Visite guidée du musée national du BARDO avec Collectif des guides accompagnateurs 01 Octobre 2020 Art § Culture § Artisanat
Le Collectif des guides accompagnateurs organise une sortie musée pour ce week end.
Un nouveau musée à découvrir : le musée du BARDO, un musée de préhistoire et d'ethnographie. Il fait partie du riche patrimoine culturel et architectural de la ville d'Alger.
une visite guidée est programmée le samedi 03 Octobre 2020, avec respect des consignes sanitaires:
- port du masque obligatoire
-respect de la distanciation
-gel hydroalcoolique
0556 01 79 12 / 0771 17 94 67
Début de la visite : 10h00
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La bataille de la SETRAM (Société d’Exploitation des Tramways) contre les usagers « clandestins » est visiblement loin d’être terminée. Plus de 200.000 usagers « clandestins » des tramways des wilayas de Constantine, Alger et Oran ont été « épinglés » depuis de le début de cette année par les agents de contrôle de la compagnie, a rapporté ce mercredi le quotidien arabophone El Khabar.
Une tendance très coûteuse pour la SETRAM, qui a précisé que ce chiffre ne représente aucunement la totalité des pertes financières engendrées par les usagers « clandestins », qui n’achètent pas le ticket de 40 Da selon la norme en vigueur.
En effet, un grand nombre des passagers « échappent » aux contrôles fréquents des agents. Certains descendent à leur montée pour reprendre le tramway suivant, d’autres refusent de payer le bulletin de régularisation du voyage, fixé à 100 Da, préférant descendre à la prochaine station, comme exigé par ces agents de contrôle, face à l’entêtement de ces « clandestins » à ne pas payer.
D’autres usagers réguliers évitent de valider un ticket non achetés chez les points de vente, « pérennisant » son titre de cette manière.
Des pratiques contre lesquelles la SETRAM a tenté, à maintes reprises, de réagir, en multipliant le nombre des agents de contrôle. La société a même appel à des agents de sûreté nationale pour prévenir des éventuelles « accrochages » entre les usagers du tramway et ses employés.
Des opérations de contrôles intensifiées ce ramadan, où la SETRAM a appelé plus d’agents mobilisés dans les stations, avant même l’arrivée du tramway.
Fin 2014, le directeur de l’unité d’Alger de la Société d’exploitation des tramways (Setram), Grégory Malet avait affirmé que 50% des usagers du tramway de la wilaya d’Alger sont en situation de fraude car ils n’achètent pas de tickets ou ne les valident pas.
« Entre 50.000 et 70.000 usagers empruntent le tramway quotidiennement à Alger, alors que seulement 25.000 à 30.000 paient leur ticket de transport », avait indiqué fin décembre Grégory Malet, directeur de l’unité d’Alger de la Setram, précisant que le « nombre de contrôleurs a atteint 166 agents et passera à 190 à partir de janvier 2015″.
Ce qui a permis d’augmenter la rentabilité de la compagnie enregistre ainsi un bond de 50% en un mois, en février 2015, avait indiqué le ministre des Transports, Amar Ghoul.
source : huffpostmaghreb.com
Au début du XXe siècle, des femmes de tous pays s’unissent pour défendre leurs droits.
L’origine de cette journée s’ancre dans les luttes ouvrières et les nombreuses manifestations de femmes réclamant le droit de vote, de meilleures conditions de travail et l’égalité entre les hommes et les femmes, qui agitèrent l’Europe et le monde occidental, au début du XXe siècle.
La création d’une « Journée internationale des femmes » est proposée pour la première fois en 1910, lors de la conférence internationale des femmes socialistes, par Clara Zetkin, et s’inscrit alors dans une perspective révolutionnaire.
La date n’est tout d’abord pas fixée, et ce n’est qu’à partir de 1917, avec la grève des ouvrières de Saint Pétersbourg, que la tradition du 8 mars se met en place. Après 1945, la Journée internationale des femmes devient une tradition dans le monde entier.
Jusqu’à nos jours…
D'après le site 8mars.info la date est réinvestie avec le regain féministe des années 70 et la « Journée internationale des femmes » est reconnue officiellement par les Nations Unies en 1977, puis en France en 1982. C’est une journée de manifestations à travers le monde, l’occasion de faire un bilan.
