelé que "le Gouvernement s’attelle à l'examen d'une politique bien ficelée pour les aider", citant entre autres procédures de soutien adoptées, l'allègement des impôts.
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Produits du quotidien, «Petites» augmentations inexplicables
Insidieuses mais pas sans conséquences sur le porte-monnaie. Les «petites» augmentations greffent cependant les dépenses des ménages. Les prix de plusieurs produits du quotidien ont connu une hausse inexplicable.
Du jour au lendemain et sans qu’aucune explication ne puisse être fournie, les prix de plusieurs produits, qui font généralement partie du quotidien, sont partis à la hausse.
C’est ainsi que sur les devantures de la majorité des boulangeries de la capitale, une affiche informe les clients que les croissants et les petits-pains seront désormais cédés à 15 dinars.
Une augmentation de cinq dinars que les boulangers expliquent par une trop longue stagnation des prix depuis des années.
Les pâtissiers emboîtent le pas aux boulangers et les gâteaux, même les plus basiques, achetés auprès d’une modeste pâtisserie coûtent désormais plus cher.
Même ce qui est considéré comme «l’entrée de gamme» chez les pâtissiers, à savoir le mille-feuilles n’échappe pas à cette tendance haussière.
De 25 dinars, ce denier passe à 30, voire 35 dinars. La raison ? Les pâtissiers n’en avancent aucune se contentant d’appliquer ces nouveaux tarifs à des clients pris au dépourvu et ne comprenant pas les raisons de ces ajustements.
Les habitués des cafés maures ont dû également constater que pour siroter leur café, ils doivent débourser cinq dinars de plus que d’ordinaire. La tasse de café est désormais facturée à 30 dinars.
Dans un élan collectif, les cafés se sont mis depuis une dizaine de jours à appliquer cette tarification.
Pourtant rien ne semble la justifier puisque ni le marché du café ni celui du sucre ne connaissent de fluctuations. Certains titres de la presse ne sont pas en reste. Ils sont quelques-uns à être passés de 15 à 20 dinars pour des raisons économiques.
Encore une petite augmentation qui s’ajoute à toutes les autres. La seule qui semble justifiée, c’est bien celle des cigarettes. Depuis le début de l’année en cours, les taxes ont en effet augmenté conformément aux dispositions de la loi de finances.
La loi de finances 2015 prévoit une nouvelle taxe de 10 à 15 % sur tous les produits tabagiques.
Concrètement, avec l’entrée en vigueur de cette disposition, en janvier, les prix du tabac ont augmenté de 10 à 15 DA. Une augmentation qui cette fois-ci est justifiée par la volonté des pouvoirs publics de réduire le nombre de fumeurs.
Face à ces augmentations, aussi minimes soient-elles, le consommateur se retrouve toujours pris en otage par des commerçants qui ont fini par calquer leur discours sur celui des pouvoirs publics : le marché est libre et seuls les produits de première nécessité faisant l’objet de subventions étatiques sont à l’abri des mouvements d’humeur des commerçants.
source : soir d'algerie
source photo : lepoint.fr
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