
Les prix des logements AADL coûteront 20% plus cher. La publication de l’arrêté interministériel fixant les éléments de calcul du coût de construction et du prix du logement destiné à la location-vente au 55e numéro du Journal officiel a fixé les nouveaux prix.
Ainsi les souscripteurs aux logements AADL programmes 2013 devront s'acquitter d'un supplément variant entre 600 000 et 690 000 da, selon le type de logement.
Les bénéficiaires sont appelés à verser 25% du reste du montant du prix du logement après déduction des aides consenties par l’Etat et doivent s’acquitter de la différence pendant une durée n’excédant pas 25 ans, lit-on dans ce même texte.
Le prix d’un F3 dont la superficie est de 70 m² est désormais de 2 689 000 DA au lieu de 2,1 millions de dinars, soit une augmentation de près de 600 000 DA l'unité alors que pour le F4 dont la superficie est de 85 m², le prix passe de 2,7 millions de dinars à 3 385 000 DA, soit une différence à la hausse de près de 685 000 DA.
Ce nouveau texte explique que le coût de réalisation de l’habitation destinée à la location-vente est fixé à 50 000 DA le mètre carré. S’ajoute à ce coût, le prix de réalisation des VRD qui est fixé à 589 000 DA par logement. Dans les autres articles de ce nouveau texte, sont citées les différentes aides de l’Etat à ce type de logement, à savoir l’abattement de 100% sur le prix de cession du terrain relevant du domaine privé de l’Etat et l’aide frontale de l’Etat fixée à 700 000 DA au profit de chaque bénéficiaire d’un logement.
Il est précisé dans l’article 5 de ce document officiel que l’Etat prend en charge le coût total de réalisation des VRD tertiaires au profit des logements AADL inscrits au programme de 2001-2002. Cette mesure ne s’applique pas aux logements inscrits au programme de 2013, où l’Etat ne prend en charge que 72% du coût de réalisation des VRD.
Les prix fixés restent toutefois soutenus par l'Etat puisque les coûts réels du marché sont beaucoup plus élevés.
source : huffpost.com

Le groupe Ifrikya Spirit sera en concert à la salle Ibn Zeydoun ce Jeudi 20 Avril à 19h!
Entrée: 500 DA
Présentation du groupe:
Mené et fondé en 2009 par Chakib Bouzidi, élève du regretté maâlem Benaïssa et ancien membre de Diwan Dzaïr, Ifrikya Spirit s’était déjà fait un nom sur la scène musicale algérienne, en animant plusieurs concerts dans la Capitale et ailleurs. Et après deux années de travail et beaucoup de recherches, le groupe sort son premier album éponyme, composé de huit (08) titres, dans lequel la musique traditionnelle Africaine et celle des Gnaoua cohabitent harmonieusement, dans un style ancré dans la tradition mais qui surfe sur la vague de la modernité.
Les deux registres (musiques Africaine et Gnaoua) ont permis à la formation de créer un style qui lui est propre, à travers diverses sonorités et des rythmes chaloupés portés notamment par des instruments comme le goumbri, le djembé, les Karkabou (crotales), la batterie, la guitare, les claviers, le Kamélé n’goni, el Soussane, le Balafon…

L’HTA et le diabète sont 2 maladies chroniques redoutables qui apparaissent souvent séparément, mais saviez-vous qu’elles pouvaient aussi être associées ?
Le mariage hypertension-diabète est une combinaison explosive non seulement en raison de sa fréquence, mais aussi de sa dangerosité. Cela est dû aux facteurs suivants :
- Augmentation de l'obésité et de la sédentarité
- Leurs facteurs de risque communs tels que le syndrome métabolique
- Le rôle de l'insulinorésistance dans le développement de l’HTA chez les diabétiques de type 2
La relation entre ces deux entités est complexe, que ce soit enr raison des mécanismes physiopathologiques ou des présentations cliniques mais quand liées, elles augmentent les risques cardiovasculaires et causent d’autres complications : une élévation de la pression artérielle diastolique de 10 mm Hg est associée à une augmentation de 52% du risque de diabète.
C’est pour cela qu’il est nécessaire de surveiller la pression artérielle et de lui accorder la même importance qu'au maintien de l'équilibre glycémique.
Association scientifique ASEPA

Née en Algérie, Warda Bouguettaya s’est installée aux Etats-Unis à l’âge de 21 ans, où elle a réussi à s’imposer dans le monde exigeant de la pâtisserie.
L’Algérienne a réussi à ouvrir une pâtisserie, dénommée “Warda pâtisserie”, à Détroit, dans le Michigan qui propose sur son site Internet des madeleines à 2,5 dollars la pièce, une tarte au citron à 38 dollars, des tartelettes au citron à 8 dollars la pièce, de la mousse au chocolat à 8 dollars ou encore des cookies à 3 dollars la pièce. Ses produits sont une synthèse de tout ce qu’elle a appris dans son pays naatal, mais aussi lors des ses voyages en Europe et en Asie.
A force de travail et grâce à un talent avéré, l’Algérienne, élue “chef de l’année 2021” dans sa ville, va prochainement ouvrir un second établissement, rapporte le journal local Eater Detroit.
Modeste, Warda affirme : « J’ai la chance de bénéficier du soutien de mon partenaire de vie et commercial, mais aussi de l’équipe que j’ai en ce moment. » Et d’ajouter : « L’énergie et le moral sont bons et le fait de savoir que notre vision de l’avenir de Warda Patisserie est entre de bonnes mains rend les obstacles auxquels une petite entreprise est confrontée beaucoup plus faciles. Nous sommes dans une bonne situation. »
source : algerieactu.com
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