La Journée des femmes reste aujourd’hui d’une brûlante actualité. Car tant que l’égalité entre les hommes et les femmes ne sera pas atteinte, nous aurons besoin de la célébrer.
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Journal : Le Quotidien d’Oran
Un projet relatif à l’élimination de la stigmatisation et la discrimination des personnes vivant avec le VIH du sida en Algérie a été initié par le Réseau algérien sur le sida.
Il s’agit selon Boufenissa Ahcène, président de l’association solidarité AIDS, invité hier, du forum d’El Moudjahid, de la mise en place d’un projet national visant le renforcement de l’accès des personnes vivant avec le sida à leurs droits.
Concrètement, c’est mettre en place «des cellules juridiques» qui accompagneront les personnes vivant avec le sida et qui sont victimes de stigmatisation et de discrimination dans la société notamment dans le milieu hospitalier à poursuivre en justice les auteurs des dépassements.
Le conférencier a affirmé qu’il y a 10 à 15 plaintes par mois déposées par les malades de sida au niveau des associations pour dénoncer les comportements de stigmatisation ou de discrimination subis, dans le travail, dans la famille et le plus grave dans le milieu hospitalier. «Ce sont en fait, un refus de soins, des divorces, des licenciements ainsi que d’autres formes de discriminations», dira-t-il. Mais, ces plaintes restent au niveau du réseau ou bien chez les associations parce que les plaignants refusent d’aller à la justice pour plusieurs considérations.
Ce que propose le projet, selon le conférencier, c’est de s’associer avec les autorités sanitaires pour mettre des outils pédagogiques et de formation pour les partenaires sociaux, le paramédical et tous les intervenants qui sont en contact direct avec le séropositif.
Mais, dans les cas les plus graves, les associations membres du réseau peuvent poursuivre en justice des personnes auteurs de dépassements flagrants, «cette option n’est pas écartée», ajoutera l’intervenant.
Le conférencier précise que d’après l’ONUSIDA, ce contexte de stigmatisation explique l’augmentation du nombre de nouvelles infections dans l’ensemble de la région MENA de 35 % entre 2001 et 2011. Pourtant, une diminution est enregistrée dans les autres régions du monde.
Mouloud Salhi, président de l’association «Etoile culturelle» d’Akbou a conclu en affirmant qu’un jeune malade du sida subissant des comportements de stigmatisation, devient lui-même «un vrai virus».
«CIBLANT LES CATEGORIES A HAUTS RISQUES»
Mohamed Guemmama, coordinateur central de l’association Green Tea, a affirmé pour sa part, qu’il est vrai que l’Algérie est classée parmi les pays où l’épidémie est à faible prévalence avec un taux de personnes vivant avec le VIH de 1% de la population, mais l’Algérie continue à enregistrer des nouveaux cas. Il précise que durant les sept premiers mois de 2013, 459 nouveaux cas de séropositifs et 78 nouveaux cas de sida ont été notifiés. Et d’ajouter, sans parler autant des cas qui ne sont pas déclarés dont on ignore le nombre. Et le plus préoccupant est le fait que les malades sont dans leur majorité âgés entre 20 à 40 ans. Et de préciser que 75 % des cas ont pour origine une transmission sexuelle et 7 % à cause de drogue injectable.
Le coordinateur de l’association Green Tea préconise des campagnes bien ciblées. «Il faut cibler d’abord les populations à haut risque», préconise-t-il en citant «les travailleurs du sexe, les migrants, les utilisateurs des drogues injectables». Il regrette qu’aujourd’hui, on se limite à faire des campagnes de sensibilisation à l’université, dans les cafés au lieu de toucher les lieux où se trouvent les personnes à hauts risques».
source image : trtfrancais.com
Fondant à l’orange et au citron
Ingrédients
Le gâteau:
1 yaourt nature
150 grammes de sucre en poudre
150 grammes de beurre mou (allégé)
4 oeufs
200 grammes de farine à gâteaux avec levure incorporée
1 orange
Le glaçage:
½ citron
50 grammes de sucre glace
Instructions
Préchauffer le four à 200°c, mode traditionnel.
Battre au fouet électrique, lentement, le beurre en pommade.
Ajouter le sucre en poudre, les oeufs entiers et le yaourt. Battre.
Ajouter le jus d’orange.
Incorporer peu à peu la farine.
Verser dans un moule silicone.
Mettre au four, en mode traditionnel, pour 40 minutes.
Démouler dès la sortie du four.
Faire le glaçage: mélanger le jus de citron et le sucre glace.
Passer tout ce glaçage au pinceau sur la surface du gâteau et les bords. Laisser refroidir totalement avant de déguster.
Source : LesRecettesDuMondeFantastique
ALGER - Le Premier ministre, Abdelaziz Djerad a arrêté le dispositif de mise en œuvre de la décision portant "ouverture graduelle et contrôlée des plages, des espaces récréatifs, des lieux de plaisance et de détente, des hôtels, cafés et restaurants", à partir de samedi prochain, dans "le respect des protocoles sanitaires de prévention et de protection" contre la propagation de l’épidémie Covid-19, indique samedi un communiqué des services du Premier ministre.
"En application des instructions de Monsieur le président de la République, M. Abdelmadjid Tebboune, chef suprême des Forces armées, ministre de la Défense nationale, données lors de la réunion du haut conseil de sécurité du 3 août 2020 et au terme des consultations avec le comité scientifique et l’autorité sanitaire, le Premier ministre a arrêté le dispositif de mise en œuvre de la décision portant ouverture graduelle et contrôlée des plages, des espaces récréatifs, des lieux de plaisance et de détente, des hôtels, cafés et restaurants et ce, dans le respect des protocoles sanitaires de prévention et de protection contre la propagation de l’épidémie", précise la même source.
Le communiqué indique que "les citoyens pourront accéder à partir du samedi 15 août 2020 aux plages autorisées et contrôlées, aux lieux de détente et espaces récréatifs et de loisirs dans le respect du dispositif préventif d’accompagnement, qui sera mis en place par les autorités locales"
Ce dispositif comprend notamment "le port obligatoire du masque de protection, le respect de la distanciation physique d’au moins un mètre et demi, l’affichage des mesures barrières et de prévention aux différents points d’accès des lieux, l’organisation de lieux adéquats pour le stationnement des véhicules, le contrôle préalable par les éléments de la protection de civile si nécessaire, de la température des estivants au niveau des accès des plages au moyen d’appareils thermiques et la mise à disposition de bacs dédiés à recueillir les masques, gants ou mouchoirs usagés".
Le communiqué précise, à ce propos, qu'"il appartient aux Walis d’organiser la réouverture graduelle des plages, espaces récréatifs et de divertissement, lieux de plaisance et de détente et de tenir les citoyens informés des dates d’ouverture respectifs de ces lieux".
S’agissant de la reprise de l’activité des hôtels, cafés et restaurants, elle demeure subordonnée, note le communiqué des Services du Premier ministre, à "la mise en œuvre d’un protocole sanitaire de prévention et de protection qui inclura notamment les mesures suivantes: l’utilisation en priorité des terrasses et l’exploitation d’une table sur deux dans les espaces intérieurs, le port obligatoire du masque de protection, l’organisation de la distanciation physique à l’intérieur et à l’extérieur du local, la désinfection régulière des lieux, des tables, des chaises et des autres équipements".
Il s'agit également de "l’installation de paillasses de désinfection aux entrées, le nettoyage régulier du linge, des serviettes et des tenues de travail, la mise à la disposition des clients de solution hydro-alcoolique, l’aération naturelle des lieux, l’interdiction de l’utilisation des climatiseurs et des ventilateurs".
Toutefois, le communiqué souligne que "le non-respect de ces mesures, entrainera la fermeture immédiate de l’espace et/ou activité concernés". En ce qui concerne les cérémonies de mariage et autres au niveau des salles des fêtes, hôtels et restaurants, elles resteront "strictement interdites jusqu’à ce que les conditions favorables soient réunies", ajoute la même source, précisant que "les walis sont chargés de veiller au strict respect de ces mesures de prévention et de protection qui seront précisées, en tant que de besoin par un arrêté de wilaya et de procéder à des inspections inopinées pour s’assurer de l’observation du dispositif mis en place", conclut le communiqué. aps
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